Comme chaque vendredi, Kalindi vous propose sa sélection des films de la semaine. Pour que vous vous repériez dans le dédale infernal des salles obscures.
C’est l’heure de la sélection ciné !
Chien porte la patte de son créateur
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J’aime Samuel Benchetrit pour avoir réalisé quelques un des films que je préfère au monde, comme Asphalte, sorti en 2016.
Cette année, il revient avec un film très cruel, mais extrêmement drôle et sarcastique.
Chien, c’est l’adaptation du roman éponyme qu’il a lui-même écrit. C’est donc une oeuvre dont il est plus que familier. Et ça se sent. Son film est maitrisé, abouti.
Le pitch ? Vincent Macaigne (qui fait du Vincent Macaigne), campe Jacques Blanchot. Un homme très conciliant, si ce n’est soumis, qui se fait salement jeter par sa femme (Vanessa Paradis).
Peu de temps après, il perd son travail.
Seul, il s’installe dans un hôtel sordide puis fait la rencontre du patron d’une animalerie. Petit à petit, Jacques déconnecte avec le monde qui l’entoure, jusqu’à adopter le comportement d’un animal.
Je préfère te prévenir : Chien est un film complètement décalé, totalement fou, et différent de tout ce que tu as pu voir jusqu’à présent.
Mais rien ne tombe à plat, malgré l’histoire saugrenue de cet homme qui abandonne toute dignité pour se faire enfin accepter.
N’hésite pas à laisser une chance à ce « Chien » hors du commun.
Razzia, quand la révolte gronde
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Quand j’ai découvert Razzia, le mois dernier, j’étais en colère. Pendant presque deux heures de film, j’ai enfoncé mes ongles dans les accoudoirs.
Razzia
, c’est un film très fort. Un film dont on se souvient et dont on garde la musique en tête très longtemps.
Nouvelle création de Nabil Ayouch, à qui l’on devait déjà le parfait Much Loved, Razzia nous transporte à Casablanca, à la rencontre de cinq personnages dont les destins sont liés.
Entre le Maroc d’hier et celui d’aujourd’hui, les choses ont changé. L’école et le regard porté sur les femmes, notamment. Et à l’intérieur de ce pays en mouvance, la révolte gronde…
Un Raccourci dans le temps, le blockbuster léché
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J’ai vu l’adaptation de 2003 en téléfilm que j’avais jugé médiocre et celle-ci n’a rien à voir. J’ai été émue par le jeu de Storm Reid qui incarne avec justesse ce rôle d’adolescente cherchant sa place dans ce monde et visuellement le film est magnifique.
J’ai d’ailleurs eu occasionnellement la larme à l’oeil. Les personnages de Mme Qui, Mme Quidam et Mme Quipropoquo m’ont beaucoup fait rire également.
Le pitch précis ?
Une jeune fille part à la recherche de son père, un scientifique disparu qui travaillait pour le gouvernement sur le projet d’un « tesseract ».
Qu’est-ce donc ? Un objet permettant de se déplacer dans la 5ème dimension, vers des planètes inconnues… Alors, son padre serait-il en train de s’éclater sur une planète éloignée ?
Voilà ma bonne dame, c’est tout pour aujourd’hui. On se retrouve la semaine prochaine pour parler d’autres merveilles à découvrir.
@Kalindi Je comprends tout à fait, ça peut être une expérience intéressante pour celleux qui aiment être décontenancé-e-s et vivre quelque chose de nouveau ! J'ai apprécié The Square, et pourtant il était (vraiment) malaisant aussi, à mon humble avis. J'aime beaucoup le cinéma, mais j'ai du mal à supporter d'être mal à l'aise, dans la vie comme devant un écran (ce qui explique probablement pourquoi je compte vivre le reste de ma vie sans voir un seul film d'horreur). Paradoxalement, ça ne me dérange pas de pleurer toutes les larmes de mon corps ! J'ai quand même trouvé une critique assez complète du roman, et effectivement, ça n'est pas du tout un film pour moi, je me sens encore un peu "sali-e" par cette lecture tellement ça me rend mal.
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