Début juin 2019 se déroulait le festival d’Annecy. Si tu ne connais pas, en gros c’est les Oscars du cinéma d’animation… Du coup, le meilleur festival du monde, pour RedFanny !
Voici ses coups de cœur, tu vas voir ça donne envie.
Le palmarès est disponible ici, mais je vais plutôt te parler de mes coups de cœur de la semaine !
Au passage, je te conseille les strips des fantastiques Cy et Boulet, qui comme tous les ans savent si bien retranscrire l’ambiance du festival…
Les courts-métrages du festival d’Annecy 2019
Toomas dans la vallée des loups sauvages, de Drasko Ivezic et Chintis Lundgren
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Après avoir perdu son travail, Toomas, un loup sexy, accepte un emploi de gigolo en secret pour subvenir aux besoins de sa famille.
Sa femme Viivi a un secret aussi : elle assiste à un séminaire sur l’émancipation féminine impliquant des hommes esclaves.
C’est drôle, c’est intelligent, et ça n’a pas froid aux yeux !
Mémorable de Bruno Collet
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Artiste peintre, Louis est fou amoureux de sa femme Michelle. La maladie d’Alzheimer vient bouleverser leur quotidien paisible…
Ce court-métrage en stop-motion est inspiré de la vie du peintre hollandais William Utermohlen. La relation du couple de septuagénaires est poignante de vérité, pleine de tendresse, de tristesse et de complicité.
Modest Heroes, du studio Ponoc, des anciens de chez Ghibli
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Inutile d’expliquer pourquoi l’animation est d’une splendeur sans nom, ces gens sont beaucoup trop forts.
Le dernier et mon préféré, Invisible, parle de la solitude d’un homme invisible !
La Vie de Château, de Clémence Madeleine-Perdrillat et Nathaniel H’Limi
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Mon coup de cœur dans la catégorie film de télévision !
Suite à la mort de ses parents dans un attentat à Paris, Violette, 8 ans, part vivre avec son oncle Régis, qu’elle déteste. Il est agent d’entretien au château de Versailles.
La petite fille têtue et le grand ours vont se dompter et traverser ensemble leur deuil…
Un petit dernier pour la route ?Apple: Power to the Pro de Jean-Michel Verbeeck, histoire d’en prendre plein les yeux pendant 48 secondes.
Les longs-métrages du festival d’Annecy 2019
Les Hirondelles de Kaboul, de Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Mévellec
Adapté du roman algérien de Yasmina Khadra, Les Hirondelles de Kaboul est réalisé par Zabou Breitman et Eléa Gobbé-Mévellec. Il sortira en France le 4 septembre 2019.
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Été 1998, Kaboul en ruines est occupée par les talibans. Mohsen et Zunaira sont jeunes, ils s’aiment profondément. En dépit de la violence et de la misère quotidienne, ils veulent croire en l’avenir.
Un geste insensé de Mohsen va faire basculer leurs vies…
Un torrent de larmes pour ce film sublime. Des moments de poésie et de douceur dans un monde terriblement injuste.
Ce film prend aux tripes, parle d’espoir, de joie de vivre, de violence, de liberté, de courage. Fuir ou rester et se battre, faire ce qui est juste, au péril de sa vie…
Zunaira est une femme forte, magnifique, libre, portée par la justesse de Zita Hanrot.
Zita Hanrot, star d’Annecy 2019
Héroïne de la série Plan cœur sur Netflix, Zita Hanrot a d’ailleurs fait forte impression sur ce festival puisqu’elle double aussi le personnage principal du projet Miroirs présenté en Work In Progress à Annecy.
Court-métrage photoréaliste en réalité virtuelle, qu’on pourrait dire de « science-fiction poétique », il sera le premier film de cette envergure dans lequel on peut se déplacer dans toutes les dimensions.
Un projet sur lequel il faudra garder un œil, ou même les deux ! Les 1ères images sont ici. Je ferme cette parenthèse.
J’ai perdu mon corps, de Jérémy Clapin
Je finis en beauté par LE film qui a marqué cette édition 2019. Moi à la fin de la séance : joues couvertes de larmes, cœur qui palpite dans la poitrine, poils dressés sur les bras… Bref, j’ai adoré.
J’ai perdu mon corps de Jérémy Clapin remporte le Cristal du long-métrage ET le prix du public, standing ovation dans la salle.
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À Paris, la main tranchée d’un jeune homme s’échappe d’une salle de dissection, bien décidée à retrouver son corps. Au cours de sa cavale semée d’embûches à travers la ville, elle se remémore toute sa vie commune avec lui, jusqu’à sa rencontre avec Gabrielle.
Les personnages sont d’une finesse époustouflante, le scénario est brillant d’originalité, les dialogues pleins d’humour, l’animation d’une beauté à s’en décrocher la mâchoire…
Désolée, je suis complètement incapable de fournir une critique digne de ce nom. Juste, il faut le voir. Genre : dès sa sortie en salles, le 6 novembre 2019.
Et la série Culottées, qui arrive bientôt sur nos écrans et va tout défoncer. Merci Pénélope Bagieu, autrice de la BD, de rendre leur place aux femmes de l’Histoire !
Deux réalisatrices, Phuong Mai Nguyen et Charlotte Cambon de Lavalette, la voix de Cécile de France, et une équipe quasi entièrement féminine. Merveilleux.
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