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10 films d’horreur originaux qui ne ressemblent à aucun autre

Tu as vu les classiques de l’horreur et tu souhaites aborder le genre sous des angles plus originaux ? Ces 10 films vont te ravir !

En partenariat avec Wild Bunch (notre Manifeste)

Ce mercredi 29 juillet sort le film The Vigil, dont l’intrigue horrifique originale a bousculé Alix lorsqu’elle l’a découvert sur grand écran.

La force de The Vigil, c’est qu’il se démarque de la plupart des films d’horreur, sortant des codes du genre pour réinventer la peur au cinéma.

 

C’est pourquoi, si tu vas voir The Vigil et qu’il te plaît, peut-être seras tu intéressée par d’autres films d’horreur qui ne ressemblent pas aux classiques du genre.

C’est là que je viens te conseiller !

D’autres films d’horreur originaux à découvrir

Si tu n’es pas une grande férue de l’horreur mais que tu souhaites explorer ce genre riche en pépites, je t’ai préparé une sélection de 9 films d’horreur qui changent des classiques, loin de la facilité des jump scares, des fantômes et des maisons hantées.

Je vais te les présenter sans trop t’en dire, juste assez pour te convaincre mais sans jamais te spoiler !

Midsommar, un film d’horreur original

Ne te fie pas au soleil et aux fleurs : Midsommar est probablement le pire film d’horreur que j’ai regardé de ma vie.

Le cadre bucolique fait penser à tout, sauf à ce qui va se passer. Le fait que l’intrigue se déroule en plein soleil et dans une ambiance festive accentue l’atrocité de l’histoire. Je te préviens tout de suite, tu n’es pas à l’abri de ressentir des nausées.

Si tu te sens en sécurité dès que le soleil se lève, si tu crains seulement la nuit… alors Midsommar va te faire changer d’avis.

Mais ce long-métrage n’est pas simplement là pour t’effrayer et te dégoûter : il suit de près l’histoire de l’héroïne, interprétée par Florence Puhg, qui traverse une période difficile de sa vie.

Midsommar, au-delà d’un film cauchemardesque, c’est aussi et surtout une histoire d’émancipation.

Le résumé est le suivant :

Dani et Christian sont sur le point de se séparer quand la famille de Dani est touchée par une tragédie.

Attristé par le deuil de la jeune femme, Christian ne peut se résoudre à la laisser seule et l’emmène avec lui et ses amis à un festival estival qui n’a lieu qu’une fois tous les 90 ans et se déroule dans un village suédois isolé.

Mais ce qui commence comme des vacances insouciantes dans un pays où le soleil ne se couche pas va vite prendre une tournure beaucoup plus sinistre et inquiétante.

The Witch, un film d’horreur atypique

The Witch est devenu assez rapidement l’un de mes films d’horreur préférés. J’avais commencé à le regarder il y a quelques années mais je me suis arrêtée assez tôt dans l’histoire, craignant des scènes trop gores pour moi.

Sur les recommandations de ma sœur, j’ai retenté l’expérience l’année dernière et je ne l’ai pas regretté !

The Witch est, tout comme Midsommar, une histoire d’émancipation déguisée en film d’horreur, et te laisse sur une note d’espoir voire d’enthousiasme.

Visuellement, le film est superbe, et il est mené par un casting convaincant avec à sa tête la merveilleuse Anya Taylor Joy, dont la carrière a décollé après ce rôle.

1630, en Nouvelle-Angleterre. William et Katherine, un couple dévot, s’établit à la limite de la civilisation, menant une vie pieuse avec leurs cinq enfants et cultivant leur lopin de terre au milieu d’une étendue encore sauvage.

La mystérieuse disparition de leur nouveau-né et la perte soudaine de leurs récoltes vont rapidement les amener à se dresser les uns contre les autres…

La Piel que habito, un film d’horreur étrange

Si tu veux du contenu original, en voilà un !

À la base, je ne crois pas que La Piel que habito soit classé comme film d’horreur… Pourtant, il m’a autant prise aux tripes que Midsommar.

Ce film est une histoire de séquestration qui mêle entre autres viol et expérience scientifique.

Le tout est perpétré par un homme qui ne se rend pas compte de la monstruosité de ses actes, tant il a perdu la tête après une tragédie qui l’a conduit à agir ainsi.

Plus qu’une histoire de vengeance, La Piel que habito est une tragédie qui va t’émouvoir autant que te révolter.

