En 2010, alors que j’étais posée, tranquille, dans mon salon en train de compter les pâquerettes, ma mère (oui vous avez bien lu) débarqua pour m’annoncer une grande nouvelle : Les Piliers de la Terre, le pavé qu’elle avait dévoré l’été dernier, allait être adapté en série télé. Jusque là, pas de quoi s’affoler surtout que je n’avais pas lu le roman en question… Mais je manquais de série depuis la fin des Tudors et j’entendis très distinctement les mots « série historique en Angleterre ».
https://youtu.be/pU3bUJroGNg
C’était fichu, me voilà partie pour 8 épisodes dont je ne me remettrai jamais merveilleux avec un charmant petit roux. Depuis plus rien n’arrête ma passion pour le charmant Eddie Redmayne.
Eddie Redmayne, entre cheveu flamboyant et taches de rousseur sexy
Avant Eddie (je peux l’appeler Eddie, on est intime maintenant que j‘écris sur lui), j’étais persuadée que mon type d’homme c’était le brun ténébreux du lycée, celui qui joue de la guitare dans son coin et a un vague air torturé-mais-pas-trop-parce-que-les-dramas-ça-va-bien-deux-minutes, des yeux sombres, un nez droit et une bouche toute fine. Et puis il y a eu Les Piliers de la Terre.
Pourtant la première apparition du personnage de Jack Jackson ne m’a pas laissé un souvenir impérissable : capuche rabattue sur le nez, bouche trop grande à mon goût, des vêtements crasseux au milieu de la forêt pluvieuse à ramasser des champignons… on avait vu plus avantageux comme première rencontre.
Coucou
Mais cette petite incartade vestimentaire ne m’a pas protégée longtemps du charme et de la rousseur d’Eddie. Le regard perçant, les petites taches de son qui donnent envie de TOUTES les embrasser, les cheveux en bataille… tout ça m’a très vite fait fondre.
Non mais franchement, entre ses airs de mec timide mais gentil, son physique de gringalet-mais-pas-trop, ses yeux qui semblent voir jusqu’aux tréfonds de ma culotte de mon âme, j’étais sensée résister comment ? Grâce à lui je peux le dire : j’aime les roux. Tous les roux. Surtout ceux avec des petites taches de rousseurs, des joues taillées à la serpe, de grands yeux entre le brun et le vert, et des cheveux tellement en bordel que je voudrais passer les mains dedans TOUT LE TEMPS.
Oui bon… c’est surtout Eddie que j’aime.
À lire aussi : Le calendrier 2016 qui met la beauté des hommes roux à l’honneur — Idée cadeau cool
Eddie Redmayne ou le talent incarné
D’un point de vue parfaitement objectif (non) j’ai toujours trouvé qu’Eddie jouait très bien. Le petit Jack Jackson au début des Piliers de la Terre, jeune garçon un peu gauche et quasi muet, devient peu à peu un homme à la fois architecte, artiste et bâtisseur de cathédrale, sûr de lui et très charismatique. Le chemin fut long entre ces deux états mais étonnamment fluide. Je me suis surprise à vouloir devenir charpentier rien que pour venir le voir sur le chantier de la cathédrale de Kingsbridge… alors que je ne sais rien faire de mes 10 doigts !
Depuis cette époque qui l’a révélé, Eddie Redmayne a également fait un sacré bout de route et tourné dans plusieurs grosses productions hollywoodiennes. N’ayant pas encore regardé toute sa filmographie je vais surtout parler des prestations que je connais.
Après un passage à l’écran avec Marylin Monroe (oui rien que ça), ou plutôt Michelle Williams, dans My Week with Marylin, et une performance au chant dans Les Misérables, son talent d’acteur fut mondialement reconnu grâce à The Theory of Everything en 2014. Il y interprète le rôle de Stephen Hawkins, physicien, cosmologiste et accessoirement professeur de mathématique à Cambridge. Ce scientifique est connu pour ses ouvrages de vulgarisation scientifique et son incroyable combat contre sa maladie, une sclérose qui le paralyse progressivement.
Mais on n’est pas là pour parler de ce bon Stephen n’est-ce pas ? Alors voyons plutôt comment Eddie s’en est sorti : un Golden Globe, un Oscar du meilleur acteur et cinq autres récompenses rien que pour lui. La grande classe je vous dis !
Ne pleure pas mon chou, je te jure que tu l’as mérité
On continue encore un peu avec cette jolie filmographie ? En janvier 2016 notre renard préféré (en rêve je l’appelle mon petit renard… chacun ses surnoms débiles, on ne juge pas), continue sur sa lancée des personnages historiques et sera à l’affiche de Danish Girl. Il y interprètera le rôle principal, à savoir celui d’Einar Wegener / Lili Elbe, première femme trans dont la transition fut documentée dans les années 1920. Indépendamment des critiques faites au film car il s’agit d’un homme cisgenre jouant une femme trans, je dois admettre que la nouvelle m’a fait couiner de plaisir.
Presque autant que de savoir qu’il sera également à l’honneur dans le film Les animaux fantastiques à paraitre fin 2016. Il est possible que j’ai poussé un petit cri (ou un hurlement) de bonheur en l’apprenant. Peut-être. Vous ne saurez jamais.
Insoupçonnable sexyness d’Eddie Redmayne
En résumé, Eddie Redmayne c’est un peu le mec qu’on ne remarque pas au premier abord, chez qui on va peut-être remarquer en premier lieu les petits défauts : une bouche un peu trop grand et pulpeuse, un air légèrement androgyne qui peut ne pas plaire, une taille parfaitement moyenne.
Et pourtant… Et pourtant il fut l’égérie de Burberry pendant près de 3 ans, il posa avec Cara Delevingne et autres modèles de la marque. Et pourtant il a une tête tellement chou que je fonds instantanément en le voyant, la classe naturelle et tranquille du mec sur qui on peut compter, une mâchoire tellement bien dessinée que j’ai envie de prendre son visage dans mes mains pour l’embrasser sur le nez. Une sorte de beau gosse qui s’ignore et qu’on finit forcément par remarquer !
La jalousie à l’état brut… je veux être ce parapluie !
Et vous savez quoi ? En regardant sur Wiki la filmographie de ce bon Eddie, j’ai remarqué qu’il me manquait plein de films à voir ! Du coup j’ai un peu envie de dire « tchao les amis, je fais un marathon Eddie ». Bisous sur vos nez et à la prochaine !
Ajoutez Madmoizelle à vos favoris sur Google News pour ne rater aucun de nos articles !
Les Commentaires