Cet article a été rédigé dans le cadre d’un partenariat avec le Nikon Film Festival. Conformément à notre Manifeste, on y a écrit ce qu’on voulait.
Le Nikon Film Festival regorge de pépites.
Seulement, lorsqu’on n’a pas énormément de moyens pour se procurer le matériel approprié, la qualité visuelle de nos vidéos peuvent en pâtir (on a pas tous la thune de Michael Bay).
Mais chez madmoiZelle, cela n’a pas d’importance. On privilégie avant tout le message que le créateur, la créatrice en herbe veut délivrer.
Et puis de temps en temps, certaines propositions filmiques brillent autant par leur forme que par leur fond.
C’est le cas de Je suis un genre de cadeau, qui allie créativité, intelligence, actualité, modernité et image travaillée.
Le court-métrage parfait, en somme !
Je suis un genre de cadeau, une réflexion sur le genre
Clique sur l’image pour voir le film.
Délicat et réfléchi, ce petit film de seulement 2 minutes 20 parvient en un clin d’oeil à faire passer ses messages pluriels.
Sophia B., la réalisatrice qui se définit elle-même comme une personne qui aime «
le cinéma et la bûche », m’a résumé en quelques mots l’intrigue de son projet :
Noël, un sapin, une famille. Tout s’annonce bien. Mais il risque d’en être autrement : un simple cadeau va suffire à troubler cette belle-famille.
Eh oui, il ne suffit parfois pas de grand chose pour pousser sa famille à s’interroger…
Je ne veux pas vous en dire plus. Les court-métrages ont déjà une contrainte de temps non négligeable, alors je ne veux surtout rien risquer de vous spoiler.
Je n’aurais alors qu’un conseil : abandonnez-vous à une pause de 140 secondes, et dégustez cette pépite jusqu’à la fin.
Et si vous voulez soutenir le court-mérage de Sophia B., rendez-vous ici !
À lire aussi : Je suis une comédie musicale, le court-métrage qui agit comme un rail de bonheur (ou presque) !
Écoutez l’Apéro des Daronnes, l’émission de Madmoizelle qui veut faire tomber les tabous autour de la parentalité.
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