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anastasia danse loin du froid de décembre
Culture

Les dix chansons qui feront toujours partie de la vie de… Fanny !

Choisir ses dix chansons préférées, c’est difficile. Après Sophie Riche, c’est Fanny qui se frotte à l’exercice !

Après une brillante idée de Thomas, notre nouveau développeur, Sophie Riche a lancé la semaine dernière une nouvelle rubrique mettant à l’honneur les dix chansons préférées que l’on aimera toujours d’amour, celle qui ont une signification toute particulière.

À lire aussi : Dix chansons qui feront toujours partie de ma vie

Aujourd’hui, c’est Fanny qui vous dévoile ses dix chansons favorites, de styles et d’époques complètement différents !

Octobre, de Francis Cabrel

À la maison, il y avait deux artistes qui tournaient beaucoup : Jean-Jacques Goldman et Francis Cabrel. Un départ en vacances sans l’un ou l’autre des chanteurs dans le lecteur de CD (ou de cassette selon l’époque) était impensable ! Goldman est le chanteur préféré de ma mère, mais j’ai toujours eu un faible plus prononcé pour Cabrel.

Ses mélodies sont toujours justes, et les paroles bien choisies. Ça a été un choix difficile que d’en sélectionner juste une, mais j’ai rapidement pensé à Octobre. Elle représente bien tout ce que j’aime dans la discographie du chanteur : une jolie mélodie, un poil mélancolique, qui colle parfaitement à ce que disent les paroles. Cette chanson me donne systématiquement envie de me pelotonner dans un plaid devant un film avec un tasse de thé fumant. Imparable.

À lire aussi : Luciole reprend « Octobre » de Francis Cabrel

Here Comes the Sun, des Beatles

Je suis fan des Beatles depuis quelques années. J’ai vraiment découvert ce groupe mythique grâce à un jeu vidéo tout bête, et pour la première fois de ma vie depuis les Spice Girls, j’avais eu envie d’écouter absolument toutes leurs chansons, je voulais absolument tout connaître d’eux. Je n’ai pas été déçue, puisque que j’aime pratiquement tout dans leur carrière (sauf Revolution 9, mais bon, en même temps, qui aime cette chanson ?) !

Le choix d’une seule chanson n’a pas été simple, j’ai hésité longtemps entre Do You Want To Know A Secret (peu connue mais je l’adore, très sixties), Across The Universe, GirlI Me Mine… Bon, je ne vais pas faire tous les titres hein, mon choix s’est donc posé sur Here Comes The Sun. Elle se situe dans la deuxième période musicale des Beatles, à un moment où le groupe n’était pas au mieux. Mais pourtant c’est une chanson positive et optimiste, qui n’en fait pas trop et qui me fait me sentir bien à chaque fois.

À lire aussi : Test – Quel Beatles es-tu ?

Turning Tables, d’Adele

J’ai parfois l’impression qu’Adele pourrait me faire apprécier n’importe quelle chanson, tant j’aime sa voix. Elle met de l’émotion partout, et ça, c’est beau, tout simplement, et ce n’est pas donné à tout le monde. Je ne suis pas particulièrement friande de chanteuses « à voix », mais Adele a su me faire chavirer. Impossible de l’oublier dans ma liste.

J’aurais pu choisir d’y ajouter la très célèbre Someone Like You, mais elle est associée à une période pas très jojo de ma vie ; Rolling In The Deep était bien placée aussi, mais je trouve que la chanteuse se révèle vraiment dans les chansons tristes. Donc si je ne devais en choisir qu’une, ça serait Turning Tables, sans hésiter.

À lire aussi : Aretha Franklin reprend Adele… à gros coups d’autotune

Loin du froid de décembre, de Katya Marcosy

J’adore les dessins animés de Disney, et même si le film Anastasia n’en est pas un, ce dessin animé est rangé pour moi au même niveau que mes Disney préférés. Mon iPod est d’ailleurs rempli de chansons de dessins animés que je connais toutes par cœur.

Loin du froid de décembre a une place plus particulière ; la chanson (Hélène Ségara l’a reprise, mais je préfère la version du film) passait à l’époque en boucle à la radio, et donnait l’impression d’être un peu plus qu’une simple chanson de dessin animé. C’est, du moins dans mon souvenir, l’une des premières fois qu’une musique de film d’animation passait autant à la radio. Je l’ai aimée dès la première écoute, et plus de quinze ans après, je l’apprécie toujours comme au premier jour.

À lire aussi : 3 dessins animés qui trichent avec l’Histoire

Le générique de Jayce et les Conquérants de la lumière, de Nick Carr

Quand j’étais petite et que je finissais l’école, je rentrais prendre mon gouter devant les Minikeums en regardant un quelconque dessin animé, comme beaucoup d’enfants de mon âge. J’ai été bercée par les génériques de Rémi sans famille et de Cat’s Eye, et il paraît que je remuais systématiquement mes fesses dès que j’entendais celui de Mimi Cracra (oui je sais, ça passait pas pendant les Minikeums).