Le résumé du film est le suivant :

Depuis que sa femme a été victime de brûlures dans un accident de voiture, le docteur Robert Ledgard, éminent chirurgien esthétique, se consacre à la création d’une nouvelle peau, grâce à laquelle il aurait pu sauver son épouse. Douze ans après le drame, il réussit dans son laboratoire privé à cultiver cette peau.

Outre les années de recherche et d’expérimentation, il faut aussi à Robert une femme cobaye, un complice et une absence totale de scrupules.

Ghostland, un film d’horreur surprenant

Si tu aimes les rebondissements de situation, Ghostland est le film qu’il te faut. C’est aussi ce qui le rend compliqué à raconter sans rien spoiler…

Ce que je peux te dire, c’est que tu y trouveras de la sororité, des traumatismes passés (et la vieille maison isolée qui les renferme), des stratégies d’adaptation, de vieilles poupées, des visages atypiques, beaucoup de tension et de suspense.

Voici un résumé de l’intrigue :

Suite au décès de sa tante, Pauline et ses deux filles héritent d’une maison. Mais dès la première nuit, des meurtriers pénètrent dans la demeure et Pauline doit se battre pour sauver ses filles.

Un drame qui va traumatiser toute la famille mais surtout affecter différemment chacune des jeunes filles…

Seize ans plus tard, la famille est à nouveau réunie dans la maison que Vera et Pauline n’ont jamais quittée. Des évènements étranges vont alors commencer à se produire…

It Follows, un film d’horreur très original

It Follows est, crois-le ou non, une métaphore des maladies sexuellement transmissibles !

Ne t’attends pas à beaucoup d’action et de rebondissements si tu le lances : It Follows est un film lent, où la peur réside davantage dans l’atmosphère développée que dans les faits eux-mêmes.

L’horreur n’est pas au premier plan, elle se cache dans le fond. Elle suit les personnages sans jamais les laisser tranquilles ni se manifester clairement, et joue sur cette désagréable impression d’être suivie, observée.

Après ce film, tu auras probablement le réflexe de te retourner plus régulièrement quand tu marches dans la rue…

Voici le synopsis :

Après une expérience sexuelle apparemment anodine, Jay se retrouve confrontée à d’étranges visions et l’inextricable impression que quelqu’un, ou quelque chose, la suit.

Abasourdis, Jay et ses amis doivent trouver une échappatoire à la menace qui semble les rattraper…

The Invitation, un film d’horreur sur le deuil

The Invitation montre enfin à quel point il est effrayant d’être invité quelque part pour socialiser ! Non, je plaisante. Cela dit, le film joue d’une certaine façon sur une forme d’anxiété sociale…

Mais il traite aussi et surtout du deuil et des troubles qui s’ensuivent.

Le personnage principal, Will, est encore profondément affecté par la mort de son fils alors que son ex-femme semble avoir complètement tourné la page.

Ce comportement étant impensable pour lui, il devient rapidement méfiant de son ex-femme et de son nouveau compagnon. S’ajoutent à cela des événements de plus en plus étranges…

Le film joue sur la paranoïa de Will, nous poussant constamment à nous demander si tout est dans sa tête. Dès qu’on s’attend à ce qu’il découvre quelque chose, il se fait méchamment prouver le contraire et on commence vraiment à avoir pitié de lui, ce qui fait baisser notre garde…

Le synopsis du film, clair et concis, le voici :

Par une sombre nuit, Will est invité à un dîner chez son ex-femme et son nouveau mari.

Au cours de la soirée, il s’aperçoit que ses hôtes ont d’inquiétantes intentions envers leurs invités.

Get Out et Us, des films d’horreur à voir absolument

J’ai regroupé ces deux films ensemble car ils sont du même réalisateur ; bien qu’ils soient très différents, ils ont pas mal de points communs.

Sous couvert de film d’horreur, Get Out traite surtout du racisme aux États-Unis, y compris le racisme « de gauche » qu’on peut trouver chez des personnes blanches, aisées, éduquées et a priori ouvertes d’esprit.

Le film est d’autant plus réussi qu’il a été réalisé avec un très petit budget. La force de Get Out n’est pas dans sa grandiloquence mais dans sa manière ingénieuse de traiter l’intrigue et de faire réfléchir son spectateur.

Voici le synopsis du film :

Couple mixte, Chris et sa petite amie Rose filent le parfait amour. Le moment est donc venu de rencontrer la belle famille, Missy et Dean lors d’un week-end sur leur domaine dans le nord de l’État.

