Tu as vécu des histoires de sexe qui mérite d’être entendues selon toi ? Des anecdotes insolites, amusantes, sérieuses, surprenantes, différentes ?
Et si tu (te) racontais sous la plume de José ou Josée L’Obsédée ?
Envoie-nous un mail à jaifaitca [at] madmoizelle.com avec « Josée L’Obsédée » en objet.
Après quelque années à pratiquer le sexe avec entrain, je pensais presque tout savoir de l’anatomie masculine.
Hé bien apparemment, on en apprend tous les jours.
Josée et le beau gosse fétide
J’ai rencontré ce beau José le jour-même de ma découverte.
La magie des applis nous avait réunis autour d’un verre non loin de ma fac et nous avions bavassé gaiement, au point de prolonger la soirée à son domicile.
La bonne ambiance se maintient tout au long de notre trajet, bien que nous soyons extrêmement serrés dans un bus en heure de pointe.
Cette proximité soudaine a le mérite de porter à ma connaissance un problème qui m’avait échappé au bar : José pue de la gueule.
Dommage, il a la plus belle bouche de la Terre, au point que j’ai du mal à le regarder dans les yeux… mais il pue de la gueule.
Pas genre il a mangé de l’oignon ou reporté ses 3 derniers brossages de dents. Plutôt le genre d’haleine fétide qui vient de loin, très loin, quelque part dans les intestins.
Ça me rappelle une vieille prof de bio et ça me met face à un dilemme de taille.
Déjà une semaine que je fantasme à plein régime sur les trois photos de son profil, que je le travaille par messages parce que j’ai peur qu’il m’échappe…
Et voilà qu’à deux doigts du but, ce léger détail de senteur buccale menace de ruiner mon coup.
J’aurais pu le planter à l’arrêt de bus, mais apparement je respecte moins mon confort olfactif que mes besoins sexuels.
Il est gentil, intéressant, vachement beau, et moi j’ai vraiment la dalle.
Je décide de respirer par la bouche et de saisir cette occasion de profiter de sa compagnie et de son corps, ne serait-ce que ce soir.
Non parce que je ne sais pas si vous ai dit, mais il était quand même vraiment très beau.
Josée séduite par l’aspect technique
Nous voilà sur son lit et je me tiens à l’opposé de lui, me demandant intérieurement s’il est possible de faire l’amour avec quelqu’un sans l’embrasser.
La conversation dérive rapidement sur nos préférences sexuelles. Ce José a l’air tout à fait instruit au sujet du plaisir féminin.
Je suis excitée comme une championne de tennis qui a trouvé un adversaire à sa taille.
Assis adossé contre le mur, il me propose de me rapprocher de lui. Je viens m’assoir entre ses jambes, le dos contre son torse, ce qui nous permet de regarder ensemble dans la même direction et m’évite d’humer son souffle.
Il glisse sa main dans ma culotte et commence à me masturber avec une certaine expertise
.
Très vite, je gémis et me tortille comme un petit animal pendant qu’il me maintient fermement entre ses cuisses.
Les sensations sont intenses, j’ai presque envie d’arrêter mais il m’encourage à me détendre sans interrompre son jeu de doigts magique.
Pour distraire mon esprit et entendre ma voix brisée par le plaisir, il me demande de lui raconter une histoire pendant qu’il me touche.
Cela dure dix bonnes minutes. Je n’atteins pas l’orgasme mais le frôle à plusieurs reprises.
Enthousiasmée par ce massage délicat, j’ai envie, déjà de voir son pénis que j’imagine depuis notre match, et de lui montrer moi aussi ce que je sais faire.
Toujours motivée pour m’éloigner au max de sa bouche si belle mais nauséabonde, j’entreprends donc une descente vers le slip.
Josée a un truc qui lui pique la langue
Par chance, son zizi a meilleure haleine que lui et je m’attelle à lui prodiguer la fellation de sa vie.
Alors que son sexe est dans ma bouche, j’en lèche l’extrémité et quelque chose m’accroche la langue…
Entre la base de son gland et le reste de la verge, je sens un truc bizarre, qui picote. Ce n’est pas lisse comme ça devrait l’être, ou en tout cas, comme j’ai l’habitude que ça le soit.
Je continue ce que je suis en train de faire en me disant que ce sont sans doute des points de suture dus à une récente opération de la bite dont il aurait omis de me parler.
Explication absurde mais c’est la seule qui me vienne pour justifier cette sensation de petits trucs fins et durs qui râpent légèrement.
Très intriguée, je finis par prendre une pause pour regarder ça de plus près.
C’est alors que je découvre sous son gland de petits picots blancs…
La couronne perlée du gland, cette inconnue
Ça ressemble à une maladie… Je passe un doigt humide sur les boutons en question et demande à mon José de quoi il s’agit.
Il m’explique, étonné de ma découverte, que c’est la couronne perlée du gland, un ensemble de petites billes blanches qui apparaissent à cet endroit chez certains hommes à l’adolescence.
Riche de ce nouveau savoir, je mets un terme à notre soirée car l’envie de prolonger la fête n’est pas là. Je remercie José pour l’information et m’en retourne à mon appart.
Chez moi, j’approfondis mes recherches et apprends que la couronne perlée du gland (y a des photos si tu cliques) fait partie de la grande et belle famille des boutons normaux du pénis.
On les appelle aussi des papules, et j’avoue que ça ressemble à des papilles…
Comme les grains de Forcyde qui peuvent apparaître près du frein, ces petits picots sont normaux, bénins mais il ne faut pas les confondre avec des des condylomes, une infection sexuellement transmissible provoquée par le papillomavirus.
En cas de doute, donc, direction : le docteur !
Moi, je me coucherai moins bête ce soir. Et toi, tu connaissais cette particularité de certains pénis ?
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Les Commentaires
Elle rencontre un nouveau mec sur Tinder et elle lui fait une fellation sans protection ?
J'ai peut-être loupé un passage mais je n'ai pas lu quelque part la mention d'un préservatif.
Rassurez-moi ?