En partenariat avec le Nikon Film Festival (notre Manifeste).
Porter la mort et le deuil à l’écran n’a rien d’aisé. Le plus grand risque est de tomber dans le mélodrame et le pathos.
En parler avec humour et légèreté s’avère encore plus compliqué, et pourtant, le court-métrage en compétition pour le Nikon Film Festival Je suis une poussière d’étoile y parvient.
Des enfants face à la mort de leur papa
Réalisé par Amélie Prévot et Marion Christmann, il s’agit de leur seconde participation au concours de courts-métrages lancé par Nikon.
L’an dernier, les deux réalisatrices et comédiennes avaient proposé Je suis la vraie histoire de la petite souris.
Dans ce nouveau court-métrage, les deux participantes abordent le thème de la famille, du deuil et de l’enfance.
L’histoire se focalise sur deux frères, Tom et Charli, qui se disputent l’urne funéraire de leur papa récemment décédé.
Clique sur l’image pour découvrir Je suis une poussière d’étoile.
Je suis une poussière d’étoile, un joli conte sur le deuil
Je sais, cela semble déprimant, mais détrompez-vous. Amélie et Marion ont réussi à créer un joli conte plein d’humour qui rappelle les bêtises que nous sommes beaucoup à avoir faites dans notre enfance.
Ai-je mentionné la présence d’un bon petit chien qui occupe un rôle-clé de l’intrigue ?
Sorti sur le site du Nikon Film Festival le 23 décembre 2018, Je suis une poussière d’étoile a déjà été vu plus de 2 000 vues fois à l’heure où j’écris ces lignes.
Si Je suis une poussière d’étoile t’a convaincue, tu peux voter pour ce court-métrage par ici, après t’être inscrit·e et en cliquant sur « soutenir ce film ».
Et toi, qu’as-tu pensé de ce film en lice pour un des prix du Nikon Film Festival ?
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Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
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