Écoute, on ne va pas se mentir : aussi bosseuse que je puisse être, bah il y a des moments où j’ai sacrément envie de ne rien branler. De glander, des heures durant, en regardant des séries et en comptant mes poils.
Mais le monde est ainsi fait : il faut bosser pour faire évoluer sa carrière et pour vivre. Pire ! (ou « Mieux ! »), je ne me sens bien qu’après avoir travaillé minimum 7h sur une journée, au moins 5 jours par semaine. J’adore ça, bosser.
Je ne me sens bien qu’après avoir travaillé minimum 7h sur une journée, au moins 5 jours par semaine.
J’adore écrire, tourner, noter des idées, brainstormer, créer des trucs, faire partie des créations des autres et être productive. J’aime bosser et la sensation après avoir bien travaillé.
Mais je suis un être humain et voilà, parfois, l’envie de glander m’emmène vers une vidéo sur YouTube, puis deux, puis trois et ainsi de suite jusqu’à la tombée de la nuit. Et dans ces moments-là, faut briser le cercle de la lose. Et pour ceci, j’ai quelques astuces presque imparables (sauf des fois).
Moi quand j’ai tellement réussi à me remettre à bosser que c’est comme si on était plusieurs à travailler sur mon ordinateur.
À lire aussi : Comment se motiver à se sortir enfin les doigts ?
Aller voir le travail de gens que j’admire
Motivation mère de toutes les motivations. Quand j’ai la flemme de travailler, je regarde un épisode d’une série que j’aurais aimé avoir écrite, ou LA vidéo phare d’un•e youtubeur•se que j’admire.
Quand j’ai la flemme de travailler, je regarde un épisode d’une série que j’aurais aimé avoir écrite.
Ça marche nickel : en voyant des gens qui ont atteint un objectif de type vivre de leur passion, et en le faisant en gardant leur intégrité, en faisant passer des messages progressistes et/ou bienveillants qui me parlent, bah j’ai envie de me motiver à bosser pour faire moi aussi des trucs qui font passer de bons messages.
Quand je suis vraiment très très motivée.
À lire aussi : La bienveillance, le secret pour plus d’efficacité au travail
Voici, à titre d’exemple, ma petite boîte à idées des vidéos inspirantes à regarder, dans laquelle je pioche dès que besoin :
- un épisode de Parks and Recreation, qui me donne envie de bien bosser pour arriver à la cheville d’Amy Poehler en acting et celle de Michael Schur en termes d’idées de fiction et d’écriture.
- un épisode de 30 Rock, pour les mêmes raisons mais personnifiées en une seule personne, Tina Fey (ELLE SAIT TOUT FAIRE).
- une vidéo de Natoo, Lola Dubini ou Grace Helbig et tant d’autres (un petit panaché de vidéos de certaines de mes youtube-heroes si ma motivation est enfoncée très loin dans mon anu’).
À lire aussi : Natoo fait une vidéos sur les femmes sur Youtube… Et nous encourage à nous lancer ! — Bêtisier en Bonus !
Si ça marche c’est parce que ça me parle professionnellement. Ça dépend évidemment du domaine dans lequel tu travailles ou souhaites travailler. Si j’avais voulu être prof, j’aurais repensé à ceux et celles qui m’ont le plus inspirée quand j’étais au collège ou au lycée.
Si j’avais rêvé d’être ministre, une interview de Najat Vallaud-Belkacem. Si je voulais être entrepreneuse, bon bah je trouverais sûrement une créatrice d’entreprise qui me motiverait de ouf, mais du coup comme c’est pas mon objectif professionnel, j’ai retenu zéro nom.
Warning : c’est pas une méthode qui marche à tous les coups. Avant, j’avais un problème de comparaisons handicapantes et ça ne marchait pas du tout.
Ça avait même l’effet inverse. Genre « oh bah foutu pour foutu je ne ferai jamais de trucs aussi bien que ces personnes alors à quoi bon ? Je vais plutôt aller manger des chips devant Les Reines du Shopping ». Donc évidemment, faut jauger, tester et voir si certaines techniques marchent mieux que d’autres.
Faire une micro-sieste
MAIS OUI ENFIN ! Faisons tou•tes des micro-siestes, c’est complètement magique.
Tu mets ton réveil dans, disons, vingt minutes, et le temps de t’endormir ça te fait presque tout pile juste ce qu’il te faut pour te remettre d’aplomb.
En plus, je ne sais pas toi mais je m’endors bien plus rapidement en journée que la nuit, avec toutes les angoisses qui déboulent aussi vite que je cours au McDo un lendemain de nuit blanche.
Les siestes, c’est la vie. Si je pouvais en manger, j’en mangerais plein.
Ouais comme ça, mais en moins blaireau que ce blaireau (j’t’ai déjà dit que je détestais Ross Geller ?)
À lire aussi : Top 4 des meilleures siestes (selon une source scientifique : moi)
Me faire une boisson et en profiter
Aller se faire un bon gros thé ou un bon gros café, un jus d’orange pressé, un Coca ou je ne sais pas quoi, c’est bien souvent le premier réflexe qu’on a quand on a un coup de mou pendant les révisions ou le travail.
À lire aussi : Sélection déco spéciale boissons chaudes, pour un peu de réconfort
(Moi la PREUM’S hein, c’est pas pour faire style je vais juger. Je ne suis pas comme ça, à juger tout le temps. Je pense que c’est dû au fait que j’ai écouté en boucle une chanson de Nickelback quand j’avais 13 ans. Ça te remet les idées en place pour toute une vie, ça.)
Sauf que très vite, cette boisson n’a plus eu d’effets. Ça ne changeait rien, ni à mon énergie ni à ma motivation. Le truc, c’est qu’il fallait vraiment que je me pose avec ce breuvage, que je le déguste sans bosser, en me décrochant de mon ordi ou de mes notes.
Bah ouais quoi.
Il fallait vraiment que je me pose avec ce breuvage, que je le déguste sans bosser.
Ça permet de faire une pause, une vraie, de reprendre de l’énergie et de revenir sur son travail bien plus motivée.
Comme une pause clope, mais sans cigarette ! Là où je pensais que j’étais bien plus productive quand j’étais fumeuse, bah en fait, j’avais tout faux : j’étais surtout plus efficace quand je prenais plusieurs vraies pauses de plusieurs minutes.
Et toi, comment tu fais pour te motiver à te remettre en selle sur ce que tu as à faire ?
À lire aussi : Conseils pour se motiver à réviser (ou autre tâche barbante)
Vous aimez nos articles ? Vous adorerez nos newsletters ! Abonnez-vous gratuitement sur cette page.
Les Commentaires
Mais uniquement pour les travaux de type réflexion-écriture (genre faire ses devoirs, ou écrire des articles/textes), parce que mon "vrai" boulot fait beaucoup de bruit, de poussière, et nécessite un atelier bien garni niveau machines (un jour je travaillerais chez moi, un jour…)