Aujourd’hui, j’ai décidé de vous faire part de mon affection toute particulière pour le Fox Mulder de X-Files, le Hank Moody de Californication et l’amour de lycée de Carrie Bradshaw. Aujourd’hui, j’ai décidé de vous parler de mon fantasme suprême. Aujourd’hui, j’ai décidé de vous parler de…
David Duchovny sans culotte = amour pour toujours
… David (fucking sexy bébi kome tou mie maille love) Duchovny.
J’aurais pu me contenter d’insérer ce gif ci-dessus dans mon article pour exprimer tout ce que je voudrais l’entendre me dire, mais ça aurait signifier me priver d’insérer celui-ci, qui est un peu mon préféré :
Oh David, je voudrais être une cigarette pour naître et mourir sur ta bouche et te faire décéder des suites de notre passion passionnée.
Alors je me suis dis que j’allais un peu extrapoler pour placer un maximum d’images de David, ce Dieu descendu sur Terre pour faire exploser nos ovaires et faire fondre nos trompes de Fallope jusqu’à ce qu’elles ressemblent à des raisins de Corinthe tout desséchés.
J’ai découvert le potentiel de David Duchovny sur le tard, en regardant la première saison de Californication. J’avais encore en tête l’image de Duchovny en Mulder, le faux bécébégé qui se donnait l’air d’avoir un gros concombre dans le rectum et de ne pas aimer ça jusqu’à ce qu’il finisse par accepter d’avoir quelques relations physiques avec sa copine Scully (parfois même avec un chien) (mais si le chien était consentant, alors je n’y vois plus d’inconvénient).
Quand j’ai découvert Californication un soir d’été, j’ai été étonnée de ressentir une fascination grandissante pour le personnage de Hank
, cet écrivain new-yorkais en panne d’inspiration depuis qu’il a quitté sa ville de prédilection et qu’il s’est séparé de sa parfaite épouse. Bien sûr, comme le nom de la série l’indique, David passe la plupart des épisodes à levretter-claquetter d’un coup de rein de maître des femmes qu’il vient de rencontrer. Pourtant, et de manière assez étonnante, les moments où il me fait le plus suer du nombril n’ont rien de sexuelles : je le préfère mille fois quand il sort de sa voiture toute pétée avec sa barbe de trois jours, ses lunettes de soleil pour dissimuler sa gueule de bois constante, son air de gros loser et sa cigarette.
Sa cigarette, parlons-en : David Duchovny a à mes yeux la plus belle façon de prendre sa dose de nicotine puisqu’au lieu de se contenter de tenir sa clope entre l’index et le majeur, il la maintient entre son index et son pouce. C’est peut-être un détail pour vous, mais pour mes ovaires ça veut dire « coup de grisou ».
C’est là tout le secret de David : il pue la testostérone par tous les pores et chacun de ses mouvements dénotent d’une virilité certaine. Il a des épaules larges qui donnent envie de s’y frotter comme on frotte de l’ail sur du pain. Tel un Geena Davis au masculin, il a la mâchoire puissante de celui qui n’a qu’à fermer la bouche sur ton doigt pour le couper net. Ajoutons à ces critères purement physiques qu’il me donne l’impression de sentir comme un mélange de parfum pas trop entêtant, de lessive et de sueur fraîche. Une odeur qui semble me chuchoter « j’ai une hygiène irréprochable, mais je sais être sale, aussi (wink wink)« .
Je voudrais mettre un doigt dans David Duchovny pour toutes ces raisons, mais pas que. J’apprécie aussi son côté lettré (il a un diplôme de littérature anglaise à Princeton), pour ses rides au coin des yeux, pour ses yeux qui deviennent tout fins quand il sourit, pour son sourire franc et rieur, pour son rire de mec bien dans sa peau, pour sa peau poilue, pour son poil lustré.
Tout ceci me fait dire que lui et moi sommes faits l’un pour l’autre, parce que :
- eh mais moi aussi j’ai reçu un diplôme de littérature anglophone
à Princetonà l’université d’Amiens, - eh mais moi aussi j’ai des rides au coin des yeux – un peu,
- eh mais moi aussi j’ai des yeux en forme de gouttière quand je souris,
- eh mais moi aussi j’ai la peau poil… Ah non. Ah non, pardon. Au temps pour moi.
C’est fou, tant de points communs : j’ose croire que c’est un signe et j’aimerais qu’il réalise que toutes les actrices hollywoodiennes à la plastique parfaite ne le combleront jamais autant que je pourrais le faire. Ah mais attendez : peut-être bien qu’il le sait déjà, en fait…
Moi aussi mon Davidou… Moi aussi.
David, si tu me lis, viens ; viens, on sera bien. On lira les soeurs Brontë et on clâmera des poèmes de Wordsworth assis par terre (même si j’ai jamais rien compris aux poèmes de Wordsworth). On accordera nos t-shirts et puis parfois, on comparera la longueur de nos poils du torse et je te laisserai gagner.
Et puis des fois, on fera des trucs qui ne nécessiteront pas forcément de porter des vêtements et je te promets que je garderai les sex-tapes que j’enregistrerai contre ton gré pour mon utilisation personnelle. Juré.
Vous aimez nos articles ? Vous adorerez nos newsletters ! Abonnez-vous gratuitement sur cette page.
Les Commentaires
Eh ben vous savez quoi ? En lisant cette article, je ne savais pas de quoi vous parliez. Le mec de X-Files, je me le figurais pas si sex franchement et Californication, on m'avait toujours présenté ça de façon si réductrice comme un Sex and the city au masculin, bourré de cliché, hyper macho, mais finalement après lecture attentive de cet article, ma curiosité a été piqué au vif, j'ai eu l'envie de voir ça par moi-même.
Et vous savez quoi ? Je ne regrette pas, j'en suis à l'épisode 9 de la saison 1 et j'ai commencé hier uniquement. C'est une très très bonne série et effectivement, David Duchovny rentre dans le cercle très fermé de mes fantasmes, alors un grand MERCI !