Après les foulards oniriques d’Esther Bonté, place aujourd’hui au cabinet de curiosités d’Antagoniste.
Memento Mori ou « souviens-toi que tu vas mourir », c’est le thème de la toute première collection d’Angélique Robin qui crée des foulards pour une allure à la fois rock et dandy.
On se laisse hypnotiser par le kaléidoscope numérique d’anciennes gravures du XVIIIème siècle. Chaque carré fourmille de représentations mi-fascinantes mi-dérangeantes, souvent morbides et complètement typiques des vanités de l’époque. Huit modèles en tout, que vous pouvez découvrir sur le site de la marque.
"Jungle Juice" et "La philosophie dans le boudoir"
Tout le bestiaire symbolique des gravures du XVIIIème est là, des pieuvres géantes qui terrifiaient les marins aux sphinx – papillons de nuit à têtes de mort – et aux singes. Sans oublier têtes de mort, yeux, squelettes et autres joyeusetés anatomiques.
"Octopus Trap" et "Sticks and Stones…"
Ourlettés et imprimés numériquement en France dans la région de Lyon, les foulards en twill de soie se déclinent aussi en écharpes, en étole pour homme et en pochette de costume.
« 12 Monkeys army »
Côté prix, comme pour Esther Bonté, les foulards en soie sont chers (comptez 165€ pour un 90 x 90 cm) mais une pochette de costume revient par exemple à 45€. Si voulez profitez des -15% de réduction en ce moment pour la fête des mères, vous pouvez retrouver la liste des points de vente ici.
« Big Brother Amplified » et « Vivre et mourir devant un miroir »
Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
Les Commentaires
Pour 165? je peux m'en acheter un pendant les soldes Hermès :/ et j'ai plus "confiance" surtout que si je mets autant d'argent c'est pour que ça tienne des années. Même si ceux-ci ont l'air de bonne factures et que j'aimerai les ajouter à ma collection je passe mon chemin.
La c'est plus de jolis foulards pour mes jeunes années.
Je suis triste. Je veux la "philosophie dans le boudoir"