Vous êtes née dans les années 90 ? Alors vous risquez de reconnaître quelques pépites dans la liste des films préférés de notre rédactrice.
Article publié initialement le 30 juin 2020
Je suis née en 1988 – best année ever, ce qui veut dire que les années 90 sont celles de mon enfance, soit ma période préférée pour l’instant (je ne payais pas encore d’impôts ni de loyer, c’était cool quand même hein).
J’ai appris les paroles et les chorégraphies des chansons des Spice Girls, j’ai joué aux Pogs, aux Jojos, à l’élastique et au Tamagotchi. J’ai maté la Trilogie du samedi sur M6 avec assiduité, j’ai regardé en cachette tous les épisodes d’X-Files, parfois avec les mains sur les yeux.
Et pour moi, il y a une petite liste de films de cette décennie qui me rappelle avec nostalgie cette époque pleine d’insouciance et de mauvais goût vestimentaire. Et vous savez quoi ? J’aime toujours autant les regarder, même en 2020.
Hook ou la Revanche du Capitaine Crochet
Vous vous souvenez ? C’est l’histoire de Peter Pan adulte, père de deux enfants, qui a complètement oublié qui il avait pu être avant de devenir ce mec boring obsédé par son boulot.
Sauf que Crochet, lui, ne l’a pas oublié et a capturé ses deux enfants pour forcer Peter à ramener illico presto ses fesses qui ne savent plus voler au Pays Imaginaire. Le tout avec Robin Williams au casting, qui n’était pas encore mort (oui, je ne me remets toujours pas de sa disparition).
Jurassic Park
Alors je ne vous parle pas du tout des nouveaux Jurassic Park Wolrd et tutti quanti, qui ne sont que des vastes blagues.
Non, je vous parle de la première trilogie, avec le verre d’eau qui tremble quand le T-Rex approche, avec les premiers raptors qui ne se prennent pas pour des Labradors, le moustique coincé dans le morceau d’ambre, tout ça tout ça quoi. Mes premiers frissons au cinéma !
Jumanji
Là non plus, et ça va faire sûrement très boomeuse ce que je dis, mais je ne vous parle pas du remake qui est sorti il y a quelques années, mais bien de l’édition originale diffusée en 1996.
Celle avec le bruit des tambours, Robin Williams encore et toujours, Kirsten Dunst quand elle était enfant, les animaux sauvages fabriqués en animatroniques et non pas en numérique…
Il y avait un cachet que j’ai du mal à retrouver dans les films reboot, mais bon, c’est peut-être juste parce que je suis trop attachée aux anciennes versions.
Maman j’ai raté l’avion
Vous savez quoi ? J’ai beau avoir 32 ans, je continue de mater ce film chaque année à la période de Noël. Ça fait partie de mes traditions, et on n’y coupe jamais ! On écoute même la BO pendant tout le mois de décembre, c’est pour dire.
Dans ma famille, ce film est une vraie anthologie, et dès que je le regarde, vous pouvez être certaine que ça sent le biscuit à la cannelle dans la baraque et que le sapin est décoré dans un coin de la pièce.
Forrest Gump
Ahh, Forrest Gump… J’ai un amour fou pour ce personnage. L’histoire d’un garçon un peu simple qui traverse les périodes américaines historiquement marquantes en y prenant part, dès les années 50.
Ce que je retiens particulièrement ? La musique, déjà, avec une BO ouf, dont j’écoute toujours les morceaux, mais aussi un Tom Hanks grandiose, une histoire touchante, et un « cours Forrest, cours », qui aura marqué toute une génération.
Edward aux mains d’argent
Je termine cette petite liste avec mon film « doudou », celui que j’ai dû voir une bonne trentaine de fois, et qui me fascine toujours autant. C’est le premier film de Tim Burton que j’ai vu, je ne devais avoir que 7 ou 8 ans.
Je me souviens très bien de l’endroit où j’étais quand j’ai appuyé sur le bouton play du magnétoscope pour lancer la VHS, avec qui j’étais pour la regarder, et je me souviens même de la tenue que je portais, c’est pour dire.
Ce film m’a incroyablement marqué sans que je puisse vous dire explicitement pourquoi, mais je peux aujourd’hui le regarder avec toujours autant de fascination et d’émotion, les sensations sont aussi intactes, même si le film a aujourd’hui 30 ans.
Écoutez l’Apéro des Daronnes, l’émission de Madmoizelle qui veut faire tomber les tabous autour de la parentalité.
Les Commentaires
8
11 août 2021 à 14h08
Mijou
@Kaktus J'entends tes arguments, je suis d'ailleurs d'accord avec beaucoup, bien que je trouve ton discours beaucoup trop tranché à mon goût. Je trouve d'ailleurs le ton que tu emploies très agressif. Bon, j'ai l'impression que tu te sens agressée également par le point de vue que je défends, même si je pense de mon côté l'avoir fait de façon posée et respectueuse, si ce n'est pas le cas, je m'en excuse, ce n'était pas mon but. Ce film vibre en moi de façon très forte, ce sujet a énormément de valeur à mes yeux, le combat de mon père également, c'est donc un sujet également sensible pour moi. Donc je pense qu'en l'état actuel des choses la discussion est impossible et l'échange constructif inexistant : nos opinion à toutes les deux sont influencées, et c'est bien normal, par nos vécus qui semblent tout à fait diverger mais restent sensibles pour l'une comme pour l'autre. Aussi je pense qu'il est plus sage d'arrêter nos échanges ici. NB : Je n'ai pas voulu te "prêter des propos qui n'existent pas" concernant le passage dont tu parles, peut-être ai-je mal compris tes propos, je m'en excuse. Je trouve dommage de mon côté également que tu ai interprété plusieurs de mes propos, mais je pense qu'il s'agit là aussi d'une question de perspective de départ.
Les Commentaires
Bon, j'ai l'impression que tu te sens agressée également par le point de vue que je défends, même si je pense de mon côté l'avoir fait de façon posée et respectueuse, si ce n'est pas le cas, je m'en excuse, ce n'était pas mon but.
Ce film vibre en moi de façon très forte, ce sujet a énormément de valeur à mes yeux, le combat de mon père également, c'est donc un sujet également sensible pour moi.
Donc je pense qu'en l'état actuel des choses la discussion est impossible et l'échange constructif inexistant : nos opinion à toutes les deux sont influencées, et c'est bien normal, par nos vécus qui semblent tout à fait diverger mais restent sensibles pour l'une comme pour l'autre.
Aussi je pense qu'il est plus sage d'arrêter nos échanges ici.
NB : Je n'ai pas voulu te "prêter des propos qui n'existent pas" concernant le passage dont tu parles, peut-être ai-je mal compris tes propos, je m'en excuse.
Je trouve dommage de mon côté également que tu ai interprété plusieurs de mes propos, mais je pense qu'il s'agit là aussi d'une question de perspective de départ.