Tout commence en 2012, un soir qu’on s’ennuyait avec une de mes colocataires. Était-ce le destin, était-ce le hasard ? Je peux pas vous dire. On était déjà pas mal calées en films d’époque (tout ce qui se rapproche de Keira Knightley en grande robe, quoi)… et puis d’une bande-annonce à une autre, on est tombée sur Atonement. Juste pour prévenir ceux et celles qui voudraient voir le film : quand ils disent que c’est un drame, c’est PEU DIRE. Et c’est là où je suis tombée sur James McAvoy.
Il faut que vous sachiez quelque chose. Avant de connaître ma coloc, je n’étais jamais tombée dans le fangirlisme. Je savais qu’on pouvait accrocher des posters de Drago Malefoy et découper des photos de Georges Alain pour les mettre dans son cahier Star Academy, mais j’en étais loin. Regarder toutes les interviews disponibles de James McAvoy, aller jusqu’à la page 25 de « James McAvoy gif » sur Google Images et regarder des films juste pour lui : voilà ce que ma coloc m’a appris. Merci à elle.
Maintenant que j’y suis, c’est de mon devoir de vous entraîner dedans. Rejoignez-moi dans son fandom !
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La mignonnitude de James McAvoy, un danger pour ton quotidien
Je vais pas vous mentir, je suis très sensible au physique de James (on peut l’appeler James, je me l’autorise pour récompenser ma propre fidélité). Rien que de chercher des photos pour illustrer cet article m’a fait fondre de bonheur et sourire bêtement. Il n’a pas un visage parfait ni symétrique, et ça le rend tout à fait sublime. En plus vous remarquerez vite qu’il fait des mouvements de sourcils incomparables !
James McAvoy joue bien
J’ai vu un gros bout de la filmographie de James McAvoy. J’ai même regardé X-Men pour lui alors que ça me tentait peu. Il a eu son lot de drames romantiques : Atonement, The Disappearance of Eleonor Rigsby, Becoming Jane… où il arrive à être magistral et d’une présence folle devant un destin souvent tragique.
Ensuite j’ai vu Le dernier roi d’Écosse. Il y interprète Nicholas, le médecin personnel du dictateur ayant pris le pouvoir en Ouganda dans les années 70, joué par le fabuleux Forest Whitaker. Et il n’en fait pas trop, il est très juste ! Il a expliqué s’être forcé à regarder des scènes de torture pour mieux jouer les réactions du personnage. Il a poussé si loin ses limites qu’il est tombé dans les pommes durant le tournage.
J’ai tellement passé de temps à chercher des gifs de lui ou des interviews que j’en ai même oublié de regarder ce qui ressemble à une de ses meilleures interprétations : Filth. Je ne peux pas juger le film, ce serait pas très malin de me baser seulement sur une bande-annonce… mais de ce que j’ai pu lire, il y joue très bien le détective pourri, outrageant et dans l’excès permanent, ce qui est bien différent de ce qu’il a pu faire avant. Maintenant que je suis retombée dans cette passion, autant que je le regarde ce week-end !
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James McAvoy est si cool
En plus de tout ça il n’a pas l’air de se prendre trop le bourrichon, ce bon James. T’as envie d’être sa pote et de boire des bières à ses côtés. Tu sens que tu pourrais aller dans un bar en Écosse avec lui et parler de tout, de rien, de sa vision de la vie, des blagues de tournage… idéalement en kilt.
Et puis il faut voir comment il est avec ses amis : une vraie bromance entre lui et Michael Fassbender est née sur le tournage de X-Men ! En interview, c’est blague sur blague.
Alerte au PIPOU.
James McAvoy n’a pas de compte Twitter ou Instagram et tient à garder sa vie privée pour lui. Même si je respecte totalement les stars qui utilisent les réseaux sociaux, et que j’aime moi-même en suivre, j’aime le fait que James et moi arrivions à garder cette part de mystère entre nous. Et puis il a l’air modeste : je suis sûre qu’il a la tête sur ses larges et belles épaules.
Double bonus de James McAvoy dans ta face
Ok si vous n’êtes pas convaincu•e•s j’ai encore deux cartes à jouer…
La première c’est que James McAvoy sait danser. Enfin, il a déjà un jeu de jambes prometteur, quoi. Je vous donne le contexte : pour faire venir Michael Fassbender sur le plateau de tournage, Hugh Jackman et James McAvoy avaient l’habitude de lancer Blurred Lines à fond dans le studio pour l’encourager et finissaient par danser dessus. Reconstitution dans cette vidéo d’enquête exclusive.
(Note à moi même : faire un Fantasme de la Rédac — Michael Fassbender)
Et quand il chante, James ne fait pas les choses à moitié et reprend Copacabana! sur une émission de télé. Il a mon respect éternel.
Je le dis je l’avoue : j’aime James McAvoy, et la semaine de l’amour est une bonne occasion de tomber en admiration devant lui. Je suis toute contente à l’idée d’aller voir son nouveau film Docteur Frankenstein. Ne te prive pas, rejoins-moi dans le McAvoyisme !
Écoutez l’Apéro des Daronnes, l’émission de Madmoizelle qui veut faire tomber les tabous autour de la parentalité.
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