Note d’avant-propos : c’est vrai, on te parle souvent de Jennifer Lawrence. Mais vraiment, on n’y peut rien : toute la rédaction est un peu amoureuse d’elle et on voudrait toutes faire des soirées-pyjama en sa compagnie. Mais je comprends qu’un petit nombre d’entre vous sont probablement saoulées de voir une fois de temps en temps une news sur elle. Alors parce que je pense à tout le monde, je te propose un truc, toi qui n’a pas d’affection particulière pour J-Law : chaque fois que son nom/prénom/nom-prénom-surnom apparaîtra dans l’article, remplace-le par « Une clé USB » dans ta tête.
Cette semaine, Jennifer Lawrence a prouvé qu’elle ne faisait pas que plaisanter quand elle disait :
Elle mange vraiment ce qu’elle veut, quand elle veut, telle une punk de l’estomac. La preuve absolue nous vient de Michael Wilkinson, qui a créé les costumes d’American Bluff. Il apprend à Vanity Fair
que, lorsqu’ils ont tourné une des scènes où J-Law porte une robe blanche faite sur mesure, l’actrice a eu une petite faim. Une faim irrépressible. Et comme souvent, quand on a faim sans avoir faim, on veut un aliment précis et pas autre chose.
Du genre, comme Jennifer ce jour-là, des Doritos. Ces chips bien jaunes qui laissent des miettes tenaces partout (et font sentir le vieux slip des doigts, soit dit en passant). Des Doritos qui sont allés généreusement joncher sa robe impossible à remettre en état.
Heureusement, Michael Wilkinson avait reproduit quatre exemplaires du même vêtement, mais tout de même : je peux pas m’empêcher d’imaginer Jennifer Lawrence en train de parler la bouche pleine de chips et s’essuyer sur son costume. Je trouve cette image touchante tant ça pourrait être n’importe qui de mon entourage à sa place.
Mais en même temps, cette anecdote m’agace un peu. Enfin je sais pas, c’est son boulot, c’est son uniforme de travail, ça fait perdre du temps de lui demander de se changer. Je compare de façon pragmatique, hein, mais c’est un peu comme si moi je mangeais toujours des trucs gras pendant les heures de boulot et que j’étais obligée de me laver les mains pour continuer à écrire sans salir mon ordi : ce serait beaucoup trop chronophage.
…
C’EST beaucoup trop chronophage en fait. Parce que je fais ça, maintenant que j’y pense. Ah oui, voilà : c’est pour ça que ça ne fait pas QUE m’agacer. Je suis pareille. Un peu comme tout le monde.
Et puis, je sais pas si je pourrais vraiment trouver Jennifer Lawrence relou, finalement. C’est peut-être pas très pro, mais si c’est le secret de sa fraîcheur et de sa spontanéité dans le monde d’Hollywood, alors ça me va.
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