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Femme appliquant une bouillotte sur son ventre pendant les règles
Santé

Comment j’ai maîtrisé mes douleurs de règles en 4 étapes

Les règles très douloureuses, c’est une vraie plaie, qui peut devenir un handicap au quotidien. Mais ce n’est pas une fatalité, car c’est pas l’utérus qui commande, non mais !

Le 7 juin 2017

Parlons contraception et cycle menstruel

En partenariat avec Bayer (notre Manifeste)

Madmoizelle et Bayer s’unissent pour te présenter la plateforme Mon corps ma contraception, qui te permettra de faire le point sur les options s’offrant à toi !

Connaître sa contraception et sa santé sexuelle, c’est aussi l’occasion de se pencher sur le cycle menstruel, et les douleurs qui peuvent l’accompagner… mais ne sont pas une fatalité.

Deux jours par mois, j’ai envie de crever.

L’éternelle optimiste en moi s’exclame « Seulement deux jours ! Quelle chance ! ». Je sais effectivement que d’autres endurent jusqu’à 5 jours de douleurs liées à leur cycle menstruel.

J’ai une autre chance : je ne suis pas atteinte d’endométriose, cette maladie qui touche environ 1 personne menstruée sur 10, et dont on commence à peine à parler.

L’enfer des douleurs de règles

Pour les personnes qui en sont victimes, les douleurs de règles peuvent être si violentes qu’elles peuvent provoquer une perte de connaissance. Autrement dit, ça fait si mal que le cerveau met tout le système en veille.

Alors j’ai de la chance, mais la vie n’est pas un concours de souffrance, donc deux jours par mois, j’ai mal, vraiment très mal, au point d’avoir des envies violentes.

Comme celle de pratiquer une hystérectomie sauvage sur moi-même, avec ce qui me tombe sous la main: couple-ongles, baguettes chinoises, pointe de compas, ciseaux de couture…

Le tout sans anesthésie. Je me dis que ça fera mal sur le coup mais qu’après je serai tranquille.

Cette solution est fort peu recommandée, pour des raisons d’hygiène et de sécurité élémentaires. Je reste donc face à mon problème d’utérus hargneux.

Les douleurs de règles, ne sont pas toujours normales

Même s’il est courant d’avoir des crampes et de légères douleurs pendant ses règles, avoir mal au point que ça en devient handicapant n’est pas normal.

Endométriose, mais aussi syndrome des ovaires polykystiques ou fibromes peuvent être à l’origine de ces douleurs.

N’hésitez jamais à consulter un ou une professionnelle de santé, pour ne pas rester seule avec vos douleurs, trouver d’où elles viennent, et potentiellement le moyen de vous en débarrasser !

Et si, comme Clémence, vous n’avez pas de diagnostic précis, vous pouvez consulter plusieurs spécialistes : un deuxième voire troisième avis peut être utile.

Certaines causes de douleurs menstruelles sont longues et difficiles à identifier mais une fois qu’elles le sont, votre vie peut s’en trouver apaisée.

Essayer d’accepter mes règles douloureuses

Comme ça revient tous les mois, j’ai cherché à m’en défaire. Et à l’image de nombreux autres obstacles rencontrés dans ma vie, je suis passée par les étapes du deuil à propos de mes règles.

  • Le déni : c’est pas possible que ce soit lié à ça, j’ai juste mangé une saloperie, c’est pour ça que j’ai mal au ventre.
  • Le choc : je suis restée prostrée des journées entières, à essayer de rester dans le déni : c’est PAS POSSIBLE que ce soit si douloureux
  • La négociation : je suis allée voir mon médecin pour COMPRENDRE et trouver des solutions. Car il est toujours essentiel de consulter quand on souffre !
  • La colère: JE VAIS ME FAIRE UNE ABLATION DE L’UTÉRUS ET ALLEZ TOUS VOUS FAIRE FOUTRE
  • La dépression : retour aux jours et aux nuits prostrées, juste à attendre que ça passe, et à morfler.

Voilà des années que je suis coincée dans ce cycle, et je n’arrive pas à trouver l’acceptation, pour deux raisons :

  1. Je n’arrive pas à accepter qu’un tel niveau de douleur soit « normal », je suis pas masochiste, c’est comme ça.
  2. Je suis très ambitieuse, et je ne peux pas accepter l’idée d’être inutile à moi-même et aux autres 48h par mois.

