Cet article a été rédigé dans le cadre d’un partenariat avec le Nikon Film Festival. Conformément à notre Manifeste, on y a écrit ce qu’on voulait.
Voilà plusieurs semaines que je regarde les propositions d’apprentis cinéastes à l’occasion du Nikon Film Festival.
Chaque jour, je découvre des histoires qui m’émeuvent, me font rire, ou me donnent à réfléchir.
Avant-hier, je suis tombée sur celui dont il est question aujourd’hui, et pour la toute première fois, j’ai cédé aux larmes…
Je suis ici et maintenant, quelques secondes pour évoquer la maladie
Clique ici pour découvrir le court-métrage !
Rien, au début de ce court-métrage, ne laisse présager du pire.
Un petit garçon, un samouraï, une maman qui se recoiffe, l’œil rivé sur le rétroviseur central.
Rien d’anormal, si ce n’est le samouraï, que l’on imagine facilement être le fruit de l’imagination du petit garçon. Son ami imaginaire, en somme.
Et puis arrive la compréhension du drame qui les touche tous…
Je ne peux vous en dire plus. Je ne peux vous engager qu’à cliquer. Car c’est avec délicatesse qu’Aurélien Mathieu évoque un sujet délicat.
Beaucoup de sensibilité dans ces quelques 140 secondes, qui ont frappé mon coeur comme autant de couteaux.
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Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
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