Live now
Live now
Masquer
[Site web] Visuel horizontal (2) (1)
Mode

Cet highlighter est sans arrêt sold-out et après l’avoir testé, je comprends mieux pourquoi

Le Glowgasm Beauty Light Wand de Charlotte Tilbury a fait un gros carton sur les réseaux. Et on en parle tellement, que 3 de ses teintes sont actuellement sold-out. Heureusement, on a réussi à mettre la main sur la nuance Sportlight pour pouvoir l’essayer. Voilà ce qu’on en a pensé. 

Choisir le bon highlighter n’est pas une mince affaire. Il faut que la texture vous plaise, que la couleur soit adéquate avec votre teint et que sa brillance, pailletée ou non, vous convienne. Bref, il y a pas mal de critères à prendre en compte pour trouver la formule parfaite. Heureusement, il en existe quelqu’uns qui excellent… Et le Glowgasm Beauty Light Wand de Charlotte Tilbury en fait partie. 

Template Produit

Retrouvez le Glowgasm Beauty Light Wand de Charlotte Tilbury, 36€

Ses points forts 

  • Sa facilité d’utilisation
  • Son fini irisé très naturel
  • Sa texture légère mais pigmentée 
  • Son embout anti perte de matière

Ses points faibles 

  • Son embout en mousse qui peut ne pas plaire à tout le monde 

La composition du Glowgasm Beauty Light Wand de Charlotte Tilbury

Voila la liste INCI du Glowgasm communiquée par Sephora : 

AQUA/WATER/EAU, HYDROGENATED DIDECENE, ISODODECANE, MICA, GLYCERIN, PROPANEDIOL, CETYL PEG/PPG-10/1 DIMETHICONE, SILICA, SODIUM CHLORIDE, HYDROGENATED STYRENE/ISOPRENE COPOLYMER, HYDROXYACETOPHENONE, POLYGLYCERYL-4 ISOSTEARATE, 1,2-HEXANEDIOL, CAPRYLYL GLYCOL, TRIETHOXYCAPRYLYLSILANE, TRISODIUM ETHYLENEDIAMINE DISUCCINATE, PENTAERYTHRITYL TETRA-DI-t-BUTYL HYDROXYHYDROCINNAMATE, LINDERA STRYCHNIFOLIA ROOT EXTRACT, PHENOXYETHANOL, ETHYLHEXYLGLYCERIN, [+/- TITANIUM DIOXIDE (CI 77891), IRON OXIDES (CI 77491), CARMINE (CI 45470)].

Après vérification sur l’application Clean Beauty, on peut facilement constater la présence de phénoxyethanol (conservateur), de diméthicone (silocone) et d’isododecane (émollient). À vous de vous faire un avis selon votre charte d’ingrédients personnelle.

La texture du Glowgasm Beauty Light Wand de Charlotte Tilbury 

Très légère, la texture de l’highlighter phare de Charlotte Tilbury se travaille très bien à la fois au pinceau et à l’éponge (type Beautyblender). Ce qui est appréciable, c’est qu’une fois posé, il ne bouge plus et ne laisse pas particulièrement de film gras sur l’épiderme (contrairement à certaines autres formules qui peuvent déplaire aux peaux les plus sèches).

En revanche, son aspect très fin et léger peut nécessiter de faire une petite retouche dans la journée histoire de raviver son glow. Car avec le port du masque et les frottements, il a tendance à transférer légèrement et/ou à s’estomper.

L’avis de Barbara sur le Glowgasm Beauty Light Wand de Charlotte Tilbury

Si au début, la couleur légèrement dorée et l’éponge applicatrice du Glowgasm pouvaient me faire un peu peur (j’ai le teint clair en hiver et la peau très sensible), force est de constater que le résultat est au rendez-vous. La texture, très légère et fine rend le produit particulièrement facile à « blender », même si sa nuance d’origine peut sembler difficile à fondre sur la peau. 

En même temps, c’est un peu normal, puisque le Glowgasm a été imaginé par Charlotte Tilbury dans le but d’imiter les effets spéciaux numériques d’Hollywood mais aussi la lumière apportée par les filtres des réseaux sociaux. Et si c’était un pari très risqué, le rendu extrêmement glowy et très naturel (semblable à un enlumineur irisé) est très satisfaisant. 

Comble du kiff et fait très rare pour un highlighter liquide : il ne laisse presque pas de fini gras, sèche très vite et n’a donc pas tendance à filer dans les rides de déshydratation.

Personnellement, j’attends d’un highlighter qu’il apporte de l’éclat sans se voir pour autant (une nuance un peu contradictoire mais possible). Car le but n’est pas de ressembler à une boule à facettes mais bien de me donner le glow qu’il peut manquer naturellement à ma peau sèche. Et c’est un exercice que le Glowgasm fait a la perfection.

En revanche, son éponge, qui libère la matière de façon progressive et contrôlée, peut déplaire aux personnes, comme moi, ayant une peau sensible et acnéique voulant éviter le contact répété de l’applicateur contre l’épiderme…

Mais à part ça, on est quand même proche de la perfection…Enfin… Selon moi !

test-glowgasm

Note finale : 8/10

Texture : 9/10
Composition : 6/10
Rapport qualité-prix : 8/10

Shoppez le Glowgasm Beauty Light Wand de Charlotte Tilbury

Template Produit

Retrouvez le Glowgasm Beauty Light Wand de Charlotte Tilbury, 36€

À lire aussi : Le lisseur Steampod 3.0 est une petite révolution et vous pouvez nous croire, on l’a testé !


Ajoutez Madmoizelle à vos favoris sur Google News pour ne rater aucun de nos articles !

Certains liens de cet article sont affiliés. On vous explique tout ici.

Les Commentaires

Il n'y a pas encore de commentaire sur cet article.

Réagir sur le forum

Plus de contenus Mode

1-Uoc5vGsS
Mode

Les plus beaux bijoux et montres à s’offrir à prix réduit pour le Black Friday

Source : URL
Mode

Atteinte du syndrome de Pica, Laurette mange du papier toilette et des éponges

1
[Image de une] Horizontale (21)
Lifestyle

5 raisons d’oser passer aux culottes de règles Vania en cette rentrée 2024 

Source : URL
Daronne

Le mois de septembre est un ENFER pour les parents (et surtout pour les mères)

Deux femmes en train de sortir des vêtements d'un placard // Source : Vinted
Conseils mode

Pour changer de Vinted, voici 3 plateformes de seconde main fiables et tendance

1
Geek Girl
Mode

Cette série Netflix à binge-watcher en une soirée est numéro 3 en France et dans le monde

Source : URL
Daronne

Chronique d’une daronne : Je ne suis pas copine avec les mères de l’école (j’assume)

14
Source : AFP
Mode

Clôture des JO de Paris 2024 : Zaho de Sagazan critiquée pour sa tenue, elle répond

7
Source : Photo - AFP
Mode

Cérémonies d’ouverture des JO 2024 : où voir les robes de Céline Dion et Aya Nakamura ?

igor-omilaev-gBIoMp44Bvg-unsplash
Mode

Confession d’une accro aux réseaux : les algorithmes qui dirigent ma réalité

La vie s'écrit au féminin