En partenariat avec Un monde différent (notre Manifeste)
Je me souviens encore du jour où j’ai lu l’article d’Anouk Perry, sur madmoiZelle, au sujet des croyances limitantes.
Ça m’a fait l’effet d’une claque.
Je ne suis pas forcément sensible aux discours de développement personnel, que je trouve souvent un peu loin de ma réalité. Mais là, tout se recoupait !
Je me suis rendu compte que moi aussi, j’entretenais des croyances limitantes qui entravaient mon épanouissement.
Et ça a été le 1er pas pour m’en débarrasser, de ces saletés d’idées.
Un livre pour lutter contre les croyances limitantes
Anouk définissait les croyances limitantes ainsi :
Une croyance limitante est une pensée qu’on considère comme vraie… Alors qu’elle nous bride et nous fait renoncer à une ambition.
Le plus souvent, elle provient de notre personnalité, de notre éducation ou d’expériences passées (de nous ou de nos proches).
Les croyances limitantes sont justement le sujet du réjouissant ouvrage et best-seller mondial (vendu à plus de 3 000 000 d’exemplaires) Du calme, mon amie ! Sois vraie ! signé Rachel Hollis, en librairie ce 21 novembre 2019.
Dans ce livre de développement personnel qui a déjà connu un grand succès outre-Atlantique, l’autrice égrène 20 mensonges contre lesquels lutter, afin de s’épanouir.
Mais ne t’inquiète pas, elle ne te laisse pas en plan avec cette liste de croyances limitantes : elle te donne aussi et surtout des conseils pour les envoyer bouler !
Je profite donc de la sortie en librairies de Du calme, mon amie ! Sois vraie !, que madmoiZelle est fière d’accompagner, pour te parler de quelques croyances limitantes dont j’ai enfin réussi à me débarrasser.
Croyance limitante n°1 : je suis une arnaque
Ahhhh, celle-ci, à mon avis, tu la connais bien. Car elle pourrait être le slogan de ce foutu syndrome de l’imposteur.
J’ai passé des années persuadée d’être moins intelligente, moins sympa, moins talentueuse que ce que le monde me renvoyait.
Chacun de mes échecs était la preuve que j’étais bel et bien une arnaque, que je ne méritais pas ma vie, mon job, mes potes, mes bonnes notes.
Chacune de mes victoires était une occasion d’angoisser : c’était celle de trop, le mensonge est trop gros, la vérité va éclater, les autres vont se rendre compte que je suis nulle !
Cette croyance limitante bridait mes ambitions, car espérer briller, c’est prendre le risque qu’on se penche sur mon cas et qu’on ne découvre mon statut d’arnaque ambulante.
Elle m’empêchait aussi de me réjouir de mes réussites et de les assumer comme étant dues à mes capacités, et non au « hasard »…
Heureusement, j’ai suivi plein de bons conseils pour envoyer valser le syndrome de l’imposteur, et cette croyance avec.
Croyance limitante n°2 : je suis une grande timide
J’ai souvent raconté cette histoire : gamine, ma maîtresse avait convoqué ma mère pour lui dire qu’elle n’était pas en capacité d’encadrer les « enfants comme moi ».
J’étais si timide que je ne décrochais pas un mot, donc elle était persuadée que j’étais… muette.
Je me suis donc forcée à parler, un peu, juste un peu. Cette sale timidité m’a collée pendant longtemps. Elle m’entravait la gorge, me liait les poignets, me paralysait les genoux.
Elle bridait mes opportunités, me poussait à ne jamais me porter volontaire, à ne jamais me mettre en avant ni prendre la parole.
Elle me faisait traîner avec des gens que je n’aimais pas vraiment, juste parce que j’étais incapable de me faire d’autres amis, puisque ça exige de… communiquer avec autrui.
Mais tu sais quoi ? Je ne suis pas une grande timide. J’étais une grande timide. J’ai été une grande timide. Et j’ai su décider de ne pas le rester.
Je t’explique tout dans mon petit guide Comment vaincre sa timidité !
Croyance limitante n°3 : l’ambition, c’est pour les autres
J’ai longtemps cru qu’on était câblé « avec » ou « sans » l’interrupteur « ambition ». Que ce soit au niveau personnel ou professionnel.
Bon, tu t’en doutes, j’étais partie du principe que moi, c’était une version « sans », hein.
Je n’ai jamais été du genre à me dépasser, jamais été très compétitive, jamais eu envie de repousser mes limites, de me prouver quelque chose ou de le prouver aux autres.
Attends, rappelle-moi… Que disait Anouk quand elle présentait les croyances limitantes ?
Voici des architectures type de croyances limitantes :
— J’aimerais bien faire ça MAIS…
— Ce n’est pas fait pour moi.
— Je suis trop (âgée, gentille…) ou au contraire pas assez (sportive, forte…) pour faire ça.
— Mes parents/amis/employeurs ne me laisseraient pas faire ça.
— C’est différent pour les autres.
Ah oui. Il est là. Ce fameux caillou dans ma chaussure. « C’est différent pour les autres ».
Les autres ont le droit d’avoir de l’ambition. C’est légitime. Elles méritent d’être ambitieuses, de viser haut et de se donner les moyens d’atteindre leurs objectifs.
Pas comme moi, qui ne mérite pas grand-chose, fade comme je suis…
Cette idée aussi, elle était fausse. Et je m’en suis débarrassée en apprenant ma propre valeur, et en acceptant mon rapport à l’ambition, qui a bien évolué au fil des années.
Voilà pour ces 3 croyances limitantes dont j’ai réussi à me dépêtrer ! Je te laisse en apprendre davantage grâce à Du calme, mon amie ! Sois vraie !, qui sort ce 21 novembre ♥
Les Commentaires
En revanche, je pense que j'ai des grandes ambitions en terme de qualité de vie et de relations humaines.