Live now
Live now
Masquer
je-suis-le-pecheur-et-lhomme-daffaire
Culture

Je suis le pêcheur et l’homme d’affaire, un court-métrage touchant sur nos choix de vie

Sur un quai, un pêcheur et un homme d’affaire se rencontrent. Le pêcheur aime profiter de la vie, l’homme d’affaire la rentabilise au maximum. Et vous, de quel côté êtes-vous ?

Cet article a été rédigé dans le cadre d’un partenariat avec le Nikon Film Festival. Conformément à notre Manifeste, on y a écrit ce qu’on voulait.

Quel mode de vie préféreriez-vous ? Travailler comme un•e forcené•e pendant toute votre vie afin d’amasser des sous pour vos vieux jours, ou prendre du plaisir maintenant sans planifier l’avenir ?

C’est un peu la question que pose le court-métrage Je suis le pêcheur et l’homme d’affaire. La vidéo fait partie des cinquante finalistes du Nikon Film Festival.

pecheur-homme-daffaire Retrouvez le court-métrage en cliquant ici ou sur l’image (il faut désactiver AdBlock)

Parmi les cinquante finalistes, celui-ci est pour l’instant mon favori. Je mets une note sur dix à chaque court-métrage que je visionne pour m’y retrouver et lui,

je lui ai mis neuf. Et je ne mets jamais de dix (parce que la perfection n’existe pas) !

Le jeu d’acteur, pour commencer, est formidable. On s’attache à ce pêcheur, avec son petit air tranquille, sa sympathie naturelle. J’aime aussi l’intérêt que lui porte le businessman, la passion qu’il y a dans son discours.

Ce dilemme entre mener une vie heureuse et travailler très fort pour anticiper son futur, on en a beaucoup parlé au cours d’une semaine à thème. Avec des débats, des témoignages et des exemples de projets combinant le plaisir et l’ambition.

Je ne suis probablement pas la seule mais me je retrouve plus dans le discours du pêcheur : si je suivais les conseils du businessman, à soixante ans je serais sûrement bien malade d’avoir autant travaillé. Comment pourrais-je alors profiter de mes vieux jours ?

Seul petit hic : la musique me semble trop dramatique. Je trouve que le discours du pêcheur est léger et inspirant, pourquoi lui donner de la gravité avec une telle bande son ?

Et vous, vous en pensez quoi ? Si comme moi vous avez craqué pour ce court-métrage, n’hésitez pas à voter pour lui sur sa page, afin qu’il obtienne peut-être le prix du public !

À lire aussi : Vos rêves d’enfants VS votre vie « d’adulte » — Témoignages


Écoutez Laisse-moi kiffer, le podcast de recommandations culturelles de Madmoizelle.

Les Commentaires

Il n'y a pas encore de commentaire sur cet article.

Réagir sur le forum

Plus de contenus Culture

8 (3)
Daronne

Oubliez l’énième puzzle, on a déniché l’idée-cadeau idéale pour l’éducation et le développement de votre enfant

couv-1 (2)
Culture

Cat’s Eyes, le jeu des 7 erreurs : on a repéré les différences entre l’animé culte et la série live-action de TF1

Copie de [Image de une] Horizontale – 2024-11-28T150710.132
Beauté

Elle avait dévoilé son crâne pendant le concours Miss Grand, Safiétou Kabengele nous raconte les coulisses de son parcours de miss

Portrait of smiling young woman sitting on bed using E-book reader
Culture

Pour la BD, les romans ou tout-terrain : comment bien choisir sa liseuse ?

[Image de une] Horizontale (26)
Vie quotidienne

Black Friday : le guide ultime pour trouver l’aspirateur laveur fait pour vous et enfin mettre le Swiffer au placard

Copie de [Image de une] Horizontale – 2024-11-15T163147.788
Livres

Samah Karaki : « C’est la culture sexiste qu’il faut questionner, pas la présence ou l’absence de l’empathie »

[Image de une] Horizontale (24)
Culture

3 raisons de découvrir Agatha, le nouveau thriller psychologique à lire de toute urgence

Copie de [Image de une] Horizontale – 2024-10-16T173042.478
Culture

Louise Chennevière (Pour Britney) : « La haine de la société pour ces femmes est immense. Cela m’a donné envie de la décortiquer. »

Copie de [Image de une] Horizontale – 2024-10-17T105447.652
Culture

Pourquoi on a adoré Culte, la série qui revient sur la création de Loft Story ?

4
© Charlotte Krebs
Féminisme

Mona Chollet : “Se sentir coupable ne mène vraiment à rien”

3

La pop culture s'écrit au féminin