Vu le succès interplanétaire de Fifty Shades of Grey, une bonne partie du monde a envie de récupérer une petite part du gâteau. Je ne juge pas : après tout, moi aussi j’aimerais bien profiter du travail des autres pour pouvoir me rouler dans des liasses de billets, que j’aurais jetées nonchalamment sur une peau de bête.
Alors voilà, on va pas tourner autour du verre ballon pendant des heures et on va lâcher l’information qui pique le foie direct : le vin Fifty Shades of Grey existe. En version White Silk
(Soie Blanche) (probablement pour rappeler la naïveté et la douceur d’Anastasia) et en version Red Satin (Satin Rouge) (qui évoque, on l’imagine, le côté robuste du brave loustic qu’est Christian).
Betty et sa pote, bientôt dans Satin Rouge pour Nuits Blanches, film inspiré, écrit sous l’influence du vin Fifty Shades.
Pourquoi pas du champagne ? Ah bah je sais pas. Peut-être parce que quand on en met sur l’intimité ça pique sévère, rapport aux bulles. Pourquoi pas de la vodka ? Parce que faire du bondage, ok, mais se rendre mutuellement le dîner dans les cheveux c’est quand même beaucoup moins glamour.
N’empêche qu’à 18$ la bouteille, j’espère qu’on ne paye pas que l’étiquette et que ce n’est pas de la piquette.
Boarf, au pire, tant qu’on la débouche pas, y a moyen de trouver une autre utilité à cet objet de forme oblongue si vous voyez ce que je veux dire.
– via
Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
Les Commentaires
après tout... ils ont bien sorti du PQ et du beurre Twilight...