Cet article a été rédigé dans le cadre d’un partenariat avec le Nikon Film Festival. Conformément à notre Manifeste, on y a écrit ce qu’on voulait.
Le Père Noël, le lapin ou les cloches de Pâques, la petite souris… Toutes des affabulations d’enfants, des mensonges d’adulte ?
Et si ça ne l’était pas tant que ça ? C’est la piste que le court-métrage Je suis la vraie histoire de la petite souris se propose d’explorer.
Je suis la vraie histoire de la petite sourie, un court métrage tendre et fantastique
On y rencontre Paul, déçu que la petite souris ne soit pas passée après qu’il a perdu une dent de lait. Peut-être celle-ci n’est-elle pas assez blanche ?
Clique sur la photo pour voir le court-métrage !
Deux mondes qui se côtoient, et j’y vois une douce métaphore de la magie propre aux enfants qu’on laisse parfois s’évaporer en atteignant l’âge adulte.
Ce court-métrage est l’œuvre d’un travail d’équipe : réalisé par Ilan Zerrouki, à partir d’un scénario d’Amélie Prévot et Marion Christmann.
Selon Amélie, le film recoupe aussi un certain nombre de thématiques sociétales : les parents « imparfaits » qui oublient la petite souris, la problématique de l’accès au soin avec cette file d’attente interminable pour se procurer des dents au marché noir de la petite souris.
Un film à l’univers légèrement pop tout en douceur et en poésie, qui ne délaisse pas les vraies questions, donc !
Pour rappel, c’est le 15 février que les gagnant·es du festival seront révélé·es lors de la cérémonie de clôture.
Et si tu veux t’en mettre plein les yeux,
les 50 finalistes seront diffusés en projection publique les 12 et 13 février au soir, à Paris. Rendez-vous sur l’évènement Facebook, et par ici pour prendre ta place !
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