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Les ingrédients magiques qui sublimeront tes plats

Parmi les astuces cuisine, il y a ces ingrédients indispensables, ceux qu’on dégaine en toutes circonstances et qui rendent n’importe quoi délicieux sans y laisser ni notre temps ni notre thune !
Aujourd’hui c’est #EnCuisineSimone ! Tu as envie de te (re)mettre à cuisiner, mais pas forcément de passer mille ans aux fourneaux ? Pas de souci.

Pas besoin de sublimer une viande rare comme dans Top Chef pour te faire plaisir… il suffit de lire nos articles du jour consacrés à la cuisine simple, économique, plutôt saine et surtout savoureuse !

Un plat parfait, ça peut passer par pas mal de critères : de beaux ingrédients de saison et de qualité, du temps passé à tout préparer ou encore un assaisonnement parfait.

Sauf qu’on a pas tou•tes un PEL à claquer pour le repas de midi, ou une vie qui nous permette de passer mille ans à cuisinier.

Heureusement, il y a cet ingrédient clé, un joker indétrônable, qui rend un plat excellent en un tour de main, celui qu’on vient rajouter tel Salt Bae.

C’est parti pour une sélection d’ingrédients indispensables, d’âmes sœurs du palais, sans lesquels nos vies seraient sans saveur.

L’oignon et l’ail, mes gars sûrs

  • L’incontournable de Mymy, rédac cheffe adjointe
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Chez Picard, ail coupé, 2,80€ et oignons rouges émincés, 1€40 

Je ne conçois pas de cuisiner sans oignon et ail. C’est comme faire à manger sans sel, sans eau ou sans amour. C’est comme un magret de canard sans sa couche de graisse, comme une tartiflette sans fromage, comme Julien Doré sans son mini-short en jean.

C’est pas impossible mais c’est fade.

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Je mets de l’oignon haché dans mes boulettes de viande, de l’ail écrasé avec du persil dans mes poêlées de légume, des petits dés d’échalote dans mes salades. Je fais des stocks d’oignon nouveau au printemps, quand ils fleurissent sur les étals des marchés.

Crus, les oignons et l’ail apportent un croquant et un piquant qui réveillent les papilles. Revenus dans du beurre, ils embaument la cuisine et relèvent n’importe quel plat. Fondus avec amour, ils deviennent moelleux, presque sucrés.

Si un jour vous venez chez moi et qu’il n’y a ni oignon ni ail dans ma cuisine, c’est qu’un alien a pris possession de mon enveloppe corporelle et se fait passer pour moi. Appelez les Men in Black.

Le pesto sinon rien

  • L’indispensable d’Esther, rédactrice société et politique
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Chez Auchan, Pesto Barilla, 1,89€

Du pesto. C’est utile pour à peu près tout. Associé avec des pâtes, ça fait un très bon repas peu cher. Mais tu peux aussi en mettre pour relever le goût de tes quiches en l’étalant sur le fond, ou sur tes pizzas à la mozzarella.

C’est aussi un délicieux assaisonnement pour tous les types de salades (par exemple avec des feuilles d’épinard, des tomates cerises et des penne : on fait pas plus simple et rapide).

Il m’est aussi arrivé d’en manger simplement avec des pommes de terre lorsque je n’avais plus rien dans mon frigo. C’est également mon ingrédient miracle pour pimper un sandwich. Ou une poêlée de légumes toute simple.

J’en fais des feuilletés en spirale parfois. Et je pourrais continuer longtemps comme ça, vraiment.

Mes colocs finissent presque par être saoulés d’ailleurs mais je vous jure : le pesto c’est la vie.

À lire aussi : Les meilleures sauces « toutes prêtes » à trouver en supermarché

Le vinaigre balsamique, breuvage des dieux

  • Le choix d’Ellen, graphiste
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Vinaigre balsamique, 3,47€ chez Monoprix

Personnellement, je mets du vinaigre balsamique dans beaucoup de choses (sandwiches, légumes, salades de pâtes..). Je trouve que ça se marie avec tout. Donc quand il n’y en plus dans le placard : EL DRAMA.

Quand je n’ai aucune inspiration de plats et/ou pas du tout le temps de me lancer dans de multiples préparations, je prends juste des légumes crus (j’épluche quand même mes carottes hein, on n’est pas des sauvages) ou je les cuis juste à l’eau puis je les nappe de ce délicieux breuvage créé par les dieux — je n’y vois pas d’autres explications.

Tout de suite, ta pauvre tomate ou ton gentil maïs est PIMPÉ de OUF. Confession pas du tout intime : parfois, il m’arrive d’en manger juste tout seul sur une tranche de pain grillé. Bref, le vinaigre balsamique, c’est la vie.

Et d’ailleurs, j’avais eu un peu la même obsession avec la moutarde américaine pendant un moment because ça va avec TOUT.

Le vin rouge, le pote fidèle

  • Le choix de Margaux, rédac food
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Un bordeaux à 6€, chez Auchan

Bon à la surprise de à peu près personne, ma botte secrète pas vraiment secrète c’est le pinard. J’ai toujours une bouteille de rouge chez moi parce qu’en plus d’aimer en boire, j’en mets dans mes plats.

J’aime bien parce que ça relève toujours les fromages et les échalotes (par exemple) (c’est ce que je préfère manger). J’ai qu’à en mettre un peu dans un plat et bim ça y est, pas besoin de mille ingrédients de plus puisque le vin a tout changé !

