Le G20 vient de commencer à Cannes, et en fanfare – c’est le moins que l’on puisse dire. Georges Papandréou fait marche arrière et se dit prêt à enterrer son projet de référendum
sur le plan de sauvetage de la Grèce et a accepté la constitution d’un gouvernement de coalition dont la priorité serait l’application du texte.

La négociation politique n’est pas bouclée pour autant : la balle est désormais dans le camps des partis politiques grecs, chargés de se mettre d’accord pour ratifier le plan.
L’opposition de droite a reconnu pour la première fois la nécessité d’appliquer ce plan d’aide, mais pose tout de même 3 conditions : la formation d’un gouvernement de transition, l’organisation rapide d’élections anticipées et le départ du Premier ministre socialiste.
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