Vous vous rendez-compte ? 48h par mois, c’est 24 jours dans une année. C’est 720 jours d’une vie menstruée, si on prend comme base 30 ans (de 15 à 45 ans).

720 jours, ça veut dire, à 10 jours près : deux ans. Pour deux jours par mois que je passe parasitée, prostrée par la douleur, c’est deux ans de ma vie que je perdrai, au total.

Je ne peux pas accepter ça.

J’ai donc développé, au fil des ans, tout un arsenal de tactiques pour mater mes douleurs de règles. Spoiler alert : j’ai toujours mal, mais j’ai arrêté d’être en état d’incapacité pendant la douleur.

Mater les douleurs de règles, étape 1 : planifier

Prédire son cycle menstruel

Je ne décide pas du jour où se déclencheront les douleurs, mais avec le temps, j’arrive à le prévoir de mieux en mieux. J’ai fini par adopter Clue, une application très efficace pour suivre son cycle.

J’étais au départ très réticente face à ce genre de gadget, mais après avoir testé, je trouve finalement que ces outils peuvent être d’une aide précieuse.

Ainsi, j’arrive à prédire avec plus ou moins de précisions mes prochains « jours noirs ».

J’évite au possible d’y caler des activités prenantes émotionnellement, nécessitant de l’énergie, une forme physique exceptionnelle.

Organiser son emploi du temps pour gérer ses douleurs de règles

Un marathon de séries ? Je dis oui. Un marathon tout court ? JE FUIS. Et je fais pareil pour mes obligations professionnelles.

Dans la mesure du possible, j’évite de caler ces jours-là des séances de créativité, des rendez-vous qui vont me demander plus de participation que d’écoute.

On n’est pas toujours libre de son emploi du temps, c’est pourquoi je suis au fond de moi très favorable à l’idée d’un congé-règles (même si je suis paniquée à l’idée qu’on l’utilise pour discriminer encore plus les femmes sur le marché du travail).

Mais beaucoup d’emplois du temps peuvent être aménagés pour rester « légers » pendant ces « jours noirs ».

Le but étant de garder ses capacités, je ne cherche pas à ne RIEN mettre sur ces journées, je cherche juste à ne pas les rendre épuisantes rien qu’à la lecture de mon agenda.

Un jour normal, en quelque sorte.

Se préparer physiquement aux règles douloureuses

Quoi que je fasse, je ne ferai pas disparaître la douleur. Je cherche donc à limiter toute source d’inconfort, car les douleurs ne s’additionnent pas, elles se multiplient ces petites enflures.

Si j’ai mal au ventre, j’évite par exemple de porter une tenue qui va me serrer le ventre, me gratter le dos, me comprimer les cuisses ou que sais-je.

Si je peux m’habiller en jogging ces jours-là, je le fais sans vergogne. En plus, la mode est avec moi : la tendance athleisure permet de mixer sport & ville, tout en style et en décontraction. J’achète !

Personne menstruée subissant des douleurs de règles

Mater mes douleurs de règles, étape 2 : changer d’état d’esprit

Positiver, pour diminuer le ressenti des douleurs de règles

J’ai bien conscience que ça sonne un peu méthode Coué, mais restez avec moi quelques instants : qu’est-ce que la douleur ? C’est une information.

C’est comme ça que les différentes parties de notre corps envoient un message d’alerte au commandement central : il se passe quelque chose ICI, merci d’intervenir.

La douleur conditionne des réflexes de survie, c’est plutôt un message positif. C’est ma première manip’ : me convaincre que si j’ai mal, c’est une bonne nouvelle.

Mon utérus est en train de s’auto-détruire comme prévu tous les 28 jours. Du bien beau travail Alphonse (mon utérus s’appelle Alphonse), merci pour le zèle.

Message reçu 5/5 PAS BESOIN DE LE RÉPÉTER EN BOUCLE.

Ça a peut-être l’air anodin, mais le fait de ressentir cette douleur comme un message positif, de « tout va bien », contribue à rendre son ressenti moins aigu. Comme une sourdine.

Je convertis intellectuellement mes douleurs de règles comme une douleur de sport : il y a une vraie différence entre le mal de claquage (brutal, brûlant, vif), et le mal de courbatures, qui a quelque chose de satisfaisant : on sent que le corps travaille.

Je fais pareil avec mes douleurs de règles. C’est une purge, ça fait du bien. Si, au fond, ça fait du bien.

