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Une femme heureuse, le nouveau film de Dominic Savage produit par Gemma Arterton sort aujourd’hui en salles.
Je l’ai pour ma part découvert il y a plusieurs semaines, en projection presse, et j’ai eu un énorme coup de coeur.
Délicat, sensible, moderne et couillu, il s’est immédiatement imposé dans mon top 10 des meilleurs films de l’année.
Je suis très fière qu’ici, chez madmoiZelle, nous soyons partenaires.
Gemma Arterton se confie sur Tara, son personnage en mal de liberté
J’ai découvert Gemma Arterton en 2010 dans Tamara Drewe, le film indépendant de Stephen Frears qui avait fait pas mal parler de lui.
Immédiatement, j’étais sous le charme. J’ai suivi de très près l’évolution de sa carrière et j’étais donc ravie de la rencontrer vendredi dernier, Place des Vosges, dans le jardin bucolique d’un hôtel particulier.
Le décor était idyllique, Gemma était lumineuse.
Avec naturel, et en tenant absolument à parler français, elle s’est livrée sur son rôle, son amitié avec Dominic Cooper, les difficultés de l’improvisation et sa ville natale.
Une belle rencontre dont je me souviendrai longtemps.
Je te laisse découvrir ses opinions, sa délicatesse et ses tâches de rousseur dans ce quart d’heure d’interview.
À lire aussi : Pourquoi voir « Une femme heureuse », l’échappée belle de Gemma Arterton ?
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