Cet article a été rédigé dans le cadre d’un partenariat avec le Nikon Film Festival. Conformément à notre Manifeste, on y a écrit ce qu’on voulait.
Dans le cadre du Nikon Film Festival 2017, des vidéastes encore amateurs postent leurs courts-métrages aux thèmes aussi variés que l’amour, l’écologie ou les TOC.
Celui que je vous présente aujourd’hui risque fort de vous tenir en haleine.
Je suis un après, un court-métrage sombre et étonnant
Une jeune femme attend à l’extérieur d’une boîte de nuit. Elle y fait la rencontre d’un homme dont la confiance en lui ne laisse aucun doute.
Un jeu de séduction naît entre eux. Si la jeune femme fait tout de même preuve de réserve, son interlocuteur se montre plus direct et entreprenant.
–> Clique sur l’image ou sur ce lien pour accéder au court-métrage ! <– (Il faut désactiver adblock)
Ce court-métrage joue sur la tension palpable entre les deux protagonistes.
L’ambiance thriller, sombre et feutrée, avec son bruit de fond assourdissant, perturbe finalement beaucoup :
entre flirt et menace, on ne saurait trancher sur les émotions que l’on doit ressentir au visionnage de ce film.
Il est bien là le talent scénaristique de cette production, puisque le retournement final, fort, inattendu et pour le coup frustrant (de ne pas avoir la suite), vient éclairer sur la nature de la relation entre ces deux jeunes gens, et est très propice aux spéculations sur ce qui pourrait arriver après.
Ce court-métrage a été réalisé par Anthony Belliot.
Si vous souhaitez soutenir le film pour le festival, ça se passe par ici.
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