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Vie quotidienne

Top 6 de nos pires vomis, histoire de vous faire relativiser les vôtres

Vomir n’est pas vraiment drôle sur le moment, mais cela peut donner lieu à des situations épiques ! Voici les pires histoires qui sont arrivées à la rédaction.

Le vomi, c’est un peu dégueu, mais parfois ce qui est dégueu peut aussi être rigolo.

Enfin quand je dis rigolo, ce n’est certainement pas sur le coup. Plutôt a posteriori, quand on y repense.

Je me souviens par exemple qu’un jour, un morceau est resté coincé genre pile à l’entrée de ma gorge et impossible, pendant une heure, de le faire retomber dedans, ni de le sortir…

C’était vraiment désagréable mais aujourd’hui, je me marre en me rappelant des tentatives un peu pitoyables de mon ex qui me tapait fébrilement dans le dos pendant que je tentais de roter afin de décoincer le truc.

Voilà, si cette première anecdote est déjà too much pour vous, je vous conseille de fermer cette page parce que ce qui va suivre est encore moins glamour. Voici les pires vomis de la rédaction de madmoiZelle.

À lire aussi : Émétophobie mon amour

Le vomi qui a la saveur de vacances

Ici Elise, rédac mode. Mais ce que je vais vous raconter ne sera jamais dans une page de Vogue.

Quand j’étais petite, je partais systématiquement à la mer pendant les vacances d’été. Alors quand j’ai découvert pour la première fois l’océan Atlantique déchaîné, ça m’a rendu toute chose !

On faisait les andouilles avec des copains à sauter partout, se courir après (enfin se nager après). Ça, additionné au fait de boire la tasse, d’être trimballée par les vagues et de rire comme une baleine… Et bien j’ai vomi. En riant. Devant mes potes. Dans l’océan.

J’ai encore plus ri en le voyant flotter telle une écume de mer perdue.

On dit souvent que les enfants pissent dans l’eau de la piscine. Et bien moi, j’ai vomi dans l’océan, et c’est pas mieux.

Le vomi qui avait bon goût

Je suis Younès, développeur Web, et je ne pensais pas un jour raconter ça sur Internet…

Un jour, je suis allé avec quelques potes à la fête foraine. Dans notre périple, on a mangé de super milkshakes

. Le mien avait un goût de snickers et j’en aurais mangé deux fois si j’avais pu…

Suite a ça on est allé faire un manège, du genre qui bouge dans tous les sens. Donc l’attraction se lance, change de sens puis rechange encore.

Après trois minutes même pas, j’étais si mal que j’me suis dit que c’est bon, j’allais mourir. Heureusement, le manège a fini par s’arrêter…

J’ai à peine eu le temps de marcher deux pas que j’ai gerbé. J’ai fait un jet incontrôlable en face de moi, mais heureusement personne n’a été touché. Aucun dégât, je l’ai fait comme un prince.

Mais surtout le vomi était bon. Ne me jugez pas ! Il avait le goût du milkshake, je lui mettrais quatre étoiles au guide Michelin s’il y en avait un dédié aux vomis.

Alors mes potes et moi sommes repartis, tranquillement, et là j’ai vu un stand de nourriture. La vision, l’odeur… J’ai gerbé de nouveau. Sauf que cette fois, c’est parti sur un inconnu.

Désolé pour lui. Mais au moins, il avait bon goût.

Le vomi impossible à retenir

Laila aux commandes, avec un vomi qui ne tient pas en place.

J’avais 8 ans.

Je revenais en avion de vacances avec mes parents et mes sœurs. Notre vol de retour avait pris beaucoup de retard.

Il faisait super chaud. Je me souviens avoir bu une gorgée de coca en rentrant dans l’avion et, arrivée dans le couloir, j’ai senti l’envie de vomir monter….

J’ai voulu le retenir en fermant ma bouche mais impossible de contrôler le jet : ça a éclaboussé les premiers passagers assis à côté de moi. Je me suis sentie très coupable.

Le vomi au travail

C’est Manon, et je vais vous raconter plusieurs vomis. Derien.

Mon pire vomi, ou plutôt mes pires vomis, ont eu lieu sur mon lieu de travail (dans une autre entreprise), le lendemain d’une soirée alcoolisée avec des collègues.

