Comme chaque mercredi, Kalindi te propose sa sélection des films de la semaine. Pour que tu te repères dans le dédale infernal des salles obscures. Et cette semaine, il y en a VRAIMENT pour tous les goûts.
C’est l’heure de la sélection ciné !
Rafiki, la claque de la semaine
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Ce film kényan suit l’histoire de Kena et Ziki, deux femmes qui tombent folles amoureuses l’une de l’autre, après avoir commencé par entamer une relation d’amitié.
Leur amour est tout de suite contrarié par l’intolérance, voire l’homophobie de leurs voisins, et même de leurs parents.
Au cœur de Nairobi, ces jeunes femmes devront faire un choix crucial : s’aimer en dépit des convenances, ou se marier…
À l’origine née de la plume de Monica Arac de Nyeko, dont le livre Jambula Tree a remporté le prix Caine 2007, cette histoire d’amour a su gagner sa place au prestigieux festival de Cannes.
Toutefois, ça n’est pas la première fois que Wanuri Kahiu expose son travail à une échelle internationale. Elle avait en effet déjà proposé son court-métrage Pumzi à Sundance (mon événement préféré au monde).
Mais Cannes représente un nouveau tournant dans sa vie de cinéaste.
Avec Rafiki
, elle embrasse les thèmes de l’intersectionnalité et s’inscrit tout de suite sur la liste des cinéastes soucieux de leur monde, et des problématiques sociales.
Profondément nécessaire !
I Feel Good, du fric, du fric, du fric
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Un film créé par Benoît Delépine et Gustave Kervern, ça ne pouvait être qu’explosif. D’autant plus que ce sont les monstres Jean Dujardin et Yolande Moreau qui se partagent son affiche.
Drôle et grinçant, I Feel Good s’incruste dans le quotidien de Monique, la dirigeante d’un Emmaüs à côté de Pau.
Alors qu’elle ne l’avait pas vu depuis plusieurs années, son frère Jacques débarque et il n’a qu’une obsession : trouver une idée qui le rendra riche à millions.
Un objectif que sa sœur ne comprend pas.
Leurs deux visions du monde vont alors s’affronter…
Je suis allée voir I Feel Good sans grand engouement, car le synopsis original ne donnait à mon sens que très peu d’indications sur ce que serait ce film. Et j’ai été vraiment surprise.
Je te le recommande pour son ton, son propos, et ses audaces.
The Little Stranger, la tension discrète
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