Live now
Live now
Masquer
Image d'erreur
Mode

Culotte or not culotte ? Le débat

Nouveau débat culotté du visible contre l’invisible cette semaine et initié par l’une d’entre vous : êtes-vous pour ou contre la libre circulation de votre abricot ?

Ne pas porter de culotte, en porter… Le débat !

Le titre est un peu abrupt alors replaçons tout de suite pépé dans son fauteuil. Il y a dix jours, gros débat dans le topic de réaction quant à savoir si le soutif apparent était acceptable – et la majorité a tranché sur le « c’est une question d’attitude et pas de grosseur de nénés » – Yul a lancé discrètement une nouvelle pomme de discorde : « […](à quand un débat pour ou contre le minou apparent ? […]) »

, en repensant à son ancienne prof de philo « qui ne mettait pas de sous vêtement sous un pantalon blanc ».

Réaction n°1 : « wow, du blanc ! Couillue… » Réaction n°2 : « attends, sous un pantalon ?! »

Si j’ai toujours rêvé d’appartenir à une communauté naturiste et que je n’hésite pas à me balader à oilpé dans mon appart, le contact direct entre mon minou et la couture de mon pantalon en revanche, me fait encore tiquer sur quelques problèmes disons, d’ordre technique.

Et il existe plus qu’on ne croit, de ces satanés vêtements qui interdisent à eux-seuls le port d’une culotte, ne serait-ce même que l’ébauche d’un string. Soit parce que le tissu est beaucoup trop moulant au niveau des hanches/popotin, soit pour leur couleur.

L’industrie textile a tenté de trouver une solution, des culottes chair, en maille, sans coutures et parfaitement invisibles. Traduction : une culotte tout à fait moche et banale (une culotte de bloody sunday, c’est bien ça) que tu paieras la peau des fesses, parce que la révolution esthétique, ça a un prix.

Ma position sur le sujet : si avec un pantalon ou une combi, je suis moyen chaude (même si je me retrouve bien emmerdée parfois), l’opération me semble tout de suite moins gênante en jupe ou en robe, étant donné que Josie est à l’air libre. Pour faire tralala-youyou dans l’ascenseur dix minutes avant de se jeter dans le lit, c’est bien fun. Par contre chapeau bas à celles qui se déculottent une soirée (oserais-je dire journée ?) entière.

Bref, votre minou et vous c’est plutôt bien rangé dans sa petite culotte quoi qu’il arrive (1) ? Vous lui faites de temps à autre prendre l’air sous une robe (2) ? Ou comme la prof de Yul, minou+pantalon est une équation qui fonctionne (3) ? Dernière option, et pas des moindres, vous aimeriez bien, mais vous restez bloquées par les inconvénients d’un minou non hermétique (4) ?

[polldaddy poll= »5277363″]

(post-scriptum : si tu es une adepte du minou libre sous pantalon, as-tu réfléchi au camel toe ?)


Les Commentaires

78
Avatar de Not the Queen. just Helen
3 août 2018 à 11h08
Not the Queen. just Helen
elle
3
Voir les 78 commentaires

Plus de contenus Mode

1-Uoc5vGsS
Mode

Les plus beaux bijoux et montres à s’offrir à prix réduit pour le Black Friday

Vie quotidienne

Ménage d'automne : la serpillère 2.0 existe, découvrez sans plus tarder notre guide ultime

Humanoid Native
Source : URL
Mode

Atteinte du syndrome de Pica, Laurette mange du papier toilette et des éponges

1
[Image de une] Horizontale (21)
Lifestyle

5 raisons d’oser passer aux culottes de règles Vania en cette rentrée 2024 

Source : URL
Daronne

Le mois de septembre est un ENFER pour les parents (et surtout pour les mères)

Deux femmes en train de sortir des vêtements d'un placard // Source : Vinted
Conseils mode

Pour changer de Vinted, voici 3 plateformes de seconde main fiables et tendance

1
Geek Girl
Mode

Cette série Netflix à binge-watcher en une soirée est numéro 3 en France et dans le monde

Source : URL
Daronne

Chronique d’une daronne : Je ne suis pas copine avec les mères de l’école (j’assume)

14
Source : AFP
Mode

Clôture des JO de Paris 2024 : Zaho de Sagazan critiquée pour sa tenue, elle répond

7
Source : Photo - AFP
Mode

Cérémonies d’ouverture des JO 2024 : où voir les robes de Céline Dion et Aya Nakamura ?

igor-omilaev-gBIoMp44Bvg-unsplash
Mode

Confession d’une accro aux réseaux : les algorithmes qui dirigent ma réalité

La vie s'écrit au féminin