Mise à jour du 1er mai 2020
Eh mais c’est férié aujourd’hui n’est-ce pas ?
Alors pas d’excuse pour ne pas binger Hollywood !
Hollywood est dispo sur Netflix
Aujourd’hui, c’est la fête du travail, alors Hollywood en a profité pour débarquer sur Netflix.
C’est la meilleure nouvelle de ma journée, pas toi lectrice ?
Publié le 21 avril 2020
Les mini-séries de qualité fleurissent en ce moment sur Netflix (avec notamment la géniale Unorthodox), et ça n’est apparemment pas prêt de s’arrêter avec la sortie d’Hollywood le 1er mai.
J’ai rarement été aussi hypée par l’arrivée d’une mini-série !
Hollywood, la mini-série Netflix qui veut réécrire l’Histoire du cinéma
En regardant cette bande-annonce, des frissons me parcourent.
Entre la musique, les costumes, les décors et la photographie, tout me paraît si exaltant, et c’est bien l’effet escompté !
Car après son entrée dans l’âge d’or dans les années 30, Hollywood devient la fabrique à rêves des années 40 alors que le monde a sombré dans la Seconde Guerre Mondiale.
Mais série Hollywood dévoile un côté plus sombre et suit un groupe d’acteurs et de cinéastes en herbe dont l’objectif est de percer à tout prix dans l’Hollywood post-Seconde Guerre Mondiale.
La multitude de personnages présentés dans la bande-annonce révèle l’envers du décor de la machine à rêves via une fresque haute en couleur.
Elle mettra en lumière les dynamiques de pouvoirs, les injustices du systèmes et les discriminations ethniques, genrées et sur l’orientation sexuelle dont l’industrie est coupable (encore aujourd’hui).
Peut-être qu’Hollywood se verra devenir une uchronie qui nous montrera ce qu’aurait pu être le cinéma si ce groupe était parvenu à changer les choses ?
En tout cas, je n’ai qu’une hâte : binger le tout le 1er mai.
Hollywood revisite une période clé de l’Histoire du cinéma
Le cinéma de l’après-Seconde Guerre Mondiale constitue une période clé pour le cinéma américain et mondial.
Dans les années 30, Hollywood s’empare du cinéma parlant et vit son apogée, qu’on appelle l’Âge d’or hollywoodien.
C’est l’époque de l’hégémonie des studios qui régissent toute l’industrie (la Paramount, Columbia, 20th Century Fox, la Warner et Universal, entre autres), produisant à toutes berzingue des films et des stars adulées par le public.
C’est la première décade du parlant, c’est l’arrivée de la couleur, la création de genres dans le cinéma, et c’est le début de la starification.
C’est autant John Ford et ses westerns, que le Citizen Kane d’Orson Welles, mais c’est aussi Vivien Leigh dans Autant en emporte le vent et Ingrid Bergman dans Casablanca.
Mais la fin de la Seconde Guerre Mondiale sonne l’arrivée de la télévision et de la désertion des salle de cinéma par son public.
Hollywood plante donc son décor dans une décennie décisive pour le cinéma, où enjeux multiples et dynamiques de pouvoir s’entrechoquent.
J’ai vraiment hâte de pouvoir entrer dans les coulisses de cette période bouillonnante et passionnante par le prisme du soulèvement de ce groupe d’artistes.
Une équipe de choc derrière Hollywood
Hollywood nous est offert par Ryan Murphy (créateur d’American Horror Story et American Crime Story) et Ian Brennan, qui avaient déjà bossé ensemble sur The Politician.
Deux noms, deux showrunners gages de qualité auxquels s’ajoute un casting de haut vol.
Certains membres emblématiques de l’équipe de Ryan Murphy répondent présents : Darren Criss (Glee et American Crime Story), David Corenswet (The Politician) et même Jim Parsons (The Normal Heart de Ryan Murphy mais aussi Big Bang Theory).
J’aurais aussi l’occasion de mieux découvrir Jeremy Pope qui nous vient de Broadway, et Laura Harrier (BlacKkKlansman).
En tout cas, tu sais où me trouver le 1er mai : à Los Angeles, dans les années 40 !
T’y verrai-je, lectrice ?
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