Des films érotiques, il en existe de tous types et de tous poils. Mais il existait un concept qui n’avait étonnement pas encore été exploité : le film « porno » filmé par un drone. C’est désormais chose faite avec Droneboning (« boning » signifiant « se taper quelqu’un » — ou « désosser », mais tu comprendras bien, au vu du contexte, que ça ne s’applique pas à l’oeuvre) !
Réalisé par Ghost+Cow
, le court-métrage prend de très haut des images de la nature californienne dans lesquelles se disséminent quelques personnes en train de forniquer. C’est joli c’est fleuri c’est boisé. Du coup, quand le drone est passé sans s’arrêter au-dessus du premier binôme coïtant, j’ai ri. Ça a un petit côté grotesque pas piqué des hannetons. Comme quand t’es en voiture et que tu surprends un piéton occupé à se gratter les parties génitales en pensant que personne ne le voit.
Comme on peut le lire sur NYMag, les ambitions de ce court étaient tout à fait accessibles à l’esprit humain :
Le plan, c’était de filmer de beaux paysages et de mettre des gens qui baisent dedans.
J’ai un peu eu l’impression de jouer à Où est Charlie avec des scènes de fesses, mais eh, tu me diras ce que t’en as pensé :
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