Cet article a été rédigé en partenariat avec Sony. Conformément à notre Manifeste, on y a écrit ce qu’on voulait.
Si vous me lisez de temps en temps, vous savez probablement que l’horreur est mon dada.
Je m’en régale à n’importe quel moment du jour ou de la nuit.
Les affreux jojos qui peuplent les oeuvres horrifiques sont mes compagnons de jeu, que j’aime retrouver aussi bien pendant ma pause déjeuner que le soir, au fond d’une salle de cinéma ou juste sous ma couette.
J’ai PRÉCISÉMENT le même physique que cet individu.
Non que je sois une déséquilibrée accro aux histoires glauques !
Je trouve simplement que l’horreur est un genre passionnant et malheureusement trop sous-estimé, qui devrait avoir une place plus importante dans la programmation des salles de cinéma.
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Insidious, une saga de qualité
Et en bonne amatrice de films de genre, je dois admettre mon inclinaison pour Insidious, une franchise instaurée en 2011 par le maître de la peur, j’ai nommé James Wan.
Si son nom vous est inconnu, sachez qu’il est le génie qui se cache notamment derrière la saga The Conjuring !
Cet homme habile manie la caméra comme personne, la faisant passer par des trous de souris ou, à l’inverse, la faisant surplomber des demeures entières…
Revenons à Insidious : James Wan a cédé sa place à Leigh Whannell pour le 3ème opus et à Adam Robitel pour le quatrième, qui fait l’objet de cet article !
Insidious : La Dernière Clé, le chapitre le plus effrayant de la saga
Lors de la projection, j’étais installée à côté d’une jeune femme qui sursautait toutes les 25 secondes, même quand il ne se passait rien.
C’est qu’Adam Robitel façonne son récit avec brio, faisant planer en permanence l’ombre d’un stress sur ses images. Même lorsqu’il ne se passe rien, l’angoisse est palpable.
Insidious : La Dernière Clé nous plonge dans l’enfance d’Elise, la médium qui vient à bout des affreux démons des premiers volets. Pour renouer avec sa famille, elle doit éliminer une créature qui hantait déjà sa maison lorsqu’elle était encore une toute jeune fille.
Force est de constater que le scénariste Leigh Whannell a mis en œuvre une belle dose d’inventivité pour créer ce nouveau démon ! Le truc a des CLEFS au bout des doigts, et il s’en sert pour…
Haha, bien sûr que non je ne vais pas vous révéler l’un des éléments principaux de l’intrigue !
Insidious : La Dernière Clé, un film intelligent
Tous les gens qui considèrent l’horreur comme un sous-genre vont forcément bondir en lisant cet intertitre. Pourtant, Insidious 4 est vraiment brillant.
Il ne se contente pas de balancer des éléments hyper clichés du type : une maison, un fantôme, une balançoire qui couine, et des chasseurs de fantômes. Non, cet opus a été réfléchi.
Les éléments horrifiques sont toujours justifiés par le récit. Les jump scares ne sont pas là par hasard mais viennent appuyer des éléments de l’intrigue. Le sursaut est donc à propos.
Bref, Insidious : La Dernière Clé a tout compris !
Insidious : La Dernière Clé éclaire le reste de la saga
Point important : ce nouvel opus vient apporter des précisions sur le personnage d’Elise et donc sur les trois précédents volets. En voyageant dans son enfance, j’ai appris tout plein de choses sur elle.
Résultat : le mystère se lève sur plusieurs éléments du reste de la saga. Les cases se regroupent et s’imbriquent. L’univers s’étoffe, se complète, et s’étend.
Un bonheur !
Adam Robitel a réussi à peupler mon imaginaire de créatures. Je n’ai désormais plus qu’une hâte : retourner en salles le voir une seconde fois. Et plus qu’un désir, que la saga continue… pour longtemps.
Insidious : La Dernière Clé sortira en salles le 3 janvier !
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