L’astuce, dans les pâtes notamment, c’est d’ajouter un jaune d’œuf aussi pour faire une sauce un peu enrobante sans que ce soit ultra gras non plus.

Ou alors de juste en verser un peu dans la poêle où vous faites revenir oignons, échalotes, champignons, viande ou autres, de servir ça avec un plat de pâtes (par exemple) hyper basique et bim c’est super bon.

Je pense que c’est mon côté ultra franchouillard mais pour le coup, c’est bien le vin mon ingrédient préféré.

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L’Arôme de Maggi, le Viandox mais en mieux

  • Le choix de Marina, rédactrice beauté
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Arôme de Maggi, 2,49€ chez Carrefour

L’Arôme de Maggi, ce truc relève tout sur son passage. C’est un peu comme le Viandox mais j’ai clairement une préférence pour l’Arôme. On peut vraiment en mettre partout, c’est très très salé alors doucement sinon ça détruit ton plat.

Sur une soupe avec des croûtons c’est tout simplement divin. En période de disette de fin de mois en mode Arôme, pâtes et beurre, ça te sauve un repas tristounet en attendant de recevoir ta bourse/ton salaire/l’argent de tes géniteurs.

Le piment, pour des plats toujours plus spicy

  • Le choix de Lise, rédactrice jeux vidéo
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Purée de piment Suzi Wan chez Monoprix, 1,64€

J’ai toujours kiffé le piment, même si je suis plutôt sensible du palais (les rondelles de piment du Subway me font déjà cracher des flammes, pour vous donner un exemple).

Il y a quelques années, ma mère m’a demandé de lui ramener du piment antillais des halles Paul Bocuse à Lyon. J’en ai trouvé dans une texture assez inhabituelle : une sorte de pâte, assez liquide.

On s’est vite rendu compte qu’en fait c’était HYPER FORT. Deux gouttes dans un plat, ça suffit pour parfumer le tout juste comme il faut. Du coup, j’en ai emmené la moitié dans un bocal à confiture.

J’en ai toujours aujourd’hui et j’adore ça. Je n’imagine plus la moindre bolognaise sans piment : j’en mets même sur du fromage parce que c’est probablement le meilleur assortiment qui soit !

Les gens pensent souvent que le piment gâche le goût des aliments. Moi je ne trouve pas : en le dosant correctement, c’est parfait ! Et il faut savoir qu’il y a différents goûts pimentés, qui « brûlent » chacun d’une façon différente. L’essayer c’est l’adopter !

À lire aussi : Le poulet caramélisé au piment — Recette croustillante

Le poivre blanc, l’essentiel du moment

  • Le choix de Juliette, rédactrice mode
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Poivre blanc moulu, 1, 28€ chez Carrefour

Non, je ne te parle pas de la marque qui faisait des cartables et trousses que tout le monde avait dans les années 90 et très en concurrence avec DDP, mais bien de l’épice.

Déjà je peux vous dire que, mes petits oiseaux, j’ai eu du mal à choisir, parce que si je devais avoir un titre en cuisine, ce serait celui de la chancelière des épices et herbes aromatiques. J’en fous dans tous mes plats et pour moi un plat sans, c’est un plat qui n’a pas de saveur.

Mais du coup si je devais n’en choisir qu’une, qui reste constante — car je marche aussi par phase, et je sors tout juste de ma période « cumin partout, fadeur nulle part » — c’est le poivre blanc.

L’avantage de celui-ci, c’est que même si son arôme est fort, il sait se faire discret si tu décides de juste en saupoudrer tes plats, ou bien t’arracher tranquillement la gueule si t’as pas peur d’avoir la main lourde. Bref, le mec s’adapte comme Mike Horn dans la djeungeule.

En plus il va avec tout, il n’y a pas un seul plat sur lequel il est de trop pour moi. Si j’aimais bien le sucré, peut-être même que j’en foutrais sur mes Figolu, yolo.

Et toi, quel ingrédient est ta botte culinaire pas très secrète avec laquelle tu saoules tous tes potes ? Viens la partager dans les commentaires !

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Les Commentaires

14
Avatar de Greeen
20 février 2017 à 15h02
Greeen
Alors, le poivre j'en fous partout. Poivre vert, noir, blanc, rouge... J'en ai pas mal de variétés à la maison et ;leurs saveurs sont différentes ! Le poivre vert est parfait pour le poisson, par exemple, il est bien plus doux que le noir. Après, si vous voulez vous renseigner, il existe une trentaine de poivres différents, certains avec une très forte saveur d'agrumes, d'autres très piquants, d'autres un peu sucrés...
Ah et by the way : Le poivre. Achetez le entier. Je vous en prie. Alors oui, ça coûte plus cher mais les poivres moulus sont produits à partir de graines épuisées et/ou avortées, ce qui veut dire qu'on en a retiré toute pipéride (c'est ce qui donne le goût au poivre) et donc, sans saveur et sans puissance.
Personnellement, je n'ai pas un gars sur en cuisine, c'est vraiment en fonction des recettes. Le poivre sur les pates carbonara, c'est obligé, je fais sécher du romarin que je colle dans tous mes plats en sauce, je balance du thym dès que je fais du poulet... Mais si y a un truc dont je ne pourrai me passer, c'est bien le beurre salé. Ca donne du gout à tout !
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