Il est de ces chansons qu’on a un peu oubliées. Souvent, c’est d’ailleurs un peu fait exprès. Mais on se permet de les remettre sur le tapis dans cette septième édition !
Parfois, quand mon enfance me manque, je vais faire un tour sur YouTube et je vais de vieux tube en vieux tube. Je ris un peu, et surtout, je relativise : finalement, vivre en 2013, avec l’accès à Internet illimité, ça me permet d’éviter d’écouter la radio et surtout de tomber sur certaines chansons qu’on a presque oubliées, et c’était très bien comme ça.
Pour partager avec toi ma nostalgie et mon soulagement, voici, dans une sixième édition, 10 chansons qui étaient tombées dans les méandres de notre cérumen.
Come Back to me — Cunnie Williams
On a tendance à l’oublier, mais la fin des années 90 a connu son Barry White. Ce géant de plus de deux mètres s’appelle Cunnie Williams et donnait de la voix dans un album produit par Mousse T, celui qui avait remixé Sex Bomb de Tom Jones dans le même espace-temps.
Dans Come Back to me, Cunnie, il donne tout : il se déhanche avec plus ou moins de brio et t’assomme à coup de trompettes, et c’était un peu comme un havre de paix 70’s dans un monde rythmé au son de la pop édulcoré.
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« La vie est une fleur », nous chantait, fut un temps le groupe suédois Ace of Base. « La vie est une fleur », ok. Cette chanson a tendance à me le faire oublier, mais d’accord.
Si je ne vois aucun problème à ce que ce morceau (qui a fait souffrir assez fort mes frêles tympans d’enfant pendant plusieurs mois tant il passait à la radio) soit oublié, je tiens tout de même à attirer votre attention sur ce clip, tout en LSD périmé, effets spéciaux et sourires niais.
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Avant Breaking Bad et Walter White qui se ganstaïfie, il y avait le mec du personnage de Pearl dans le clip de J’ai des choses à te dire. Ces gens-là ne savent vraiment pas rester tranquille cinq minutes à regarder la télé le samedi soir en buvant du panaché, franchement.
Dans J’ai des choses à te dire, Pearl essaie de joindre son mec au téléphone pour lui dire des trucs comme « je t’aime » ou « pense à ramener du papier toilette, on n’en a plus dans notre appartement vraiment très grand pour un couple de gens de notre âge ».
Alors que moi quand les gens tombent sur ma messagerie quand ils m’appellent, c’est parce que j’ai mis le mode avion pour être tranquille dans mon 30 mètres carrés. C’est dans ces moments-là que je réalise combien ma vie est aussi palpitante qu’une motte de beurre.
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Restons dans la veine gangster qui tourne mal : en 2000, Sully Sefil sortait J’voulais, morceau accompagné d’un clip tout aussi larmoyant que le précédent où il appelle sa copine une dernière fois avant de se suicider pour éviter de se faire arrêter par la police après un braquage qui a mal tourné. Notons que dans la précipitation, il lâche le combiné au lieu de raccrocher au moment d’appuyer sur la gâchette, histoire que sa moitié entende bien le pire bruit de sa vie résonner dans ses oreilles.
Sa copine d’ailleurs, parlons-en : en revoyant la vidéo pour la première fois en treize ans, j’ai vu qu’il s’agissait d’Audrey Fleurot. Parce qu’il faut bien débuter sa carrière quelque part, finalement, alors autant que ce soit un clip de rap français qu’une pub pour de la tartiflette en conserve, rapport à la street cred, tout ça.
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Sortie en 1993, Runaway Train est surtout connue pour son clip qui met à peu près autant de baume au coeur que le fait de recevoir un rondin dans l’oeil. On peut y voir les photographies des visages de plusieurs des enfants qui avaient disparu sans jamais être retrouvés — qu’il s’agisse de fugues ou d’enlèvements.
À la fin de la vidéo, un numéro de téléphone (différent selon les États) apparaissait avec l’inscription « Si vous avez vu un de ces enfants ou que vous êtes l’un d’entre eux, appelez ce numéro s’il vous plaît
».
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Longtemps, j’ai cru avoir perdu l’esprit : quand M.I.A a explosé en terme de notoriété avec Paper Planes, j’ai demandé à mon entourage si quelqu’un dans le lot se souvenait de son tube des années 90. Je fredonnais l’air, mais j’étais incapable de me souvenir des paroles ou du titre.
La semaine dernière, j’ai creusé mes investigations. J’ai compris que M.I.A et Mya étaient deux personnes bien distinctes.
Depuis, ça va mieux.
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C’est quand je réentends cette version — que j’adorais en 1998 — d’I Want You Back par Cleopatra, girls band composée de trois soeurs, que je comprends combien j’aime l’originale des Jackson 5.
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1999. Une bien belle année où Norma Ray sortait son premier album, Poussières d’étoiles, dont est extraite Tous les maux d’amour (alerte jeu de mots, hashtag poésie). Gabriel Fauré, compositeur de La Pavane, morceau classique qu’on peut entendre tout au long de la chanson, n’a à ce jour toujours pas donné ses impressions sur cet emprunt.
Peut-être qye le fait qu’il soit décédé en 1924 ne l’aide pas à s’exprimer.
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Baila Baila Conmigo, tube de l’année 1997, nous rappelle comme on savait s’amuser il y a une décennie et demie de cela.
Quoique. Je sais pas vraiment si j’en rigolerais de l’entendre quarante-cinq fois par jour sur le chemin de la plage. Mais en tout cas, j’en aurais au moins profité pour réviser mon portugais.
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Un morceau qui parle d’une fille paumée parce qu’elle ne sait pas exactement pourquoi son mec l’a quitté sur le sample d’Amazing Grace, tu trouves ça trop cliché pour être vrai ? Pourtant, ça existe. Ça s’appelle Never Ever et c’est une des chansons que j’ai le plus écoutées pendant mon enfance.
Des All Saints, on ne se souvient finalement plus de grand chose passé Pure Shores, mais Never Ever les a maintenues pendant plusieurs semaines en tête des ventes britanniques. Leur premier album a tellement bien marché qu’elles ont même été considérées comme les principales compétitrices des Spice Girls — ce qui paraît fou quand on compare les styles des deux girls bands.
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Les Commentaires
Par contre j'ai l'impression que les filles dans les clips (genre là celui de Mya) faisaient vachement plus "badass" que dans les clips actuels.