En tout cas j’ai toujours plus ou moins voué un culte aux génériques des dessins animés. Celui de Jayce et les Conquérants de la lumière m’a tout de suite plu. Je n’ai jamais vu un seul épisode de cette série, mon frère m’a juste fait écouter la musique une fois en me disant qu’il l’adorait petit (c’est de famille). Ce générique est top, c’est vrai, parce que justement je trouve qu’on ne dirait pas un générique, et que c’est tout simplement une musique pop très efficace. 

À lire aussi : Ces émissions du passé qui étaient vachement bien

Nés sous la même étoile, d’IAM

Je suis de Marseille, et j’ai très souvent entendu IAM dans ma jeunesse. L’album L’École Du Micro D’Argent  tournait en boucle dans la chambre de mon frère quand il était ado, et forcément, j’ai fini par l’écouter moi aussi. Il me fallait donc une de leurs chansons dans ma liste.

J’aime à peu près tout l’album, mais Nés sous la même étoile reste ma préférée, sûrement un peu à cause de ma passion pour les chansons déprimantes. Comme souvent avec ce groupe, les paroles sont fortes, percutantes, bien écrites, et les premières notes annoncent tout de suite une bonne chanson. 

Carol of the Bells 

Noël et moi, c’est une grande histoire qui renait chaque année mi-novembre. Dès qu’il commence à faire un peu plus froid, que les pubs pour jouets commencent à arriver à la télé et que les supermarchés font déjà des promos sur le saumon fumé, je chamboule mon iPod et je ressors la playlist spéciale Noël.

J’ai plusieurs mélodies préférées dedans, mais aucune ne me fait le même effet que Carol of the Bells (surtout quand elle est chantée par une chorale). Je peux l’écouter en boucle des dizaines de fois sans me lasser. Elle me met dans l’ambiance à coup sûr, et un Noël sans Carol of the Bells, ce n’est pas vraiment Noël !

À lire aussi : Test — Quelle chanson de Noël es-tu ?

 La Lettre à Élise, de Beethoven

J’apprécie toujours d’écouter un peu de musique classique. Je n’y connais absolument rien, mais j’aime laisser mon esprit divaguer un peu quand ce genre de musique passe dans mes oreilles. Je trouve ça reposant de ne pas avoir à se concentrer sur des paroles, mais juste sur du son.

Bref, tout ça pour dire que dans ce domaine, après avoir hésité avec la Danse de la Fée Dragée, de Tchaïkovski, mon choix s’est finalement porté sur ce morceau. C’est d’ailleurs le premier morceau classique que j’ai vraiment aimé, que j’ai appris à jouer au piano (c’est d’ailleurs le seul et l’unique, et je ne connais que le début) et qui reste toujours sur mon baladeur quoi qu’il arrive.

https://youtu.be/_mVW8tgGY_w

À lire aussi : La musique « classique » et les jeunes : sus aux clichés

These Arms of Mine, d’Otis Redding

Il y a des chansons qui me foutent des frissons dès les premières notes. Celle-là en fait partie. Les larmes peuvent d’ailleurs me monter facilement aux yeux quand je l’écoute, sans que je ne sache pourquoi. Elle n’est liée à aucune période de ma courte vie, et je la connais surtout parce qu’elle figure dans la bande son de Dirty Dancing. Donc je continue de l’aimer tout court, juste parce qu’elle colle parfaitement aux années 60 que j’affectionne tant, et qu’elle fait partie pour moi des plus belles chansons d’amour. 

À lire aussi : Un petit garçon refait la choré de Dirty Dancing

Wonderwall, d’Oasis

Mon frère (encore lui, il est décidément responsable de beaucoup de mes écoutes musicales) est fan d’Oasis. Cette chanson représente pour moi les années 90, notre enfance, un peu tout ça. Rien à voir avec les paroles, mais c’est ce qu’elle m’évoque systématiquement.

À lire aussi : Blur VS Oasis — Les guerres musicales #2

Je suis quelqu’un de très nostalgique et ce morceau représente pour moi l’insouciance de mes jeunes années (c’est beau hein ?). Et puis les paroles sont simples, je peux me la péter en la chantant pratiquement par cœur, et ça c’est classe (enfin moi je trouve ça classe) !

À toi maintenant ! Si tu as envie de parler de tes morceaux préférés dans un article qui sera publié sur madmoiZelle, choisis les dix chansons qui ne quitteront jamais ton lecteur MP3, iPod, tes playlists, explique la raison de ton amour pour elles comme ci-dessus et envoie tout ça dans un mail à melissa[a]madmoizelle.com en précisant bien « 10 chansons » dans l’objet de ton message !

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Les Commentaires

12
Avatar de Ruth
1 décembre 2016 à 13h12
Ruth
@Motchii
Contenu spoiler caché.
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