Nicolas Berno scénarise son deuxième court-métrage pour Golden Moustache : Jojo, l’histoire d’un youtubeur apprenant à la dur que la gloire est souvent éphémère…
Nicolas Berno (qui avait eu la gentillesse de participer à l’éMymyssion sur les complexes masculins) fait son retour pour la deuxième fois en tant que scénariste chez Golden Moustache !
Il nous propose un sketch racontant l’histoire de Jojo, un ancien youtubeur qui, après avoir connu le succès, se retrouve à la rue.
« Whyyy » cette descente aux enfers comme dirait Zaho ? Jojo a simplement pété un plomb après avoir été évincé par Jacky L’agrume, jeune youtubeur qui est rapidement devenu connu et qui a pris sa place en un rien de temps dans le cœur des internautes.
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Une vidéo qui joue sur le registre du comique émotionnel (j’avoue que j’avais un peu la larmiche à l’œil à la fin) et fait réfléchir sur le côté éphémère du succès.
Euh...Je trouve ça hyper gênant. Pourtant j'ai déjà lu des strips/BD avec des cases qui caricaturent les mendiants du métro sans les trouver choquantes.
Mais ici la façon d'imiter le SDF, de jouer sur les signes d'exclusion, de le tourner en ridicule, c'est vraiment maladroit (euphémisme). L'analogie trouve GRAVE ses limites (et franchement ils auraient pu y penser avant de tourner) quand on en arrive au "ah bah ya qu'à pas perdre espoir, suffit de se raser et de jeter ses fringues dégueu pour se remettre en selle", et l'apothéose sur le final visant à émouvoir sur l'idée qu'un youtubeur qui revient dans le game c'est aussi beau qu'un SDF qui retrouve sa place d'humain dans la société (à moins que le propos ne soit de dénoncer la soif aveugle de reconnaissance...auquel cas c'est encore pire?)
Je ne suis pas pour brider la création ou l'humour, mais là le second degré n'est même pas franchement assumé. Alors, à défaut d'absurde revendiqué, leur description youtube "Pourriez-vous me dépanner d'un like, d'un commentaire positif ou même d'un emoji fantôme qui tire la langue, pour rester propre." me donne juste envie de vomir.
Les Commentaires
Mais ici la façon d'imiter le SDF, de jouer sur les signes d'exclusion, de le tourner en ridicule, c'est vraiment maladroit (euphémisme). L'analogie trouve GRAVE ses limites (et franchement ils auraient pu y penser avant de tourner) quand on en arrive au "ah bah ya qu'à pas perdre espoir, suffit de se raser et de jeter ses fringues dégueu pour se remettre en selle", et l'apothéose sur le final visant à émouvoir sur l'idée qu'un youtubeur qui revient dans le game c'est aussi beau qu'un SDF qui retrouve sa place d'humain dans la société (à moins que le propos ne soit de dénoncer la soif aveugle de reconnaissance...auquel cas c'est encore pire?)
Je ne suis pas pour brider la création ou l'humour, mais là le second degré n'est même pas franchement assumé. Alors, à défaut d'absurde revendiqué, leur description youtube "Pourriez-vous me dépanner d'un like, d'un commentaire positif ou même d'un emoji fantôme qui tire la langue, pour rester propre." me donne juste envie de vomir.