Juste après Emilie Jolie, le comte musical de Philippe Chatel où Johnny et Lara Fabian poussent la chansonnette, l’album D’eux de Céline Dion fait partie des premiers CDs que j’ai écouté de mon plein gré sur la chaîne hifi familiale. J’avais 8 ans.
Depuis cette époque, Céline m’accompagne un peu partout, de mes premiers karaokés sponsorisés par les fiches paroles StarClub à l’apprentissage de l’anglais grâce à l’album A New Day Has Come,
et même jusqu’à ma soirée de mariage, où mon mec et moi nous sommes trémoussés sans honte sur J’irai Où Tu Iras, debout sur nos chaises, les serviettes levées bien haut.
Du coup, même si Céline et moi, on n’a jamais fait pousser du tofu ensemble, tu imagines bien que j’ai eu petit pincement au cœur le 14 janvier dernier, lorsque René, l’homme de sa vie, est parti rejoindre Michael Jackson à « Forever-land ». Et un plus gros encore, quelques jours plus tard, quand le décès de son frère Daniel a été annoncé.
Avant de sortir, cet automne, un nouvel album en français, la plus célèbre des Canadiennes nous offre une reprise du célèbre The Show Must Go On, de Queen, comme une preuve de sa force et de sa confiance en la vie. Alors oui, c’est pas la meilleure version du monde, mais rien qu’à imaginer la force dont elle a dû faire preuve pour chanter cette chanson, j’ai envie de pleurer. D’ailleurs, j’ai ressenti mon premier frisson à 0,25mn et ai senti ma première larme couler à exactement 0,45mn.
Courage Céline, ça va aller. Cœur avec les doigts.
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