C’est l’heure des films de la semaine !
Sauver ou périr, une pépite du cinéma français
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En général, le casting joue pour au moins un tiers dans mon envie d’aller mater un film.
Ici, les simples noms de Pierre Niney, Anaïs Demoustier, Chloé Stefani suffisent par exemple à me faire acheter un billet.
D’autant plus que j’ai un crush tout à fait assumé sur Pierre Niney, qui saute toujours d’un rôle à l’autre avec l’agilité du saumon qui remonte la rivière.
Bref, Sauver ou périr c’est l’histoire de Franck, qui exerce la profession de Sapeur-Pompier, à Paris.
Son métier consiste à sauver des gens. Dans sa caserne, il vit avec sa femme et ses deux petites jumelles, et coule avec sa petite famille une existence heureuse.
Lors d’une intervention sur un incendie, il se sacrifie pour sauver ses hommes. A son réveil dans un centre de traitement des Grands Brûlés, il comprend que son visage a fondu dans les flammes.
Il va devoir réapprendre à vivre, et accepter d’être sauvé à son tour.
Une œuvre émouvante mais coup de poing, façonnée par les mains expertes de Frédéric Tellier.
Les Veuves, un thriller haletant
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J’ai découvert Les Veuves il y a quelques semaines, et le coup de foudre a été immédiat.
J’avais déjà un penchant prononcé pour Steve McQueen depuis ma découverte de Shame en 2011 puis de 12 Years a Slave en 2014.
Le réalisateur émérite s’attaque toujours à des sujets très forts, et sa dernière création ne déroge pas à la règle. Ainsi, Les Veuves est un film puissant, qui reste longtemps en mémoire.
L’histoire brutale de quatre femmes qui ne se connaissent pas et dont les maris viennent de mourir lors d’un braquage qui a mal tourné. Ils laissent derrière eux de lourdes dettes à rembourser.
Elles n’ont rien en commun mais décident d’unir leurs forces pour terminer ce que leurs époux avaient commencé. Et prendre leur propre destin en main…
Les Veuves fait la part belle à des personnages de femmes que l’on a peu l’habitude de voir dans le paysage audiovisuel actuel.
Des femmes que rien n’arrête, prêtes à tout et même à la violence pour sortir de leur situation.
J’ai été happée de bout en bout, aspirée par la spirale infernale des Veuves.
Il est même mon film préféré de la semaine !
Casse-noisette et les quatre royaumes, le délice visuel
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Je n’ai pas encore eu le loisir de voir Casse-noisette et les quatre royaumes, tout droit sorti de l’écurie Disney et signé Lasse Hallström et Joe Johnston mais Caroline, stagiaire mode, s’en est chargée pour moi.
Voilà ce qu’elle en pense :
« L’histoire de fond est classique, mais on passe très vite outre car on est trop occupé à s’en prendre plein les yeux et les oreilles !
Entre les costumes magnifiques, la musique (qui est celle de l’Opéra de Tchaïkovski), le maquillage, les coiffures et surtout les décors qui nous plongent dans un univers merveilleux et réconfortant, le spectacle est assuré.
Ce film est idéal à découvrir en période de Noël ! Par ailleurs, l’héroïne est moderne et déterminée et le synopsis se passe très bien de quelques romances forcées. »
Bref, Casse-noisette est un joli film qu’il fait bon voir par un soir d’hiver, avant d’aller déguster une raclette.
D’ailleurs, je vais te laisser immédiatement, douce lectrice, pour aller m’en payer une bonne tranche, de cette fameuse raclette !
Mais ne t’inquiète pas, on se retrouve la semaine prochaine pour encore plus de découvertes ciné.
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