Cet article a été rédigé dans le cadre d’un partenariat avec le Nikon Film Festival. Conformément à notre Manifeste, on y a écrit ce qu’on voulait.
Parmi les 50 finalistes du Nikon Film Festival 2018, se trouve Je suis un don, un court-métrage de Stephen Bigot qui démarre un peu comme une scène de Massacre à la tronçonneuse.
Il a m’a d’ailleurs fait penser à une pub Orangina de la fin des années 90 (« Mais pourquoi est-il aussi méchant ? » pour celles et ceux à qui ça parlera).
Je suis un don, un court-métrage effrayant mais pas trop
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On y voit une jeune fille qui court dans la forêt, poursuivit par un homme à capuche, une tronçonneuse rugissante à la main.
Elle se réfugie finalement dans une cabane en bois pendant que toi tu te dis intérieurement NE RENTRE PAS LÀ-DEDANS.
L’homme y pénètre aussi, elle est prise en piège, mais reste étrangement calme. L’homme s’approche d’elle… Quand quelqu’un frappe à la porte…
Je te laisse découvrir la suite, et j’en profite pour dire que je trouve la réalisation et la lumière sublimes, on retrouve dans ce court-métrage les codes du genre.
Enfin, parvenir à te faire rentrer dans une atmosphère en à peine plus de 2 minutes, c’est chaud, et ici c’est très bien réussi.
Cependant si tu as horreur des films flippants qui baignent dans le sang, rassure-toi, j’ai fini par rire de bon coeur de son plot-twist qui sert une bonne cause.
Si tu veux que ce film remporte le concours, soutiens-le en cliquant ici.
Et si t’es saucé•e à l’idée de voir de chouettes courts-métrages sur grand écran, tu peux t’inscrire aux projections publiques organisées par Nikon les 12 et 13 février !
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Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
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