Je vous parle d’un temps où j’étais au tout début d’une belle histoire d’amour avec un homme merveilleux — avec lequel je suis toujours.
L’oasis dans le désert sexuel
Lorsqu’on s’est rencontrés, ça faisait deux ans que j’étais en mode abstinence 20 000. La vraie de vraie. Genre, même pas un bisou. À cette période, le climax de ma vie sexuelle fut un effleurage d’orteils devant Cruel Intentions un dimanche après-midi, avec un crush un peu chelou.
Bref, revenons à nos moutons.
J’ai rencontré José, ça a été le coup d’amour le coup de je t’aime et c’était reparti sur l’autoroute de la copulation. Tout s’est bien passé même si j’avais un peu la trouille, rapport que j’avais peur de plus savoir comment qu’on faisait et que mon hymen ait repoussé entre temps
. Pardon pour l’image mentale.
La redécouverte de petits plaisirs
Au bout de quelques temps, on en est arrivés au moment où on a fait un peu de sexe oral. J’oublie de préciser : j’ai longtemps eu un blocage terrible avec la fellation. Pas du dégoût, pas la sensation d’être inférieure, non. Juste une trouille monstrueuse que je n’ai jamais pu m’expliquer.
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Impossible de savoir pourquoi mais avec José, ça ne me faisait plus peur. Et même que j’aimais beaucoup ça. Révélation du siècle. Visiblement, José était content, paraîtrait que je me débrouille comme une cheffe, une vraie MacGyver de la pipe.
Alors on y est allés gaiement, c’était le festival du zizi dans la bouche, j’ai (re)découvert un truc chouette et j’en étais ravie.
Quand soudain…
Et voilà qu’un soir où, manifestement, j’étais au summum de mon art buccal, j’ai senti que José allait jouir. Il s’est un peu tortillé, a commencé à gémir et…. il a lâché un pet absolument pas prévu.
J’ai senti que José allait jouir, il a commencé à gémir et…. il a lâché un pet absolument pas prévu.
Pas une caisse bien gênante et sonore, non. Un pet de vicelard qui faisait pas de bruit et qui sentait comme quand il fait 40 degrés et que des gens ont tous fait pipi au même endroit dans un coin pas aéré, que ça a macéré et que tu changes de trottoir. Ce pet-là.
Tellement discret qu’il s’en est pas rendu compte, le José.
Moi, si.
J’étais coincée avec son zizi dans ma bouche, j’étais obligée de respirer par le nez et il était en train de vivre un beau moment dans son corps. J’ai eu un début de haut-le-cœur/fou rire/envie de pleurer mais l’envie de faire plaisir a été plus forte.
Aujourd’hui, José ne le sait toujours pas mais avec ma Bestah Sistah, on en rit encore !
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Les Commentaires
Merci pour cet article court mais fort drôle!