Comme chaque vendredi, Kalindi vous propose sa sélection des films de la semaine. Pour que vous vous repériez dans le dédale infernal des salles obscures.
C’est l’heure de la sélection ciné !
Et cette semaine, elle oscille doucement entre drame social et blockbuster déjanté.
Wonder, la petite pépite de Stephen Chbosky
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August « Auggie » Pullman est un petit garçon absolument brillant.
Né avec une malformation faciale, que plusieurs opérations chirurgicales ont tant bien que mal tenté de corriger, Auggie a toujours eu sa mère pour unique enseignante.
Seulement voilà, il lui faut bien un jour aller à l’école, la vraie, celle où vont tous les garçons et les filles de son âge, pour apprendre tout ce que ne peut pas lui apprendre sa mère : se confronter au regard des autres.
Et ses futurs camarades de classe ne seront pas toujours bienveillants, Auggie s’en doute bien…
Aussi tendre qu’incisif, Wonder est un essai sur la différence, et un appel à la tolérance, dont madmoiZelle est très fière d’être partenaire.
Adaptée du livre de R.J. Palacio, la nouvelle réalisation de Stephen Chbosky saura vous séduire, j’en suis convaincue !
Tu hésites encore ? Écoute donc ce que les madmoiZelles qui sont venues découvrir le film lors de notre avant-première au CinémadZont à en dire !
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Alors que l’annonce d’une suite à Jumanji m’avait révoltée tant le premier se suffisait à lui même, la découverte du casting m’avait radoucie.
Un film avec Dwayne Johnson, Kevin Hart, Karen Gillan et Jack Black ne pouvait être que drôle.
Mais j’étais loin encore de me douter que le film était HILARANT. Bourré de conneries tout à fait réjouissantes, de dialogues bien rythmés et d’une équipe qui prend son pied, Jumanji est le blockbuster de cette fin d’année à ne surtout pas rater.
Le pitch ?
Quatre lycéens découvrent une vieille console contenant un jeu vidéo dont ils n’avaient jamais entendu parler : Jumanji.
Ils se font alors aspirer par le jeu et se retrouvent propulsés en pleine jungle, dans le corps d’avatars bien différents de ce qu’ils sont en réalité…
The Florida Project, un regard posé sur les oubliés de l’Amérique
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Dans un motel coloré de la banlieue de Disneyworld, Moonee a 6 ans et règne déjà sur une troupe de gosses tous plus impertinents les uns que les autres.
Moonee vit avec sa toute jeune mère qui peine à joindre les deux bouts et à payer son loyer…
J’attendais The Florida Project comme le messi cinématographique.
Je suis allée à la projection presse la peur au ventre de celle qui craint d’être déçue.
Quelle ne fût pas ma surprise quand j’ai constaté que le film était encore 100 fois supérieur à mes attentes…
The Florida Project rassemble en à peine 2h tous les éléments indispensables au drame social réussi.
Une situation de base qui captive, des acteurs FANTASTIQUES (et je pèse mes mots), et une photographie aux couleurs acidulées.
Moonee et sa mère sont les oubliées de l’Amérique.
Celles que l’on ne regarde pas, que l’on ne regarde plus.
Livrées à elles-mêmes dans une Floride aux couchers de soleil rosés, elles affrontent l’existence avec une candeur touchante et s’aiment fort, en dépit des circonstances.
Sean Baker a confié dans un dossier de presse qu’il serait heureux si, après avoir vu le film, les spectateurs se ruaient sur Internet pour voir combien d’Américains vivent dans ces conditions.
C’est exactement ce que j’ai fait. Pari réussi !
La Promesse de l’Aube, un classique revisité à la perfection !
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La Promesse de l’Aube suit la vie de Romain Gary, de son enfance en Pologne à son adolescence à Nice, en passant par ses exploits de guerre en Angleterre et en Afrique.
Dans un style très classique, qui rappelle de vieux chefs-d’oeuvres français, le long-métrage d’Eric Barbier m’a séduite par son propos.
Adaptation de la superbe et acclamée auto-biographie de Romain Gary, La Promesse de l’Aube nous emmène certes sur les traces d’un illustre homme de lettres et de guerre, mais surtout nous parle d’un amour.
Et du plus grand qui soit : celui d’une mère pour son enfant. Et d’un enfant pour sa mère.
Car Romain Gary aimait la femme qui lui a donné la vie par dessus tout.
Immense cri d’amour, La Promesse de l‘Aube m’a bouleversée en cela qu’elle a fait écho à ma propre relation fusionnelle avec ma mère.
Et Niney a honoré la promesse de Gary…
A Ghost Story, la PERFECTION faite film
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A Ghost Story, c’est la claque esthétique de cette fin d’année.
Extrêmement créatif et d’une sensibilité sans équivalent (je suis sérieuse), ce film signé David Lowery est une réflexion sur le deuil et le temps qui passe.
Finalement assez loin des codes du cinéma horrifique, A Ghost Story est un OVNI.
David Lowery crée son propre genre et parvient à imposer son univers.
Un conseil : accrochez-vous ! Les 15 premières minutes du film sont d’un ennui quasi-mortel. Mais une fois l’ennui dépassé, on accède à une proposition magistrale, à couper le sifflet !
De quoi ça parle ?
Le fantôme d’un homme rend visite à sa femme en plein deuil. Recouvert d’un drap blanc, il erre dans son ancienne demeure comme une âme en peine. Il va vite découvrir que dans ce nouvel état spectral, le temps n’a plus d’emprise sur lui…
Voilà mes petites ouailles, on se retrouve en janvier pour de nouvelles découvertes ciné.
D’ici là, il ne me reste plus qu’à vous souhaiter un joyeux Noël et une bonne année 2018 !
Je suis allé-e voir The Florida Project hier, après des mois d'attente. Je n'ai pas été déçu-e, c'était exactement ce que je voulais voir. Une très belle surprise, avec des acteurs incroyablement justes et touchants. J'ai également envie d'aller voir Wonder (j'ai tellement aimé le livre que je crains de ne pas apprécier le film...) et A Ghost Story (sans attentes particulières).
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