AHA ! En voilà une bonne nouvelle. Enfin, si vous êtes à jour concernant Dexter et que vous savez comment s’est terminée la saison 4, je ne sais pas si on peut vraiment parler de bonne nouvelle. Ça sent très très mauvais pour notre tueur en série d’amour, et à mon avis cette nouvelle saison va nous faire péter quelques durites au passage.
Ça fait déjà quatre saisons que Dexter met nos nerfs à l’épreuve. Rarement une série ne m’avait tenue en haleine à ce point, j’en suis arrivée à disjoncter complètement dès que le générique apparaissait en pleine situation de crise. Je sais pas si c’est parce que je suis particulièrement sensible mais j’ai hésité plusieurs fois à mettre pause en plein milieu d’un épisode pour reprendre mon souffle tant la situation me paraissait insoutenable. Et c’est pas près de s’arranger si on se fie aux premières images de la nouvelle saison…
Je rappelle, en gros et en gras, si vous n’avez pas vu la saison 4, ne regardez pas le trailer (et évitez de lire la suite). Si malgré tout vous ne résistez pas à la tentation, je vous aurais prévenues donc inutile de m’envoyer des menaces de mort.
http://www.youtube.com/watch?v=CUbCMbW-BRE
2 minutes 36 et je suis déjà à bout de nerfs.
Mais au moins on peut constater avec joie que la série s’oriente dans la bonne direction, celle qu’elle se devait de prendre et à laquelle on s’attendait tous. [Spoiler]Si Quinn avait lâché l’affaire sous prétexte que Dexter a vécu un drame familial, j’y aurais pas cru une seconde. Et puis ça nous rappellera un peu la première saison avec ce chacal de Doakes… Dexter se retrouve dans la peau de mille personnages en même temps (veuf, père célibataire, suspect, tueur…) et apparemment, même lui a du mal à s’en sortir. Avec trois gosses sur les bras dont deux qui lui reprochent la mort de leur mère, y a de quoi bien rigoler.[/spoiler]
Cette nouvelle saison sera diffusée au États-Unis à partir du 26 septembre prochain (c’est loooiiiin).
Écoutez l’Apéro des Daronnes, l’émission de Madmoizelle qui veut faire tomber les tabous autour de la parentalité.
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