Ah, Chris Pratt, Chris Pratt, Chris Pratt. Depuis la sortie (et le succès planétaire) des Gardiens de la Galaxie, ce nom est sur toutes les lèvres, dans tous les sites, au coeur de toutes les vidéos qui buzzent. Et c’est mérité.
À lire aussi : Les Gardiens de la Galaxie vous emmènent dans l’espace
Mais dans mon coeur, Chris Pratt, ce ne sera jamais vraiment Star Lord, a.k.a. Peter Quill. Ce sera toujours Andy Dwyer, l’adorable boulet hilarant de Parks and Recreation. Même si j’avoue avoir frétillé un peu du slip devant Les Gardiens de la Galaxie, parce que, bon…
Je ne suis qu’une faible humaine, je craque.
Andy Dwyer, fantastique imbécile heureux
Dans Parks & Recreation, Chris Pratt incarne Andy Dwyer, qui n’est au début d’un personnage mineur apparaissant de temps à autres comme une grosse feignasse vautrée sur son canapé, collé devant sa Xbox. Mais ses quelques instants de gloire ont su convaincre le public, et Andy est devenu un personnage régulier dès la saison 2.
C’est pas moi qui vais m’en plaindre.
Un peu enrobé, un peu étrange, les cheveux pas toujours très propre, Andy Dwyer est plein de bonne volonté, mais c’est un gros boulet. Mais c’est pas grave. C’est même pour ça qu’il est si adorable ! Il a un coeur d’or et n’hésite pas à aider ses ami-e-s, il s’attache très facilement, mais c’est aussi une feignasse qui se laisse distraire plus vite que le chien de Là-Haut et qui n’a pas un instinct de survie très développé.
KONTAN.
Chris Pratt réussit à interpréter à merveille ce qui est, globalement, un labrador sur deux pattes : très fidèle, très enthousiaste, très affectueux, mais pas toujours SUPER malin. Il est à mourir de rire et vole la vedette à tous les autres personnages dès qu’il apparaît à l’écran. Mais il peut également se montrer touchant, émouvant, et parfois, des éclairs de génie le traversent, preuve qu’il est loin d’être totalement crétin.
Andy Dwyer, je rêve de te trouver sur mon canapé le soir, on jouerait à la Xbox en slip en mangeant des pizzas, et si je te disais «
Ça te dit pas qu’on aille voir la mer là tout de suite ? », tu serais le premier à foncer dans la voiture. Je t’aime d’un amour tendre et un peu foufou.
En plus, ton talent musical est indéniable.
Peter Quill, l’Andy Dwyer des super-héros
Sans rien vous spoiler, dans Gardiens de la Galaxie, Chris Pratt incarne Peter Quill, un Terrien enlevé à sa planète juste après la mort de sa mère, quand il avait à peine plus d’une dizaine d’années. Élevé par des extra-terrestres semi-pirates, semi-pillards et 100% peu recommandables, il mène son vaisseau de planète en planète, à la recherche d’objets de valeur qu’il revend ensuite au plus offrant. Il tient aussi à se faire appeler « Star Lord », parce que ça pète la classe, mais ça ne prend pas vraiment…
Oh, et il aime beaucoup danser. Beaucoup. Beaucoup.
Peter Quill est loin d’être un homme super-intelligent façon Iron Man, super-droit dans ses bottes façon Captain America ou super-puissant façon Thor. Il est malhonnête, parfois un peu lâche, imbu de lui-même sans en devenir insupportable pour autant… ce qui le rend, à bien des égards, infiniment plus humain que les super-héros des Avengers !
Star Lord, la figure classique du bad boy à la cool, réinventée à la sauce 2014 par un Chris Pratt qui a bien fondu depuis Andy Dwyer. Mais si la brioche a été remplacée par une belle tablette de chocolat, on retrouve un peu du labrador de Parks and Recreation dans les yeux de Peter Quill, qui n’a parfois pas la moindre idée de ce qu’il se passe autour de lui… et ça, ça me fait l’aimer encore plus.
Ça et son bootyshake, quoi.
? ? ? ? ? ? ? ?
En plus de tout ça, Chris Pratt semble être une personne vraiment cool, avoir les pieds sur Terre, déborder d’humour et de second degré, préparer des rôles vraiment chouettes et… Ah, mais pourquoi en rajouter ? Chris Pratt est le coup de coeur de la planète entière et le moins qu’on puisse dire, c’est que c’est mérité.
Stay golden, retriever (prix de la blague bilingue de l’année décerné par moi-même et mon chat) !
Écoutez l’Apéro des Daronnes, l’émission de Madmoizelle qui veut faire tomber les tabous autour de la parentalité.
Les Commentaires
Mais je m'arrête car bientôt sortira "Jurassic world" et même si le film a l'air d'un gros reboot du 1er rien que pour tes beaux yeux (et tes abdos) je resterai 2 heures dans une salle obscure.
Ca y est je craque...