Pour parler des parfums d’Orsay il convient avant tout de présenter son créateur, le Comte d’Orsay. Celui que Lamartine appelait « l’archange du Dandysme », figure, en son temps, du bon goût et de l’élégance, créa des parfums comme on écrit des lettres d’amour : pour une femme. Véritable référence en matière de parfumerie traditionnelle, les Parfums d’Orsay ont longtemps été l’un des leaders des marchés français et américains. Dans les années 30, 1 français sur 8 se parfumait en d’Orsay… Si, si !
Aujourd’hui, après un profond sommeil, la marque renaît de ses cendres et réédite l’un de ses best sellers, l’enivrant « Intoxication ». Le nom se prononce bien sûr à l’anglaise, ce qui, traduit alors en français, évoque l’accoutumance et l’ivresse : le ton est donné. Le parfum culte fait déjà un tabac chez les très prestigieux Bergdorf Goodman et Takashimaya (New York) ainsi qu’au Japon. On craque pour le design précieux du flacon et la qualité du jus. Une vraie eau de parfum comme il s’en fait de plus en plus rare, idéale pour les grands soirs et dont les effluves florales mélangent glamour, féminité et élégance.
« Intoxication », réédition exceptionnelle en 2000 exemplaires, 62€ le vaporisateur de 50ml. En vente au Printemps, chez Franck&Fils et dans les parfumeries sélectives.
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