— Crédit photos : Alexandre Galbiati
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Il y a quelques mois, Anouk vous présentait l’enquête Que Du Bonheur présentée par Générations Cobayes en collaboration avec Domplus.
Entre début septembre et fin octobre, les jeunes de 18 à 35 ans étaient invités à répondre à cent questions autour de divers aspects de leur vie quotidienne (travail, argent, vie sociale, etc.).
Fin octobre, on comptabilisait plus de 53 000 jeunes adultes ayant pris le temps de répondre à cette enquête. Les résultats ont été révélés jeudi 8 décembre lors de la soirée du Grand Oral du Bonheur présentée par Thomas Hercouët, le grand manitou de L’Originale.
Et j’y étais !
https://soundcloud.com/madmoizelle/reportage-jeunes-france-bonheur/s-fFe1Q
Le but de Générations Cobayes est de remettre le bonheur au centre du débat politique et sociétal ainsi que de briser certains stéréotypes sur les jeunes. L’élément clé à retenir de cette enquête, c’est que les jeunes sont heureux (à 82%) mais insatisfaits de la société actuelle.
Contrairement à ce qu’en disent les mauvaises langues, la jeunesse veut participer à la construction du monde de demain (à 83%), mais plus de la moitié ne sait pas vraiment comment s’y prendre.
À lire aussi : « Agir ! (Mais pour faire quoi ?) », l’engagement politique des jeunes illustré par Pénélope Bagieu
Au quotidien, 97% des répondants essaient d’agir à leur échelle pour réduire l’impact qu’ils ont sur la planète et les Hommes. D’ailleurs, leurs trois principaux sujets d’inquiétude sont la dégradation de l’environnement, la montée des extrémismes en politique et le pouvoir des multinationales.
Si la totalité des résultats de cette enquête vous intéresse, vous pouvez les retrouver sur le site Quedubonheur.fr.
Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
Les Commentaires
Assimiler toute l'humanité à l'homme cis (avec une majuscule en plus, mazette), c'est l'apologie de la phalocratie... et lire ça ici, ça fait (très) mal.
On pense avec les mots, ne l'oubliez pas...
Bisous non oppressif.