Des tweets qui brisent le cœur, terrifient, désespèrent. Abasourdissent par leur courage.
On l’attendait. La magazine Vice en avait souligné l’importance il y a plusieurs mois. Cette fois, ça y est : le hashtag #MeTooGay, qui contient la parole précieuse des hommes homosexuels victimes de violences sexuelles, a enfin émergé sur Twitter, jeudi 21 janvier 2020 au soir, suite à l’accusation d’un utilisateur appelé Prunille envers Maxime Cochard, conseiller PCF à Paris.
[TW : VIOL]
Après plus de 2 ans sans savoir mettre les mots sur ce qui m'est arrivé, je me rends compte que j'ai été violé par Maxime Cochard, conseiller de Paris et son compagnon Victor Laby en Octobre 2018 alors que je n'avais que 18 ans et étais particulièrement vulnérable.
— Prunille (@TT_Guillaume) January 21, 2021
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L’accusé s’est très rapidement défendu, qualifiant l’accusation de « totalement fausse ».
https://twitter.com/MaximeCochard_/status/1352246614870659078
Sa réaction a entraîné une vague de soutien envers Prunille, ainsi que l’émergence du hashtag #MeTooGay, où des hommes homosexuels racontent leurs expériences de violence sexuelle.
#metoogay J’avais 11 ans, et un corps d’enfant. Il en avait 16 et demi et un corps d’adulte. Ça a commencé par du chantage. Puis par des pénétrations forcées, de l’humiliation, et du dégoût a mesure que mon corps devenait pubère. Ça a duré 6 ans.
— Nicolas Martin (@NicoMartinFC) January 22, 2021
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#MeTooGay à 12 ans par mon correspondant allemand plus âgé. Mes parents m'ont toujours cru. La justice a mis des années à reconnaître ce dont j'avais été victime. De ma faute, disait ma prof d'allemand, sans que l'éducation nationale n'y trouve un problème.
— Clément Pouré (@Clembezard) January 21, 2021
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J'avais 10 ou 11 ans. On ne m'a pas cru quand je l'ai dit. Ca a en partie flingué mon adolescence et ma famille, retardé mon coming out de je-sais-pas-combien d'années. Il m'a fallu des années pour pouvoir en reparler. #MeTooGay #MeToo
— camille desombre 🌿 (@matthieufoucher) January 21, 2021
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#MeTooGay, i guess…
À 16 ans, c'était l'un de mes meilleurs amis.
À 21, c'était mon petit-ami qui refusait mes "non".
À 26, c'était un plan cul qui m'a fait le combo violence, contrainte et menace.Et #MeToo tout court, en fait.
Parce que ce sont des violences patriarcales. https://t.co/hV1NYDJkwD— Anthony Vincent (@AnthonyVnct) January 21, 2021
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#MeTooGay
– lycée, des garçons s’amusent à faire semblant de me violer
– 22 ans harcèlement d’un chef d’orchestre
– 23 ans violence et menace dans une soirée
– il y a 2 ans un inconnu, une soirée à Paris, de la drogue dans mon verre, le viol, le trou noir puis les flashs back— Charl.e.s A (@Charl_e_sA) January 22, 2021
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J'avais 10 ans. Il avait 14 ans.
Moi, 10 ans, corps d'enfant.
Lui, 14 ans, corps de jeune homme.Nos parents sortaient dîner.
Il lançait des pornos, puis des "jeux"
Caresses d'abord, sa bite ds ma bouche à la fin.
À chacun de leurs dîners, ça recommençait. Des années#MeTooGay https://t.co/PA3tpHR82n— CulturesQueer (@CulturesQueer) January 22, 2021
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https://twitter.com/ketchinga/status/1352544258042036225
J’avais entre 21 et 23 ans , on était en couple et selon lui « ce n’est pas normal de ne pas faire l’amour tout les soirs » à force de chantage et de menaces , il avait ce qu’il voulait presque à chaque fois malgré que je ne sois pas d’accord #MeTooGay
— the heartbreak prince (@thibaultmcr) January 22, 2021
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#MeTooGay, des témoignages qui ont mis du temps à trouver leur place
Ces hommes gay racontent l’impact profond et dévastateur de ces agressions sur leur psyché, leur rapport à leur corps, et la construction de leur identité au sens large.
Pourquoi ces tweets n’arrivent que que maintenant, alors que #MeToo a déjà 4 ans ? On peut supposer que la brèche ouverte par Camille Kouchner et la publication de son livre La Familia Grande, qui relate l’inceste subie par son frère jumeau par l’universitaire Olivier Duhamel, a permis l’émergence du hashtag #MeTooInceste… mais pas nécessairement, sur le moment, celui de #MeTooGay.
Le carcan oppressif de la virilité et la peur de donner du grain à moudre aux homophobes ont complexifié encore les possibilités de prise de parole par la communauté gay.
Les soutiens aux victimes témoignant sur #MeTooGay affluent
Les réactions à ces tweets n’ont pas tardé. Ainsi, Marlène Schiappa, ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur et chargée de la Citoyenneté, a tweeté :
Aux milliers de témoignages #MeTooGay depuis hier soir : plein soutien.
Si vous le souhaitez, des policiers, gendarmes et psychologues sont disponibles pour vous via https://t.co/7LUx3IDHAD 24h/24.
Nous sommes de votre côté.
Aucune violence sexuelle n’est excusable !— 🇫🇷 MarleneSchiappa (@MarleneSchiappa) January 22, 2021
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Plusieurs féministes ont elles aussi apporté leur soutien aux victimes.
Je lis ce soir, le cœur serré, les tweets #MeTooGay. On se sait. On est ensemble. Nous, féministes, devons faire collectivement mieux pour accueillir vos paroles. On vous voit aussi les homophobes & fermez vos grandes bouches. Ces violences sont des violences hétéro-patriarcales.
— clémence allezard (@CAllezard) January 21, 2021
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Ce qui se passe ce soir sur le #MeTooGay est important. On vous lit, on vous croit, on vous soutient 💙
— Rozenn Le Carboulec (@Roz_N_Roll) January 21, 2021
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A tous ceux qui tweetent #MeTooGay : on vous lit, on vous croit on est avec vous ils n’avaient pas le droit… 💜
— Anne-Cécile Mailfert (@AnneCMailfert) January 21, 2021
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#MeTooGay parce qu'une parole peut en libérer des milliers d'autres. Merci à vous, force et courage. Je vous crois.
— Raphaëlle Rémy-Leleu (@RaphaelleRL) January 21, 2021
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Reste à voir comment le gouvernement français et notre société au sens large vont accueillir cette parole enfin libérée des hommes gay. Et surtout, encore et toujours : ce qu’ils comptent mettre en œuvre comme actions concrètes pour prévenir ces violences sexuelles et protéger les cibles les plus vulnérables.
À lire aussi : Et si #metooinceste faisait enfin changer la loi autour du consentement ?
Écoutez Laisse-moi kiffer, le podcast de recommandations culturelles de Madmoizelle.
Les Commentaires
Je ressens à la fois tristesse et colère. J'espère au moins que le MetooGay qu'il a lancé apportera quelque chose pour les autres. J'espère qu'en 2021, tous les violeurs vont commencer à devoir répondre de ce qu'ils ont fait. J'espère qu'ils ne se sentiront pas tranquille.