En partenariat avec LFR Films (notre Manifeste)
Les fantasmes sexuels. Vaste sujet !
Freud a saoulé avec ces théories un peu poussiéreuses, et aujourd’hui les magazines en parlent chaque été pour leur numéro sexo.
À l’occasion de la sortie française du film My Wonder Women, le 18 avril 2018, et dont madmoiZelle est la fière partenaire, j’aimerais rédiger un article pour la rubrique témoignage consacré aux fantasmes.
Quel est le lien avec le film me dis-tu ? Et bien, ce long-métrage est un biopic consacré à une partie de la vie de Dr. William Marston, le créateur du personnage de Wonder Woman. La célèbre super-héroïne est inspirée entre autre, de la passion du Dr. Marston pour le bondage.
Sauf que dans les années 1930, ère qui a accueilli la fameuse amazone sur papier glacé, les pratiques sexuelles un peu olé-olé étaient vu comme des déviances.
Pas facile à assumer donc.
Fantasmer c’est naturel
Les fantasmes, que sont-ils finalement, si ce n’est la simple expression de nos désirs restreints dans une société où le sexe doit porter un paquet de tabous sur les épaules ?
Les fantasmes sexuels, tout le monde, ou presque, en a — qu’ils se cachent dans un coin de notre cerveau, ou qu’on les réalise tous les soirs entre le pipi et le brossage de dents, ils sont là !
Et si certains les expérimentent, d’autres préfèrent les chérir en secret dans leur imaginaire.
Parlons de nos fantasmes, ça fait du bien !
Mais tout un chacun n’a pas cette chance : nombre d’entre nous vivent difficilement leurs fantasmes, et craignent de les partager avec leurs amis, ou même leurs partenaires sexuels (moi la première, hein).
Alors certes, on entend parler du BDSM bien plus souvent qu’avant et de manière un peu plus décomplexée (en tout cas chez madmoiZelle ! Regarde tous les articles qu’on a écrit dessus) dans les médias ou les discussions entre copains.
Mais les fantasmes, ça peut être bien d’autres choses : le plan à trois, l’échangisme, les positions acrobatiques. Ça passe parfois par des vêtements, de la lingerie fine ou la culotte fendue par exemple !
Un fantasme sexuel peut aussi s’inspirer d’une mise en scène particulière ou d’un changement d’identité (qu’on appelle role-play en général).
En bref, les pratiques sexuelles, il en existe des milliers, et des fantasmes encore plus. Beaucoup trop pour tous les énumérer ici.
À lire aussi : Comment le porno a fait évoluer mes fantasmes
Et s’ils font partie de notre quotidien, tout le monde n’ose pas s’épancher dessus, ce qui peut être extrêmement frustrant et même freiner l’épanouissement de la vie sexuelle.
La tristesse.
Viens me parler de tes fantasmes !
Tu as des fantasmes dont tu as eu honte pendant longtemps et que tu as réussi à assumer aujourd’hui ? Que ce soit avec toi-même, les autres ou ton/ta partenaire ?
Alors viens me raconter ton histoire à jaitfaitca [at] madmoizelle.com avec comme objet : J’ai un fantasme. Tu peux répondre à ces questions si tu ne sais pas par où commencer :
- Quels sont tes fantasmes ? Comment les as-tu découvert ?
- Pourquoi as-tu eu du mal à les accepter ?
- Comment te sentais-tu au début ?
- Pourquoi as-tu décidé de les accepter ?
- Comment as-tu fini par les assumer avec toi-même ? Et avec les autres ? Une discussion, une expérience, un élan de motivation spontané…)
Ton témoignage servira à un chouette article sur le site ! Bien entendu, il sera anonyme.
J’ai hâte de te lire et de savoir comment tu es parvenu·e à vivre en paix avec ton imaginaire sexuel ! (oui c’est très sincère.)
À lire aussi : Comment les sextoys ont changé mon rapport à la masturbation
Pour témoigner sur Madmoizelle, écrivez-nous à :
[email protected]
On a hâte de vous lire !
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