The Girl Who Couldn’t Cry est une campagne de sensibilisation de l’ONG Water For Life. Le message est simple : l’absence d’accès à l’eau potable empire les situations déjà désespérées.
focalise son action sur l’accès à l’eau potable dans les pays en voie de développement. Leur dernière campagne de communication met en scène une jeune fille vivant dans un bidonville en Inde.
Elle souffre de déshydratation sévère au point que son corps ne fabrique plus de larmes. Car ce ne sont pas les raisons de pleurer qui lui manquent… Une façon brutale de mettre l’accès à l’eau potable en tête des priorités d’aides au développement, selon le slogan de cette campagne :
« L’absence d’eau potable rend les situations désespérées pires encore »
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs. Ce contenu est fourni par YouTube. Pour pouvoir le visualiser, vous devez accepter l’usage étant opéré par YouTube avec vos données qui pourront être utilisées pour les finalités suivantes : vous permettre de visualiser et de partager des contenus avec des médias sociaux, favoriser le développement et l’amélioration des produits d’Humanoid et de ses partenaires, vous afficher des publicités personnalisées par rapport à votre profil et activité, vous définir un profil publicitaire personnalisé, mesurer la performance des publicités et du contenu de ce site et mesurer l’audience de ce site (en savoir plus)
En cliquant sur « J’accepte tout », vous consentez aux finalités susmentionnées pour l’ensemble des cookies et autres traceurs déposés par Humanoid et ses partenaires.
Vous gardez la possibilité de retirer votre consentement à tout moment. Pour plus d’informations, nous vous invitons à prendre connaissance de notre Politique cookies.
« Quand je suis née dans un bidonville indien, je n’ai pas pleuré.
Quand ma famille a eu besoin de que je travaille, je n’ai pas pleuré.
Je n’ai pas pleuré quand j’ai compris quel était le travail de ma mère.
Quand j’ai vu mon frère mourir, je n’ai pas pleuré.
Quand j’ai été forcée à me marier, je n’ai pas pleuré.
Pas parce que je ne voulais pas, mais parce que je ne pouvais pas. »
11% de la population mondiale n’a toujours pas accès à l’eau potable.
Encore une campagne très émouvante qui je l'espère fera son effet. Aujourd'hui (malheureusement), j'ai l'impression que seules ce genre de campagnes dures, chocs qui créent le buzz font place à une hypothèse de changement.
Les Commentaires