Chris commence par penser que l’atmosphère tendue est liée à leur différence de couleur de peau, mais très vite une série d’incidents de plus en plus inquiétants lui permet de découvrir l’inimaginable.

Tout comme Get Out, Us est surtout un gros thriller plein de suspense et de mystère. Ce film est également une critique de la société actuelle et traite notamment des inégalités ; il le fait selon moi avec encore plus de mesure que Get Out !

Malgré sa bande-annonce assez terrifiante, sache qu’il y a dans ce film pas mal de touches d’humour qui te permettent de relâcher la pression de temps à autres.

Le résumé est le suivant :

De retour dans sa maison d’enfance, Adelaïde Wilson a décidé de passer des vacances de rêves avec son mari Gabe et leurs deux enfants : Zora et Jason.

Un traumatisme aussi mystérieux qu’irrésolu refait surface suite à une série d’étranges coïncidences qui déclenchent la paranoïa de cette mère de famille.

Après une journée tendue à la plage, les Wilson rentrent enfin à la maison où ils découvrent quatre personnes se tenant la main dans leur allée. Ils vont alors affronter le plus terrifiant et inattendu des adversaires : leurs propres doubles.

Don’t breathe, un film d’horreur qui saura te surprendre

À première vue, Don’t breathe n’est pas révolutionnaire : l’intrigue repose sur l’invasion d’une maison dont les personnages tentent de s’échapper.

Néanmoins, le traitement de ce concept est rafraîchissant et particulier.

Ce qui est intéressant dans ce film, c’est que ce sont les envahisseurs qui se retrouvent pris au piège. La « victime », au premier abord une proie facile, devient un chasseur sans pitié !

Le synospis est le suivant :

Pour échapper à la violence de sa mère et sauver sa jeune sœur d’une existence sans avenir, Rocky est prête à tout.

Avec ses amis Alex et Money, elle a déjà commis quelques cambriolages, mais rien qui leur rapporte assez pour enfin quitter Détroit.

Lorsque le trio entend parler d’un aveugle qui vit en solitaire et garde chez lui une petite fortune, ils préparent ce qu’ils pensent être leur ultime coup.

Mais leur victime va se révéler bien plus effrayante, et surtout bien plus dangereuse que ce à quoi ils s’attendaient…

Alors, lequel de ces films te tente le plus et pourquoi est-ce l’excellent The Vigil, au cinéma le 29 juillet ? 

À lire aussi : Comment j’ai découvert le plaisir de flipper devant un film d’horreur

Les Commentaires

13
Avatar de Mijou
29 juillet 2020 à 13h07
Mijou
@Bleu pastel Je comprends ton ressenti, c'est vrai que comme dit @7Tangerine6 le film a des défauts mais je me souviens qu'à l'époque, jeune adulte, j'avais adoré le parti pris purement esthétique de certaines scènes, façon clip musical (en plus j'étais fan de Marilyn Manson alors ça m'a parlée aussi avec cet aspect-là ).
Il faudrait que je le revois aussi pour saisir pleinement la symbolique des scènes et toutes les paraboles, mais je trouve qu'il se regarde très bien avec son aspect uniquement esthétique aussi, comme je le disais, comme une succession de tableau, comme un clip.

D'ordinaire d'ailleurs, je n'aime pas vraiment les films contemplatifs justement pour ça, de même que même si je suis fortement attirée par son travail, je me fais parfois ch** devant un Terry Gilliam par exemple... Parce que le cinéma, pour moi, ce n'est pas uniquement esthétique (sinon autant regarder une photo).
Mais je trouve que The Cell évite vraiment cet écueil de part son rythme plutôt bien fichu (entre les moments contemplatifs ou d'action dans les "rêves" et l'alternance de moments très ancrés dans le réel (le labo, l'hôpital, les moments où l'on suit la victime, les scènes avec les flics)... et ceux oniriques. Notamment avec le travail du grain et de la lumière, qui sont très différents d'un "monde" à l'autre.
[EDIT : Après, le côté prétentieux et grandiloquent est effectivement cohérent avec les caractéristiques psychologiques récurrentes chez les tueurs en série : sadisme/masochisme, immaturité affective, sentiment de toute puissance exacerbé par le fait qu'ils ne soient pas arrêtés, délires mystiques, etc... Finalement, c'est complètement cohérent. Tout est là. Perso, je n'aurais pas pu dépeindre un tel esprit autrement]

Après les gouts et les couleurs...
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