Incroyable mais vrai, Fifty Shades of Grey n’avait pas encore eu droit à son trailer honnête ! Je sais, on aurait pu le croire, tant les parodies se sont succédées sur le Net depuis la sortie du film. (Ou même avant, en fait.)
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Il est fort possible que chez Screen Junkies, ils aient attendu d’arriver au 100ème épisode de leur série de « trailers honnêtes » pour sortir le grand jeu et célébrer en fanfare. Ce qu’on peut comprendre : quoi de mieux pour marquer le coup que de tacler gentiment la fanficti… PARDON. … le film de l’année ?
Retour sur la fabuleuse aventure de cette fanfiction qui, de prose écrite sur un Blackberry vantant les mérites des abdos du vampire de Twilight, est devenue un best-seller international… Lui-même adapté en un film qui a laissé des millions de spectateurs un brin perplexes. Soit un passage subtil du fantasme du vampire qui brille à celui de devenir l’esclave sexuelle d’un beau gosse milliardaire mystérieux (à la tête d’une compagnie mystérieuse) juste un peu sociopathe qui contrôle votre vie.
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(Mais qu’on s’en fiche parce qu’il a des abdos. Et des Audis. Et un appart’ plutôt cool.)
Voici donc telle que vous ne l’avez jamais vue (ou presque) la charmante héroïne vierge et si innocente qu’elle ignore jusqu’à la signification du mot « butt-plug »… Au coeur d’une sulfureuse histoire à base de, euh, mails… Textos… Contrats… Négociations… Accords de confidentialité… De conditions… Bon, et d’un peu de missionnaire. Pour ajouter un peu de piquant à tout ça.
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Le tout avec la voix du monsieur qui fait penser à du caramel. Ou du chocolat. On ne sait pas trop. Et des phrases d’accroche aussi dérangeantes que « Son érection jaillit librement ». Sans compter quelques rendez-vous galants qui ne se passent pas hyper bien.
Bref : « Fifty Shades of ‘super on va encore se taper deux films comme ça, OKLM’ ».
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