En partenariat avec Elia Lingerie (notre Manifeste)
Il y a quelques années, j’habitais en Australie et je suis rentrée en France pour fêter Noël en famille pendant quelques jours avant de repartir pour Sydney. C’est là que j’ai fait la rencontre de ma première culotte de règle qui était de la marque de lingerie menstruelle bio et 100 % française Elia Lingerie. Elle m’avait été offerte par ma cousine ; je l’ai testée pour un comparateur de culottes à paraître chez Madmoizelle.
Lorsque je l’ai découverte, je ne savais pas ce que c’était, je me suis demandé pourquoi on m’offrait cette grosse culotte épaisse ! Dans ma tête, je me demandais si ma chère cousine ne me prenait pas pour une grand-mère… En voyant ma tête, elle m’a expliqué que c’était « une culotte pour les règles », du coup j’ai décidé de la mettre durant mon vol de retour.
Il faut s’imaginer 24h de vol, en sachant que ses menstruations peuvent débarquer à tout moment, ou devoir changer de tampon dans des toilettes cracra qui ne sont absolument pas stables. Il n’y a rien de pire qu’un vol long-courrier quand on a ses règles. Je suis tombée amoureuse des culottes à partir de là. Ça a été une révélation !
Les culottes menstruelles réduisent les déchets plastiques
On ne se rend pas compte de la chance qu’on a en Europe, même si la précarité menstruelle y reste malheureusement une réalité. J’ai passé neuf mois en Inde où la situation, côté protections hygiéniques, est critique… Impossible de trouver des tampons à part dans les très grandes villes, et les serviettes hygiéniques sont très dures à se procurer. C’est un pays où les femmes sont carrément mises à l’écart lorsqu’elles ont leurs règles, à cause de superstitions tenaces : on a peur qu’elles portent malheur, ou encore qu’elles fassent faner les cultures dans certaines régions.
De plus, les gens vous jugent quand vous achetez des protections hygiéniques, et ensuite on se sent bien seule quand il faut les jeter, et qu’il n’y a presque aucune gestion des déchets… Les habitants ont souvent pris l’habitude de les brûler, ou de les mettre de côté en attendant d’avoir accès à une poubelle, ce qui pose de sérieux problèmes d’hygiène et de pollution.
D’ailleurs, à travers tous mes voyages, j’ai pu observer la planète changer à cause de l’action humaine, de la déforestation, du réchauffement climatique. En France, on en parle beaucoup, mais on n’est pas confronté au problème de la même façon. Par exemple, je suis allée à Bali, une destination plutôt en vogue depuis des années : je n’avais jamais vu de plage avec autant de plastique.
L’aspect écologique de ces protections réutilisables a été un très bon argument pour me motiver à passer entièrement aux culottes menstruelles et réduire mes déchets. D’un point de vue éco-responsable, le mode de production de ce que je consomme a aussi son importance. C’est aussi pour ça que les culottes Elia Lingerie, me conviennent à tous les niveaux : les produits sont fabriqués à partir de coton bio et labellisés GOTS et Standard 100 by Oeko Tex.
Les culottes menstruelles, meilleures alliées des séjours à la dure
Quand je fais des treks à la montagne, dans des pays en voie de développement, il n’y a pas de toilettes et c’est extrêmement difficile de se procurer des protections hygiéniques. Par la suite, si j’arrive à en acheter, c’est impossible de les jeter dans la nature comme ça et ensuite vient le problème de se laver les mains… Ce n’est pas du tout hygiénique !
Maintenant, lorsque je pars pour plusieurs jours, je prévois plusieurs culottes et un sac plastique pour pouvoir les y mettre lorsqu’elles sont pleines. C’est quand même un énorme avantage d’avoir à seulement changer sa culotte, sans risquer la mycose à chaque fois en changeant de protection parce qu’on n’a pas la possibilité de se laver les mains !
Pour les laver, dès que j’arrive à trouver de l’eau — une rivière, une douche ou autre — je les rince abondamment, puis je les nettoie avec de la lessive et je les laisse sécher dès que possible. Plus tard, quand j’ai accès à une machine, elles y passent directement. Il faut dire aussi que j’ai beaucoup de chance : mes règles ne durent pas longtemps.
Quand je repense à mon séjour en Australie, durant lequel j’ai fait différents petits boulots dans des fermes entre deux voyages… dans ces moments-là aussi, la culotte menstruelle s’est révélée une véritable alliée. Ce sont des travaux extrêmement physiques, dans un pays où il fait 45°C au soleil, donc à la fin de la journée j’étais pleine de terre et de poussière. En l’occurrence, je ramassais des œufs, donc j’avais les mains dans le caca de poule toute la journée : je vous laisse imaginer l’état de mes ongles ! Je suis bien contente de ne pas avoir eu à changer de tampon ces jours-là.
Auparavant j’avais beaucoup d’infections, car j’ai une flore vaginale ultrasensible : durant mes périples, si mes tampons n’étaient pas changés toutes les trois heures, si mes mains et mes ongles n’étaient pas suffisamment propres, c’était la cata. Des mycoses ou infections urinaires sont aussi apparues quand je portais des serviettes, alors que je n’en ai jamais eu depuis que je suis passée aux culottes menstruelles.
Le maillot de bain menstruel, une petite révolution
Quant aux maillots de bain menstruels, je trouve que c’est génial ! C’est d’ailleurs mon prochain projet d’achat chez Elia Lingerie.
J’ai grandi au bord de la mer, et quand j’étais plus jeune, et que j’avais mes règles, eh bien je n’allais plus me baigner… je n’utilisais pas de tampons parce que je n’arrivais pas à les mettre, ça me faisait mal. Du coup je n’avais pas vraiment le choix, alors qu’avec des maillots menstruels on a l’opportunité de choisir de se jeter à l’eau ou non !
Et si vous partez en voyage sur des plages sauvages, vous serez contentes de ne pas vous soucier de vos tampons ou serviettes au moment de plonger dans les eaux turquoise.
Les culottes menstruelles, soutien de toutes les voyageuses
C’est relativement facile de changer de tampon en France : il y a un accès à l’eau potable, il y a des toilettes, il y a des magasins dans lesquels on peut facilement s’en procurer. Mais quand vous vivez seule avec votre sac à dos, quand vous ne savez pas où vous êtes, quand passera le prochain bus qui pourra vous ramener près de là où vous dormirez ni si l’endroit est propre, les règles deviennent facilement un problème !
Alors pendant toutes les expériences que j’ai pu vivre durant mes voyages, durant lesquels je n’avais pas accès à mon confort du quotidien occidental, les culottes menstruelles ont été un vrai soutien.
Sensualité ou douceur, Elia Lingerie sait faire les deux
La marque de lingerie vous propose une gamme très diversifiée avec des shorty, string, tanga, cycliste, afin que vous puissiez être entièrement libre durant cette période du mois, et ce quel que soit votre flux.
Vous avez une soirée pour laquelle vous voulez vous sentir sexy dans vos dessous ? Le shorty Colette est tout indiqué !
- Le petit plus : sa dentelle extensible qui vient arrondir le porté sur les hanches
- Pour qui : les flux intermédiaires
- Prix : 45€
Vous voulez passer une journée ou une nuit confortable et au sec ? Le modèle Sixtine, disponible en noir, en rouge coquelicot et bleu roi saura vous charmer.
- Le petit plus : il permet jusqu’à 12h d’absorption
- Pour qui : les flux abondants
- Prix : 38€
À lire aussi : Enfin des culottes menstruelles dédiées aux 1ères règles !
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