J’ai vomi deux fois tous mes tripes dans les toilettes et j’ai failli vomir dans l’ascenseur. Au lieu de ça, j’ai vomi sur la terrasse de l’entreprise. J’ai même pas pu faire ça proprement dans les poubelles car elles étaient fixées, alors j’ai déversé mon dû à côté, sur le sol. Beaucoup trop de honte en moi.

Va savoir par quel miracle personne ne l’a su.

D’ailleurs mes autres collègues, avec qui j’avais fait la bringue la veille, n’ont pas arrêté de répéter suite à cette soirée que je tenais très bien l’alcool et que le lendemain j’avais l’air d’être la plus fraîche de tous. 

Le vomi qui ne décourage pas à l’idée de baiser

Courageusement anonyme, je refuse totalement d’assumer cette histoire. Je suis incognito.

Une nuit, j’ai rencontré un gars dans un bar. J’avais déjà un peu bu, lui aussi, et on a bien accroché. Nous avons continué à boire et puis nous avons fini chez moi quelques heures plus tard.

Je me sentais déjà pas très bien à ce moment-là mais l’alcool me donne de très TRÈS fortes envies de niquer. Alors au diable mes haut-le-cœur, j’ai laissé mon amant descendre entre mes jambes pour me lécher avec délectation.

Pour kiffer un peu plus, j’ai fermé les yeux. Grave erreur : ça a fait des loopings dans ma tête. Ce qui était un râle de plaisir s’est mué en rot. J’ai à peine eu le temps de me relever, de courir aux toilettes, et j’ai vomi mes tripes dans les cabinets.

Sauf que, comme je disais, l’alcool me donne des envies de cul hors-normes. Alors je me suis brossée les dents et je suis allée retrouver le garçon qui était tout penaud, une demi-molle entre les jambes.

Histoire de raviver le désir, j’ai tout naturellement décidé de prendre en bouche son pénis. Saviez-vous que l’alcool rend particulièrement stupide ? Car quelques secondes après avoir tenté mon affaire, sa teub endurcie a heurté ma glotte. Ce qui devait arriver arriva.

J’ai vomi de nouveau. Sur lui.

Du coup on a pris une douche puis on a attendu le lendemain pour faire du sexe.

Parce que oui, au risque de vous surprendre, ce jeune homme n’a jamais semblé dérangé par ma nausée.

Le vomi qui guérit de l’envie de fruits de mer

Le saviez-vous ? Louise ici présente ne mange pas de crevettes. Et ce n’est pas JUSTE par végétarisme.

J’étais partie en week-end avec ma famille. Le dernier jour, nous avions décidé de faire un super pique-nique au bord d’une falaise avec des fruits de mer, du citron, du beurre et du pain (parce que : what else ?). 

Sur la route, je ne me sentais pas hyper bien, mais j’ai mis ça sur le compte du mal des transports. Pour ma mère non plus, ça n’allait pas beaucoup mieux. J’ai bu pas mal d’eau et je me suis reposée avant d’aller prendre mon train, une demi-heure plus tard.

Plus ça allait, plus j’avais la nausée. J’ai alors décidé de me poser non loin des latrines mises à disposition par la SNCF une fois dans mon wagon.

Et dix minutes plus tard… je vomissais des glaviots dans les toilettes d’un TER.

Définitivement, il s’agit du moment le moins glamour de la vie.

Je ne sais pas si j’avais plus envie de vomir à cause de mon intoxication alimentaire ou à cause de la propreté toute relative des WC.

Depuis, je n’ai plus mangé de fruits de mer. Et je n’ai plus vomi dans un train… pour le moment.

Alors, est-ce que ces anecdotes te font relativiser tes nausées gentillettes post-gueule de bois ? Te sens-tu de challenger la #TeubSurGlotte ou encore le #VomiMichelin au milkshake dans les commentaires ? 

big-trucs-degueu-satisfaisants

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Les Commentaires

34
Avatar de mimi0992
8 novembre 2017 à 02h11
mimi0992
À la lecture de cet article j'ai failli vomir de rire...
0
Voir les 34 commentaires

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