Me détendre, pour déconnecter la douleur de règles

Parfois la douleur est trop aiguë, je n’arrive pas à la convertir en « message positif ». Je cherche alors à débrancher le message.

Puisque je n’arrive pas à dire à mon cerveau (Maurice, mon cerveau s’appelle Maurice)… Puisque je n’arrive pas à dire à Maurice que « tu te méprends mon gars, c’est pas un message d’urgence qu’Alphonse t’envoie, c’est un message positif », je vais alors chercher à rompre cette communication.

Pour ce faire, je pratique un exercice de relaxation.

Je m’allonge sur le dos, je me détends, me place mes deux mains sur mon bas-ventre (là où ça fait mal), et j’aspire la douleur dans mes deux mains.

Ça fait un ballon jaune-orangé-rouge, plus ou moins gros (selon l’intensité de la douleur). Le but, c’est d’extraire la douleur, et de m’en débarrasser.

Je remplis le ballon, je fais comprendre à Maurice et Alphonse que je suis en train de court-circuiter tout leur canal de communication pour tout mettre à l’intérieur du ballon.

Quand je suis satisfaite, je jette le ballon, et je me réveille.

Je dois répéter cet exercice entre 1 et 3 fois par jour, à raison d’une dizaine de minutes par session. Là encore, ça ne fait pas disparaître la douleur, mais ça l’atténue hautement dans ma tête !

Tout le temps que Maurice ne passe pas à me rappeler que ALPHONSE HURLE est un temps de cerveau disponible que je récupère pour d’autres activités.

L’objectif de toute l’étape 2, c’est de refuser de laisser la douleur l’emporter.

L’étape 3, c’est lui porter le coup de grâce.

Mater mes douleurs de règles, étape 3 : le plan de bataille

Une excellente préparation et un état d’esprit solide n’empêchent pas les douleurs de règles de se manifester. De même que les astuces suivantes ne suffisent pas à les atténuer.

La combinaison des deux, en revanche, me permet de rester productive, ou tout du moins, raisonnablement active, et ne pas avoir à rester prostrée le temps que ça passe.

Voici donc les astuces pratiques, qui n’ont rien de révolutionnaire.

C’est plutôt (peut-être ?) le fait de les associer avec la méditation et la positivité qui produiront des résultats tangibles (vous me direz !)

La bouillotte contre les douleurs de règles

J’ai acheté la mienne en pharmacie. 30 à 45 secondes au micro-ondes, je la glisse dans sa pochette spéciale diffuseur de chaleur, et je la place sur le bas-ventre, à l’intérieur de mon pantalon.

Raison de plus pour porter des fringues confortables !

Du chocolat noir contre les douleurs de règles

Message chimique contre message chimique : Alphonse spamme Maurice de messages négatifs ? Je file à Henri (mon estomac) de quoi rééquilibrer Maurice.

Je mange du chocolat noir pour l’endorphine que ça me procure.

Encore une fois, ça ne calme pas la douleur, ça me sert à équilibrer mes ressentis, dans la tête. Méditation + chocolat pour filer un coup de pouce chimique !

Faire de l’exercice physique contre les douleurs de règles

Ce conseil semble vraiment contre-nature, et pourtant, pour moi, c’est le plus efficace.

Au pic de mes douleurs de règles, me mettre en mouvement est la dernière chose que j’aurais envie de faire (j’ai plutôt envie de crever sur place). Mais faire de l’exercice physique à ce moment est doublement bénéfique !

  • Ça soulage effectivement l’utérus : c’est un muscle, qui râlera moins si vous l’oxygénez mieux, et faire de l’exercice stimule l’oxygénation musculaire.
  • Ça libère de l’endorphine : des messages positifs pour le cerveau, qui peuvent rééquilibrer l’afflux de messages négatifs venus de l’utérus

Par « faire de l’exercice physique », j’entends marcher. Je ne suis pas capable de courir, de nager ou même de faire du vélo dans ces conditions, et même marcher me semble être un effort surhumain, et parfaitement superflu.

Mais c’est encore ce qui me soulage le mieux : me mettre un bon podcast dans les oreilles et aller marcher 30-45 minutes, même si c’est pour faire 3 fois le tour de mon quartier.

Bien respirer et s’hydrater contre les douleurs de règles

Cette douleur m’épuise. Bien souvent, elle me noue l’estomac et me coupe le souffle.

C’est un très mauvais calcul : je ne bois plus assez, et j’ai une respiration contrainte, saccadée.

