Comme chaque vendredi, Kalindi vous propose sa sélection des films de la semaine. Pour que vous n’ayez jamais le temps de vous ennuyer le week-end !
C’est l’heure de la sélection cinéma. Et cette semaine, elle oscille doucement entre amours éprouvantes, horreur douce, et musique féministe !
Chavela Vargas, la femme au poncho qui chantait l’amour
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Cette semaine, madmoiZelle est la très fière partenaire de Chavela Vargas, un documentaire magnifique qui retrace la vie d’une femme extraordinaire.
Chavela était avant-gardiste, courageuse, magnifique et…inspirante. Si je connaissais son nom, j’aurais été incapable de donner les détails de sa vie.
D’elle, je ne connaissais qu’un look : un poncho, une longue tresse, des couleurs chatoyantes. J’ignorais tout de ses aspirations et de ses inspirations. Elles étaient pourtant nombreuses…
Ce documentaire lève le voile sur la personnalité explosive d’une artiste qui a ouvert la voie aux femmes mexicaines, à leurs penchants sexuels, à leurs désirs.
Elle a été adulée jusqu’à sa mort pour ses qualités de chanteuse mais aussi pour sa modernité.
Chavela a connu tout le gratin mexicain mais aussi espagnol. Son histoire est même en partie racontée par l’extraordinaire Pedro Almodovar, qui a été son grand ami pendant des années.
J’ai été désarmée par ce film. Par ses intervenants. Pas sa franchise. J’ai hâte de retourner le voir. Et surtout de le partager. Avec vous.
Happy Birthdead, l’horreur mâtinée d’humour
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Tree, une jeune et belle étudiante, est prisonnière d’une boucle temporelle qui lui fait revivre sans cesse la même journée. Une journée plutôt traumatisante, car à la fin, elle se fait toujours assassiner par un individu masqué !
Le moyen de se sortir de cette boucle ? Trouver l’identité de son tueur !
Happy Birthdead ne marquera peut-être pas les esprits des trois prochaines générations, mais il est inventif, très bien réalisé ainsi que bien produit.
Porté par Jessica Rothe et Israel Broussard, ce long-métrage signé Christopher Landon est un divertissement convaincant et bourré d’humour.
M, la lettre aux merveilles
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Je n’ai malheureusement pas encore eu le temps d’aller voir le premier film de Sara Forestier.
Clémence Bodoc, notre rédactrice en chef adorée, s’est rendue à l’avant-première de M avec quelques rédactrices de madmoiZelle, et le constat s’est révélé unanime : M est une Merveille !
Voilà quelques mots tirés de l’article que Clem s’est empressée d’écrire en sortant de la salle :
« M est le récit d’une rencontre, d’un coup de foudre, de destins contraires et contrariés, c’est l’histoire poignante d’une grande vulnérabilité qui coûte à être acceptée… et gagne tant à être partagée.
Ce film est d’une sincérité déconcertante. Il est construit avec la même finesse qu’un tableau, il se déroule avec la même harmonie qu’une sonate, il s’apprécie avec la même liberté qu’un poème.»
Le Musée des merveilles, sens dessus dessous
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Anouk, rédactrice sexe et société, tenait également a vous glisser quelques mots sur le très audacieux nouveau film de Todd Haynes, déjà derrière le bouleversant Carol, sorti en 2015 :
« Le musée des merveilles est un très joli film contemplatif qui raconte l’histoire de deux enfants sourds, à deux époques différentes, menant une quête bien particulière…
« Ce projet ambitieux a une esthétique qui sort de l’ordinaire. Un film à voir pour découvrir la jeune Millicent Simmonds qui crève l’écran par son jeu ! »
Voilà mes petites ouailles, c’est tout pour aujourd’hui ! Bonne séance !
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