Sur les pistes ou sur la glace, les athlètes du monde entier participent aux Jeux olympiques d’hiver qui se tiennent actuellement en Chine. Et parmi eux, certains comptent bien ne pas cacher leur identité, dans un pays où être une personne LGBTI+ out est encore risqué.
La très grande majorité est issue d’Amérique du Nord et d’Europe : ils et elles représentent le Canada (10), les États-Unis (6, la Grande-Bretagne (4), ou encore la Suède (3).
Côté discipline, c’est le patinage et le hockey qui concentrent un grand nombre de sportives et sportifs ayant fait leur coming out.
En France, la bannière arc-en-ciel est portée par deux athlètes :
Guillaume Cizeron, patineur artistique de danse sur glace en compétition avec sa partenaire Gabriella Papadakis, ensemble quadruples champions du monde, et quintuples champions d’Europe, qui a fait son coming out en 2020.
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Kevin Aymoz, lui aussi patineur artistique et quintuple champion de France, qui a fait son coming out en 2021 à travers le documentaire Faut qu’on parle.
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La situation encore difficile des personnes LGBTI+ en Chine
Mais quelle visibilité pour les personnes LGBTI+ dans ces Jeux olympiques ? En Chine, la situation reste encore très difficile. Les personnes LGBTI+ subissent toujours différentes formes de pressions et de censures : des événements sont annulés, comme la Pride de Shanghai, annulée depuis 2020 pour une durée indéterminée, ou encore des groupes sur les réseaux sociaux fermés de façon arbitraire.
En 2014, les Jeux d’hiver s’étaient déroulés à Sochi, en Russie. Loin de rester silencieux face aux atteintes aux droits des personnes LGBTI+, de nombreux athlètes de haut niveau, de Billie Jean King à Belle Brockhoff en avaient profité pour dénoncer la politique de Vladimir Poutine.
Cette année, certains veulent aussi profiter de ces JO comme d’une plateforme pour donner de la visibilité. C’est le cas de la snowboardeuse tchèque Šárka Pančochová qui veut donner un coup de projecteur sur la situation dans son pays, et sur une loi en discussion sur l’ouverture du mariage aux couples de même sexe.
« C’est toujours un honneur de représenter mon pays aux Jeux olympiques, et aussi de représenter la communauté LGBTQ et de défendre le mariage pour tous en République tchèque. C’est dans ma tête en permanence ! »
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Un autre athlète devrait aussi marquer la compétition olympique : pour la première fois, une personne non-binaire participe aux Jeux olympiques : Timothy LeDuc, patineur.euse artistique qui représente les États-Unis, entend montrer avec sa partenaire Ashley Cain-Gribble toute sa détermination :
« J’espère que quand les gens connaîtront mon histoire, ils ne diront pas “Timothy est la première personne non-binaire à atteindre ce niveau de réussite dans le sport“. Les personnes queer peuvent être out et peuvent faire du sport. On a toujours été là, on a toujours fait partie de la compétition. C’est juste qu’on n’a pas toujours pu en parler. »
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Les Jeux de Pékin auront-ils leur moment arc-en-ciel comme il y a quatre ans, durant les Jeux de PyeongChang en Corée du Sud ? Un moment aussi grandiose que celui dont nous avait gratifié le skieur américain Gus Kenworthy qui, s’il n’avait pas remonté de médaille, avait ravi toute la planète en embrassant son petit ami après avoir dévalé les pistes.
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