Prendre d’amples respirations et boire beaucoup d’eau m’aide à soulager et détendre les muscles, y compris et surtout ceux qui travaillent.

Prendre un médicament contre les douleurs de règles

Là, je parle de médicaments, donc j’insiste à nouveau sur l’importance de consulter un ou une professionnelle de santé.

J’évite au maximum d’y avoir recours, parce que je n’ai pas envie de passer 720 jours de ma vie sous anti-douleurs, et que, en tout état de cause, ça ne soulage pas forcément ma douleur.

C’est mieux que rien, j’en conviens, mais ce n’est pas une baguette magique.

Néanmoins, en cas de pic de douleur ou de besoin d’avoir l’esprit absolument clair (une réunion importante, un examen, etc), le cachet d’antidouleur reste un joker efficace.

Mater mes douleurs de règles, étape 4 : l’indulgence

À la fin, j’ai toujours mal, mais j’arrive à maintenir un niveau de productivité satisfaisant, et ce grâce aussi à cette quatrième étape : l’indulgence, la mienne et celle des autres.

Je n’ai plus honte de mes douleurs de règles

Voilà quelques années que le tabou qui pèse sur les règles est en train d’être levé, progressivement, et je voudrais exprimer ma profonde gratitude à toutes celles et ceux qui oeuvrent pour ça.

Si dans certaines régions du monde, la route est encore longue (je pense notamment à l’Inde), par chez nous, ça avance bien.

Et c’est aussi grâce à l’oeuvre de jeunes femmes comme Laci Green, mais plus près de chez nous Jack Parker, qui libèrent la parole sur ce sujet.

Cette médiatisation positive des règles et des douleurs associées me permet aujourd’hui de le dire en société, en entreprise même.

Je pense à cette nageuse chinoise, qui aux Jeux Olympiques de Rio cet été, avait commenté sa contre-performance en disant « j’étais pas au top, je venais d’avoir mes règles, même si bon, c’est pas une excuse ».

Elle a parfaitement résumé mon ressenti : ça explique mon coup de mou, mais je ne veux pas l’utiliser comme une excuse.

C’est une explication, tout simplement.

Alors aujourd’hui, si je me sens trop sur la défensive, trop à fleur de peau, pas aussi efficace que je le voudrais, je n’hésite plus à l’expliquer à mon entourage : je suis désolée, j’ai mal à cause de mes règles, ça va passer, je te propose d’en reparler demain.

Si des gens réagissent mal à cette explication, c’est leur problème, pas le mien.

Je ne me flagelle plus face aux douleurs de règles

Parfois, mes jours de règles tombent un samedi, un dimanche, un jour férié…

J’évite alors de me contraindre à nettoyer mon appart de fond en comble, ou à trier mes papiers administratifs, bref le genre de tâches qui demandent une volonté de fer et une motivation d’acier.

Les jours où je peux me le permettre, je me colle devant Netflix, une bouillotte sur le bide et du chocolat noir à volonté.

Mes trois prochains « jours noirs » tomberont peut-être à un moment où je devrais mobiliser toute ma volonté pour ne pas me laisser abattre.

Alors, quand je peux me le permettre, je suis indulgente avec Alphonse.

Bonus : je vous raconte pas l’immense satisfaction que je ressens lorsque les « jours noirs » sont enfin derrière moi. C’est moi qui gagne à la fin. Toujours !

À vous ? Comment faites-vous pour gérer vos douleurs de règles ? Avez-vous essayé mes conseils ? Venez en parler dans les commentaires !

À lire aussi : Syndrome prémenstruel, crampes… le CBD apaise-t-il vraiment les maux des règles ?

Crédits photos : cottonbro (Pexels)

Les Commentaires

54
Avatar de Kurmad
27 octobre 2019 à 19h10
Kurmad
@Auré14 , comme l'ont souligné d'autres personnes, le suivi gynéco n'est pas obligatoire tant que tout va bien. Le premier frottis (fortement conseillé) est à 25 ans donc tu as encore de la marge .
Par contre visiblement tu as des douleurs donc tu voudrais peut-être consulter, indépendamment d'une vie sexuelle.

Ma première contraception m'a été prescrite par mon généraliste, et c'est lui qui a fait débuter ma prise en charge pour suspicion d'endométriose. Donc si voir un spécialiste te fait peur, tu peux aussi aller voir ton médecin de famille si tu lui fait confiance. Y'a pas nécessairement besoin d'examen, ça peut être juste en parlant dans un premier temps.
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