Pourquoi j’ai adoré Galveston, le film sulfureux de Mélanie Laurent

En partenariat avec The Jokers (notre Manifeste) 

Publié le 8 octobre 2018 — Si tu lis cette rubrique régulièrement, ça ne peut pas t’avoir échappé : j’attendais Galveston de pied ferme.

Et pour cause, il possédait tous les atouts du film qui me fait courir en salles.

Un casting prestigieux (Elle Fanning, Ben Foster), une intrigue sombre et mystérieuse, et surtout un nom. Celui de Mélanie Laurent, qui est souvent gage de sensibilité et d’humanité. 

Après plus d’1h30 de film, le constat est tombé net, comme un couperet : le résultat était largement au dessus de mes attentes.

Galveston, un film sulfureux et humaniste

Haletant, le nouveau bébé de la créatrice de Respire l’est à 200%.

Entre la brutalité des personnages, la tension de l’action, les rebondissements qui parsèment l’œuvre entière et surtout la sensualité mêlée d’aigreur de Roy et Raquel, j’ai laissé un bout de mon palpitant dans la salle de cinéma. 

Laisse-moi te résumer son pitch !

Roy est un gangster de la Nouvelle-Orléans.

Sous son physique de brute épaisse, il cache un cœur plutôt tendre, que la maladie ronge. Un soir, son boss lui tend un guet-apens dont il est censé ne pas sortir vivant.

Il arrive toutefois à en réchapper et prend la fuite avec une jeune prostituée, Rocky.

Démarre alors une cavale vers la ville de Galveston, qui sera ponctuée de risques, de violences, et de magouilles. Une chose est sûre : l’un comme l’autre, le héros et l’héroïne n’ont plus rien à perdre, à part peut-être leur cœur…

Je te conseille ardemment de foncer dès mercredi 10 octobre dans la salle de ciné la plus proche de chez toi pour voir cette pépite, dans laquelle s’ébattent tous les sentiments humains. 

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